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Critiques filtrées sur 1 étoiles  
J'ai interrompu ma lecture de ce livre à la page 130 tellement je m'ennuyais. Plus exactement j'ai commencé à le lire puis j'ai arrêté pendant trois semaines pour x raisons (surtout parce que je lisais autre chose) et quand j'ai voulu reprendre je n'y ai trouvé aucun intérêt. le livre est difficile d'accès, il est impossible de s'identifier aux esprits dont le comportement réprouve la morale humaine, il est difficile de ressentir un plaisir de lecture puisque les aventures d'Ada (ou plutôt les mésaventures et le terme est faible) sont glauques. L'auteur n'a pas essayé d'essaimer quelques situations humorisitques dans sa trame. Or, la situation s'y prêtait et cela aurait permis au lecteur de respirer un peu. J'ai bien conscience que, n'ayant pas lu le texte jusqu'à la fin, ma critique manque de légitimité. de même, ma principale déception n'est pas légitime : je reproche à l'auteur d'avoir situé le roman dans un contexte américain. Au Nigéria Ada aurait eu les clés culturelles pour se soigner avec des "médecins" qui considère la maladie mentale comme une intervention des esprits. Si cela advient dans la suite du roman, alors très bien ! Ada rentre au Nigéria et se fait soigner. Mais si elle reste aux Etats-Unis avec ses explications de blanc sur la maladie mentale, alors ça n'a pas d'intérêt ! Je n'ai pas eu la volonté de savoir ce qui se passait. Il y a tellement de roman à lire... Par ex, le "nouveau" Chigozie Obioma, cité par l'une des critiques d'Eau douce. Je rappelle par ailleurs que la thématique d'une intervention des esprits dans un destin humain a peut-être été inaugurée par un roman nigérian formidable : La route de la faim de Ben Okri. Là au moins, on ne s'ennuie pas !
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