Des points. Beaucoup de points. Trop de points dans ce récit. Les virgules et les verbes. Eux, ils font défaut. Résultat : beaucoup de phrases courtes. Des phrases sans verbe. Et dans les dialogues ? Idem.
Loin de moi la prétention de plagier les excellents pastiches de
Pascal Fioretto, qui imite si bien les styles des autres pour s'en moquer. Lui, il a du talent et être nègre est un de ses métiers (il écrit aussi à son nom). Par contre le début de mon propos résume ce que je reproche à
Claudine Dumont : une écriture hachurée qui rend la lecture fastidieuse et m'a dissuadé de m'intéresser à l'histoire. J'ai abandonné cette lecture au début du 3ème chapitre (après m'être assuré que l'écriture est du même acabit plusieurs pages plus loin).
La lecture de quelques critiques sur Babelio (de lecteurs plus persévérants que moi) ne me fait pas regretter mon abandon. Bien que quelques-unes soient très positives et qu'aucune n'évoque ce style qui me déplait tant, plusieurs citent une histoire qui peine à démarrer…
Jury Cézam 2022.