The revolution of Ivy

Ma première note de 0.5 étoiles sur Babelio est amplement méritée pour ce livre, je ne comprends pas du tout la moyenne à plus de 4.

Je n'avais déjà pas tellement aimé le tome 1 mais j'ai tout de même voulu lire le tome 2, il faut attendre la page 240 sur 320 avant qu'il se passe enfin un petit quelque chose dans cette histoire qui traine en longueur. On s'attend à ce que la vie d'Ivy soit rude rejeter ainsi par tout le monde et on se retrouve dans le monde de oui-oui quasiment c'est invraisemblable.

On ne s'attache même pas au nouveaux personnages non plus, en bref si vous n'avais pas aimé le tome 1 passez vraiment votre chemin.

Un livre creux, ennuyeux au possible, un seul tome aurait suffit amplement un peu plus étoffé.

Autant le 1er tome ( "The book of Ivy" ) m'avait enthousiasmé de par son originalité et surtout sans avoir eu l'impression de tomber dans le piège des romans sentimentaux de jeunesse , autant ce second volet m'a fait regretter mon hâtif jugement et agacè au plus haut point. J'ai eu l'impression de lire du "Twilight" avec cette amourette platonique qui occupe tout de même les deux premiers tiers de ce tome...

Peu d'action donc. Beaucoup de "Je t'aime, moi non plus". Je me suis convaincu tout même à le terminer question d'en savoir plus sur le comment du pourquoi de la situation apocalyptique dans laquelle se déroule l'histoire. Nada, rien. Déception sur toute la ligne avec cet horrible sentiment de m'être fait avoir.

Pire que le premier!

Vous allez me dire que, puisque je n'avais pas apprécié le premier, je n'aurai pas dû lire cette suite, oui mais je voulais connaître la fin! Je n'aime pas ne pas terminer une lecture et à la fin du tome 1 j'avais une impression d'inachevé.

Ivy est vraiment agaçante les 3/4 du roman. Bishop est égal à lui-même.
C'est encore plus cucul que le premier.
L'introduction de nouveaux personnages est bien amenée et apporte un peu de fraîcheur (en particulier Ash), ouf! Par contre l'histoire et les personnages tournent en rond.

À la fin de cette duologie dystopique, ce qui en ressort c'est "tout ça pour ça! "

Vite lu, vite passée à autre chose.

Point positif: le roman commencé juste après cette lecture apparaît comme une bouffée d'air frais (voire même une planche de salut, non je n'exagère pas, c'est mon ressenti) et a une saveur décuplée.

"Rien de révolutionnaire..."

Après un premier tome qui est entré dans la catégorie des plaisirs coupables, le second vient d'entrer dans la catégorie "Oh.. Attendez! Tout ça pour ça?".  Ressentez tout ma déception dans cette phrase.

Je voulais être gentille et laisser le bénéfice du doute à ce second tome, surtout que le premier tome se terminait sur un sacré cliffhanger, même si on sentait que ça n'allait pas se terminer par le meurtre de Bishop. J'ai presque envie de dire que c'est dommage. Imaginez qu'Ivy (ou un autre personnage) ait tué Bishop, adieu romance à l'eau de rose dans ce second tome. Personnellement ça me fait envie comme alternative. Mais reprenons...


The Revolution of Ivy débute par l'exil d'Ivy après sa prétendue tentative d'empoisonnement de Bishop. La jeune femme se retrouve de l'autre côté de la barrière avec pour seule compagnie : des coyotes et un violeur/tueur en série (Mark Laird). Elle se bat pour sa survie, blessée par Mark Laird puis un coyote, elle fini par rencontrer d'autres survivants qui vont l'aider et lui apprendre la vie hors de Westfall.

Je ne vais pas y aller pas quatre chemins : ce livre est un vaste déception. Autant dans le premier tome il y avait de l'action et un peu des rebondissements, ici la romance remporte tout. C'est une catastrophe! Ce tome se base sur un "je t'aime moi non plus" qui se termine par une romance mielleuse et désagréable. le comportement d'Ivy est à la fois puéril et assez incompréhensible, on ressent bien que ce petit jeu entre elle et Bishop sert seulement à rallonger la durée du livre. Non seulement ce procédé est assez mauvais, mais en plus il arrive à faire foirer un univers qui était plutôt intéressant.

