Jeunesse, potion amère : en évoquant dès la première page le souvenir de Robert Schumann, Michel Dufour mêle audacieusement les accents pathétiques d’une génération et l’écho de Schubert, Mozart, Mahler, Brel, Prokofiev et quelques autres grâce à qui la musique ne saurait s’arrêter.
« Peut-être à cause de la brièveté et de la densité du propos, et certainement parce que chacune des dix-huit nouvelles semble taillée comme un diamant, dont elles gardent...
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