Son livre est sincère, fouillé, précis, sulfité d’anecdotes, remontant parfois aussi loin que 1350 et, plus près de nous, au vigneron Marcel Lapierre, «dans son aura électrisante de patriarche généreux» […]. Surtout, la question centrale de l’origine du mouvement des vins naturels est explorée sans détour.
Lire la critique sur le site : Liberation