D'ailleurs, notons que cet univers dévoile toutes ses failles à travers la survie d'Ivy. On se demande bien comment un peuple à pu survivre en dehors de Westfall? Comment les animaux ont survécu dans ce monde post-apocalyptique? Et les plantes? Je rappelle qu'on se trouve quand même dans un monde dévasté par une guerre nucléaire, en faisant un minimum de recherches on peut consulter les études sur les effets de radioactivité sur les êtres humains, la nature et les animaux. Oui, j'ai déjà vu des documentaires sur Chernobyl et Hiroshima. Je n'ai pas retrouvé une seule seconde des informations laissant à penser que l'univers en dehors du mur était une terre dévastée par une guerre nucléaire, il est juste dévasté POINT. Aucun rappel sur l'histoire, on ne sera jamais comment et par qui cette guerre a été menée. le reste du monde n'existe plus? Aucune explications.
L'univers est clairement laissé à l'abandon, au profit d'un monde de Bisounours. Oui, les Bisounours ou Oui-Oui comme vous voulez. Tout le monde accepte Ivy à bras ouverts, tout le monde est gentil, tout le monde lui pardonne. C'est d'un ennui.
Entre la romance Ivy/Bishop qui prend toute la place et les effusions d'amitié, le rendu ressemble à de la guimauve et on se demande si on ne s'est pas trompé d'univers. Seul explication : l'univers sert seulement de prétexte à cette romance.

Finalement, je n'ai eu aucune surprise dans ce roman. L'action commence à se dérouler au 2/3 du roman et en plus cette révolution est expédiée très rapidement. Je trouve qu'Ivy aurait du prendre une décision radicale dès le premier tome, en même temps elle n'est pas très futée alors elle se contente de son monde où "tout va bien dans le meilleur des mondes". Notons que quelques évènements dramatiques sont à présents à la fin mais ils sont carrément prévisibles et restent très discutables. Ce second tome s'est avéré très mauvais et je m'interroge réellement sur le genre dystopique de cette duologie, carrément abandonné en cours de route. Personnellement j'ai sauté une partie des paragraphes pour arriver à terminer ce roman et j'ai même baissé ma note générale en cours de route.

~∴~

Les points positifs :
- Les personnages secondaires

Les points négatifs :
- Une héroïne désagréable
- Une romance mielleuse
- Un univers abandonné en profit de la romance
-  Des longueurs encore et toujours
- Des personnages plats, une narration plate
- Trop prévisible

Après un premier tome moyen, je dois dire que celui-ci est encore plus mauvais. Je l'ai trouvé ennuyeux, avec une Ivy quasi insupportable. La romance prend trop le pas sur le reste de l'intrigue. le couple Ivy/Bishop est trop "lovey dovey". Surtout après une première partie où le comportement d'Ivy envers Bishop est quasi incompréhensible. Tout est trop facile et trop convenu. Ce second tome n'a rien d'une révolution. L'intrigue principale est rapidement bâclée et certaines questions restes toujours non résolus. Malheureusement l'univers a été clairement sous exploité. Cette duologie reste pour moi une déception dans l'ensemble.


Note : 05 / 20

J'ai terminé le premier tome il y a à peine deux jours que j'ai déjà lu le deuxième ! C'est ce que je reproche principalement à ces livres. Ils se lisent tellement facilement que ça va trop vite.

J'ai une petite préférence pour ce dernier tome. On retrouve Ivy complètement livrée à elle même. On rencontre alors des nouveaux personnages au cours de son aventure. J'ai adoré Caleb et Ash, ils apportent un peu de fraicheur à l'histoire. Par contre, le comportement d'Ivy envers Bishop m'a exaspéré ! Il est si patient à côté d'elle.
Malgré que l'histoire soit souvent prévisible, la fin m'a quand même surprise ! Un peu trop rapide à mon goût mais bon, Westfall a finalement réglé ses comptes.

Pour conclure, j'ai passé un bon moment avec Ivy et Bishop. Mais malheureusement c'est une histoire qui se lit bien trop vite et qui va certainement s'oublier aussi vite.

Je pense que certains ne vont pas forcément comprendre mon avis, mais chacun a le sien

Ce roman fut une légère déception. Je m'attendais à ce qu'il soit mieux que le premier tome : the book of Ivy.

En effet, le premier tome n'a pas été un coup de coeur, mais il fut une bonne lecture. Je me suis donc lancé dans la suite espérant que cela serait toujours une bonne lecture voire un coup de coeur.

Cela serait vous mentir si je vous disais que j'ai mit du temps à le lire, que je n'avançais pas, car ce fut le contraire : lu assez rapidement, rien n'a freiné ma lecture. Ceci grâce à la plume d'Amy Engel. En effet, sa plume est toujours aussi agréable que le premier tome, avec une simplicité et fluidité qui nous facilitent notre lecture. Je n'ai donc rien à redire au niveau de l'écriture et du style d'écriture de ce deuxième tome!

