La plupart des critiques font l'éloge du livre pourtant personne ne parle du fond. Je veux dire que personne n'a l'air de s'étonner des mots violents qu'elle a à l'encontre de sa soeur décédée. "Mais tu n'es pas ma soeur, tu ne l'as jamais été" "avec toi je n'aurais rien partagé", "pour être il a fallu que je te nie". de plus elle termine son livre en espérant que cette lettre lui parvienne". Moi j'espère qu'elle ne lui parviendra jamais cette lettre car sa grande soeur en pleurait....
Pourquoi tant de haine, tant de rancoeur, je voulais juste qu'à un moment dans le livre elle le lui dise, qu'elle l'aime...ce livre m'a fait mal, je ne la comprends pas. Elle dit un moment dans le livre qu'elle ne reproche rien à ses parents, la vérité c'est qu'elle leur reproche tout. Mais c'est comme ça, je veux dire par là que lorsqu'un enfant décède les parents l'idéalisent, ça n'empêche qu'ils l'ont aussi aimé, elle, Annie, d'une autre manière. Mais ils l'ont aimé j'en suis sûr.
C'est la mort de sa soeur qui fait qu'elle est là aujourd'hui à écrire, à faire un métier d'écrivain qu'elle aime, je présume. C'est la mort de sa soeur qui fait qu'elle a connu la vie.
Je ne veux pas croire un seul instant qu'elle n'aime pas sa soeur d'ailleurs pourquoi continue- t-elle alors de fleurir sa tombe?
Elle ne devrait pas parler comme çà à son ange gardien....
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difficile de terminer cette lettre. que l'auteur s'offre une psychanalyse sur le dos de ses lecteurs, soit mais je n'ai pas pu entrer dans l'histoire
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Court texte à bien trop forte imprégnation psy.
L'auteure a bien trop de comptes à régler pour que l'on puisse adhérer ; moi, en tous cas.
Le « Elle » et « Lui » pour désigner ses parents est lourd de signification.
Certes porter un secret de famille, remplacer une première enfant morte est trop lourd à porter sans conséquences, mais je trouve malsain de prendre ses lecteurs en otages au risque de transférer ses troubles ; d'autant que, finalement, il n'y a pas d'histoire à compter ; rien d'autre que cet allongement sur le canapé.
Je n'ai pas aimé du tout, du tout
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Une lettre à sa soeur qu'elle n'a jamais connue puisque morte deux ans avant sa naissance. Aucune question posée à son entourage. Un secret gardé et non partagé.
Une lettre inutile et sans intérêt.
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