AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations sur Barracuda, tome 5 : Cannibale (13)

-Tout occupant est un problème. Moi, ils m'ont imposé une taxe qui m'enlèvre une bonne partie de mes bénéfices. Mais que faire?
-Attendre que son attention se relache, qu'il prenne ses habitudes. Les habitudes mollissent, détendent toute vigilance, même élémentaire.
Commenter  J’apprécie          100
De La Loya: Et de trois! Je reconnais qu'il s'en est fallu de peu! Ta chance est passée. Tu es à moi, à présent...
Raffy: A un détail près. Comme vous l'avez dit... un pirate n'a pas de parole!!!
Commenter  J’apprécie          50
Le Faucon Rouge… La peste et le carnage sont accrochés à ses basques.
Commenter  J’apprécie          40
Ainsi finissent les pauvres fous qui plongent leur regard dans les mirages enfouis au sein du diamant du Kashar...
Commenter  J’apprécie          40
Et ce fut la curée !
Commenter  J’apprécie          30
J’ai plongé mes yeux dans le diamant du Kashar. J’y ai vu la folie et la violence. J’ai entendu s’élever le cri des démons, cette malédiction qui engloutit tous ceux qui veulent se rendre maître du diamant. Mais moi, j’ai tenu, j’ai accepté… la fièvre… La folie… La mort. Et la mort a reculé car elle a compris que j’étais à elle, qu’elle pouvait me saisir quand elle le voulait. Mais pas tout de suite… Pas tout de suite. Car je suis celui qu’elle s’est choisi pour protéger le diamant. Ce diamant qui est à moi seul, à présent… Et qui brille comme la Lune, comme les astres là-haut.
Commenter  J’apprécie          30
Chevalier Jonathan-Pierre-Auguste d’Arlatan. Pour vous servir ou pour vous occire… Selon mon bon plaisir. Car il se fait que je suis le maître de cette île.
Commenter  J’apprécie          30
Tu n’as pas de chance avec les femmes. À chaque fois, elles te tirent dessus ! À chaque fois aussi, tu en réchappes. L’expérience doit te plaire. Mais tu as la peau dure. Tu aurais dû me prévenir que tu aimais mélanger le plaisir et la douleur.
Commenter  J’apprécie          30
Trop tard ! Il était trop tard ! Les fièvres du carnage s’étaient emparées de l’esprit du sorcier. Car c’était lui, à présent, qui menait sa tribu vers la victoire. Le massacre, la férocité des corps emportés par une folie sans nom. Les chairs dévorés, les enfants mutilés, le feu emportant le reste… car l’île appartenait, à présent, au sorcier qui avait plongé son regard dans le diamant du Kashar. Le diamant qui rendait fous tous ceux qui tentaient de le posséder. Le diamant comme un poème du feu, de l’eau et de la douleur.
Commenter  J’apprécie          10
Les humiliations, il n’y a rien de pire ! Toute ma vie, j’ai vécu d’humiliations. À présent, je les vomis.
Commenter  J’apprécie          10






    Lecteurs (144) Voir plus



    Quiz Voir plus

    Murena, Premier Cycle : Le Cycle de la Mère

    Les auteurs, Jean Dufaux et Philippe Delaby, sont...

    Belges
    Français
    Suisses
    Italiens

    12 questions
    26 lecteurs ont répondu
    Thème : Murena - Cycle 1 : Le Cycle de la Mère de Jean DufauxCréer un quiz sur ce livre

    {* *}