Cependant, au fur et à mesure que je voyais passer les pages, je me disais qu'il n'y aurait pas de révolution. Je ne vous dirais pas où commence la révolution, cela serait vous spoliez mais très tard à mon goût, et pas assez longtemps également. Énorme déception à ce niveau!

De plus, d'après la définition du Larousse : « une dystopie est une société imaginaire régie pas un pouvoir totalitaire ou une idéologie néfaste telle que la conçoit un auteur donné. » Je suis d'accord pour dire que le premier tome fait partie de la catégorie dystopie. Mais pour moi, le deuxième tome n'en fait pas partie. Désolée !

Au niveau des personnages, ils sont tous très attachants. Evidemment Bishop est le bookboyfriend par excellence. Mais Ivy est incompréhensible, elle fait des choix que je ne comprends pas trop, même au niveau de son comportement.

Voici donc mon avis, ce roman est pour moi une légère déception.
Lien : https://hellobook323.wordpre..

La duologie The Book of Ivy d'Amy Engel est une dystopie qui se situe dans la ville de Westfall qui abrite deux clans : les perdants et les gagnants. Chaque année, contre leur gré, les filles des perdants vont épouser les fils des gagnants et ainsi changer de secteur dans la ville et inversement. Une politique qui a été mise en oeuvre de façon à éviter toute rébellion. Mais c'était sans compter sur la famille des Westfall (les perdants) qui nourrit une haine tenace contre les Lattimer (les gagnants qui sont à la tête de la ville) et qui sont bien décidés à se servir d'Ivy, leur fille cadette pour épouser Bishop Lattimer et le trahir... Arrivée des spoilers sur la fin du premier tome : dans ce deuxième opus, on retrouve Ivy derrière la barrière puisqu'elle a été bannie après avoir avoué la tentative d'assassinat sur Bishop, pour protéger sa famille. Ivy qui n'a aucune notion de comment survivre dans la nature et qui va devoir faire face à des individus dangereux.

Je ne vais pas m'attarder sur cette chronique : je n'ai rien de plus à dire concernant les personnages de façon globale par rapport au premier tome, ni sur le style de l'auteur.

J'annonce la couleur : j'ai été déçue... On m'avait laissé un commentaire sur la chronique du premier tome laissant entendre qu'il était très étonnant que j'aime ce livre alors que je n'aime pas la romance. Je peux le comprendre, moi-même je m'étais surprise à finalement apprécier l'histoire. Mais comme je le disais sur la chronique du premier tome, ce qui m'avait intéressée, ce n'est pas la romance en tant que tel, mais bel et bien l'évolution d'Ivy d'un point de psychologique, tiraillée entre cet amour avec/pour Bishop et le conditionnement dont elle a été victime toute sa vie pour le trahir et le tuer.

Dans ce deuxième tome, je me suis ennuyée d'un bout à l'autre. La romance prend le pas sur tout. En dehors de quelques évènements, il ne se passe pour ainsi dire rien. C'est plan-plan au possible. Ce n'est que dans les dernières pages que les choses vont se résoudre concernant ce système politique totalement chaotique (du moins on assiste à l'amorce de la résolution). Et encore, j'ai trouvé cette fin 100 fois trop facile : finalement il ne se passe pas grand chose, tout le monde, en dehors de quelques personnages, est spectateur, incapable d'intervenir pour changer le cours des évènements. Avec un titre pareil, on s'attend à un soulèvement général de la population de Westfall qui va te donner du frisson... je les attends toujours les frissons...

Je termine donc cette duologie avec un arrière-goût de "chemin facile pour l'auteure".
Lien : http://chroniquesdunedevoreu..

Non mais vous comprenez pas !!! Il m'aime inconditionnellement... bon euh j'ai 17 ans il me connait pas et on parle jamais ensemble mais il me connait !!! Non je déconne même pas et dans un monde apocalyptique pas grave si on fait un bébé! car il m'aime inconditionnellement. Donc ? euh on dit quoi à la đinde? pardon l'héroine???

Grâce à tik tok je cumule les livre pas terrible , il ne sevpasse pas s grand chose dans ce livre
Je ne pense pas lire les tome suivant ,
Defois ce n'est pas trop cohérent enfin ça ne pas plu , personnellement je trouve que le enemy too lovers est assez rapide à mon goût