Et, s'il n'y avait alors eu un voleur pour sévir, il aurait pu forcer la porte, puis le mur, puis la chaise et tout prendre à sa guise: l'argent où se trouvait la valise, la table où s’étalaient les manuscrits, sans compter le sac de charbon, le poêle, la carpette, le lit et moi-même ainsi que le revolver et tout ce qu'il pouvait encore y avoir. Tout. Absolument tout; je n'aurais pas remué le petit doigt.
Interview d'auteur du salon du livre d'Alençon 2019