Citations sur La trilogie des joyaux, tome 3 : La rose de saphir (14)
Les gens qui pensent qu'ils vont perdre réussissent rarement.
La loi de la populace doit toujours être réprimée, (…). La foule est toujours l'ennemi des gouvernements.
(…) Je trouve votre religion répugnante. Elle est cruelle, laide, dépourvue de miséricorde et confortablement contente de soi. Elle manque totalement d'humanité et je la rejette.
(dixit Séphrénia à propos de la religion élène).
L'espoir est une vertu cardinale (…) même quand il est mal placé.
Mais l'apparition dans les rues, et à minuit, de quatre cents chevaliers de l'Eglise dut engendrer chez eux une humilité appropriée... du moins chez les simples soldats. Les officiers eurent un peu plus de mal à comprendre. Comme toujours, d'ailleurs.
La force d'un bon chef réside dans sa capacité à donner à l'évidence l'apparence de l'innovation (…).
- (…) Mais pourquoi faut-il que ces Elènes soient aussi obtus ?
- Parce que leur Dieu ne veut rien leur expliquer, Aphraël, lui répondit Séphrénia.
- Quel vieux raseur ! Il crée des règles sans raison aucune. Voilà tout ce qu'il sait faire... des règles. Il est rudement ennuyeux.
Quand le pouvoir vient à changer de main, nombreux sont ceux qui désirent manifester leur loyauté au nouveau régime de façon bien visible. Il paraît s'être produit quelques pendaisons spontanées et un grand nombre de maisons sont incendiées.
En groupe, les chevaliers ne passent pas beaucoup de temps à réfléchir.
(dixit Kurik, l'écuyer d'Emouchet).
La majeure partie de mon armée est toujours ici... dans les prairies, de l'autre côté de ces fleuves. Je leur ai signalé qu'il est beaucoup plus facile de laisser les types les plus entreprenants se livrer à ce genre de pillage. Quand ils reviendront, nous leur reprendrons le butin et le mettrons dans un pot commun.