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Citations sur Qui ? (48)

Quand je suis dans mon jardin, je ne pense pas à tous ceux qui m'emmerdent. Pourtant, il y en a un paquet.
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Parfois, le monstre redevient humain,...
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Peut-être va-t-il s'effondrer maintenant ? Devrait-elle aller vers lui ? Faire mine de le consoler ? Peut-être n'attend-il que ça : qu'elle aille vers lui. Et enfin, il lui raconterait tout.
Mais elle n'hésite qu'un moment. Non. Le chagrin arrive trop tard. Sa tristesse sonne faux. Il y a mis tout ce qu'il avait de cœur, d'énergie, mais ses larmes sont celles d'un menteur.
Elle n'y croit plus.
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Elle avait ce regard méprisant des épouses qui se demandent comment elles peuvent encore supporter cela.
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Antoine Vasseur entend Eugénie, sa femme, lire à haute voix le titre de l’émission : « Affaires non résolues ». Elle commente de sa voix haut perchée : « Quand on y pense, c’est quand même incroyable que l’assassin de la petite n’ait jamais été arrêté. Hein, Antoine ?
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"Les meurtres atroces des deux petites filles, explique le commentaire, ont relancé le débat sur l'exemplarité de la peine de mort. Avec cette question : faut-il la rétablir pour les tueurs d'enfants ? 55% des personnes interrogées y étaient favorables."
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Je réaliste soudain qu’elle me ment. Je le sais, quand elle me ment.
« Cette affaire a bouleversé notre vie, hein ? » murmure-t-elle. Elle parle si bas que je me demande si les autres l’ont entendue. Mais mon fils dit : « Oui. Tu sais tout de cette histoire, hein, papa ? »

Consciencieusement, comme toujours, je nettoie et range mes outils dans le cabanon avant de tous les rejoindre au salon pour l’apéritif. Après une pareille journée, je n’ai pas volé mon whisky. Je trinque avec mon fils à la bonne santé de mes tomates, lui et sa sœur ne vont pas tarder à rentrer chez eux, me laissant seul avec leur mère.
J’attrape une cacahuète, j’ai la tête ailleurs.
Si je connais bien l’affaire ? Ca, oui, je la connais. Puisque c’est moi qui ai violé et tué la petite.
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On sait ce qu’on perd, mais pas ce qu’on trouve !
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Mais surtout, quand je jardine, j'oublie tout. Tout. Pas seulement mon boulot, les petit tracas du quotidien, les traites pour finir de payer le crédit de leur logement. On l'a acheté il y a des années, et on a cet emprunt sur le dos, je commence tout juste à en voir le bout. Mais quand je suis dans mon jardin, je ne pense plus à tous ceux qui m'emmerdent. Pourtant il y en a un paquet.
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Dans les affaires de ce type, le prédateur a besoin de garder une trace de son crime. Il peut s’agir de sous-vêtements qu’il conserve comme un trophée, un rappel permanent de la soumission de sa victime. On peut imaginer dans le cas présent qu’il conserve quelque part le vêtement de l’enfant, bien caché, peut-être le ressort-il périodiquement pour le manipuler. Alors il se sent fort, puissant et il efface l’horreur de son crime. Il reprend le contrôle de sa vie...
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