Prenez les incendies successifs du greffe de la chambre des comptes en 1737 puis de la cour des aides de Paris en 1776. Ajoutez-y l’envoi au pilon des comptes de la monarchie en 1797, la destruction des papiers de la ferme générale en 1811 et l’incendie, pendant la Commune, des archives du contrôle général des finances alors déposées aux Tuileries. Saupoudrez le tout avec la mauvaise réputation d’une discipline jugée difficile, austère, sinon rebutante : l’histoire ...
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