AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations sur Stephanie Plum, tome 1 : La prime (31)

Super. Le poste idéal pour quelqu'un qui avait déjà touché le fond. Patron pourri, boulot pourri, salaire pourri. Les possibilités de m'apitoyer sur mon sort seraient infinies.
Commenter  J’apprécie          330
Il y a des hommes qui entrent dans la vie d’une femme et la lui bousillent définitivement. C’est ce que Joseph Morelli m’a fait - pas définitivement, mais à intervalles réguliers.
Commenter  J’apprécie          240
Lula portait un bustier dégageant un max ses nichons. Elle fit rouler la boîte de bière fraîche sur sa poitrine. Je me dis que c’était un effort inutile. Il lui aurait fallu un tonnelet pour rafraîchir des seins pareils.
Commenter  J’apprécie          180
Ronald Buzick était boucher, dégarni et gras. Et peut-être étais-je un peu snob en la matière, mais je trouvais extrêmement difficile d'avoir des visées romantiques sur un type qui passait ses journées à farcir d'abats le cul des poulets.
Commenter  J’apprécie          150
Attendre ne faisait pas partie de mes passe-temps favoris. (...) Il existe sans doute des gens qui savent tirer profit de telles situations, en faisant un bilan, en établissant des listes de choses à faire, en se plongeant dans une introspection constructive. Attendre, pour moi, était une dépravation des sens. Un trou noir. Une perte de temps.
Commenter  J’apprécie          130
- A ta tête, je dirais que tu le connais.
J'acquiesçai.
- Je lui ai vendu un pain au lait quand j'étais au lycée.
Connie ricana
- Chérie, la moitié des nanas du New Jersey lui ont vendu leur pain au lait.
Commenter  J’apprécie          130
Je fis l’inventaire du contenu de mon sac, m’assurant que j’avais bien tout mes effets - menottes, matraque, torche électrique, revolver, balles supplémentaires (ce qui ne serviraient pas à grand-chose vu que j’avais complètement oublié comment on rechargeait un revolver - mais bon on pouvait toujours avoir besoin de quelque chose de lourd à jeter sur un fuyard).
Commenter  J’apprécie          120
On aurait pu acheter le père de Joe pour cinq dollars et un pack de six bières, malheureusement il était mort.
Commenter  J’apprécie          120
Personne ne prêtait attention à mamie Mazur. Elle faisait toujours joujou avec le revolver, visant à droite et à gauche, s'habituant à l'avoir en main. Je me rendis compte qu'il y avait une boite de munitions à côté de mes tampons. Une éventualité effrayante ricocha à la surface de mes pensées.
- Mamie, tu ne l'as pas chargé, dis-moi ?
- Bien sûr que si, me répondit-elle. En laissant un logement vide comme j'ai vu faire à la télévision. De cette façon, on ne peut pas tirer par erreur.
Elle inclina le revolver pour prouver la véracité de ses dires. Il y eut une forte détonation, un éclair jaillit du canon du revolver, et la carcasse du poulet bondit de son plat.
Commenter  J’apprécie          100
Je me demandai si neuf heures du matin était trop tôt pour boire de la bière. Évidemment, à Moscou, il devait être quatre heures de l’après-midi. Vendu !
Commenter  J’apprécie          90






    Lecteurs (1042) Voir plus



    Quiz Voir plus

    Compléter les titres

    Orgueil et ..., de Jane Austen ?

    Modestie
    Vantardise
    Innocence
    Préjugé

    10 questions
    20258 lecteurs ont répondu
    Thèmes : humourCréer un quiz sur ce livre

    {* *}