Pour séduire, pour attirer, commencez par être. Et ne pas vous cacher. Pour témoigner de votre attention à une personne en la félicitant pour un événement heureux dans sa vie, faites-le matériellement. Le trait de craie sur un mur Facebook pour souhaiter un anniversaire n’est rien comparativement à l’emploi de témoignage d’affection physiquement tangible. Une carte, un mot, une lettre, une visite surprise, des usages jadis usuels et non surprenants sont désormais, grâce à nos bons amis les inventeurs de réseaux sociaux, magnifiés.
Malgré le culte voué à l’apparence physique seule, la communication, et donc la séduction, dépend principalement d’une cohérence entre l’attitude adoptée et le message délivré. Ni d’un nez refait, ni d’une paire de seins gonflés à l’hélium, ni de pectoraux en plastique implantés sous un torse décharné. Ni même de la beauté physique naturelle. Car finalement, puisqu’il y a des canons de beauté, quiconque veut devenir beau peut l’être. C’est l’une des déchéances de la société moderne : la civilisation d’un homme sans visage.
Par nature, l’homme est un animal social adaptable instinctivement aux situations qui l’entourent. C’est d’ailleurs sa principale caractéristique, source de son évolution et de son progrès depuis qu’une bande de malins primates se mit en tête de sortir de la jungle pour créer des civilisations, il y a 50 000 ans. Pas idiot. Une hutte est plus confortable qu’une caverne.
Notre époque est celle des réseaux. Et pour tisser sa toile, chacun de nous ne peut compter que sur son pouvoir d’attraction, sa capacité à susciter et à maintenir le désir chez l’autre. Que ce soit avec nos amis, nos voisins, nos collaborateurs, nos clients… La séduction est une des clés sinon la clé de la réussite
Un sourire, s’il est présenté avec authenticité, en le ressentant de l’intérieur, est rarement rejeté. Ainsi, lorsque vous souriez pour communiquer positivement avec quelqu’un, tentez de ressentir dans le même temps une émotion de joie. Pour consolider votre sourire et le rendre communicatif.