Il s'agit là d'un des derniers ouvrages de l'auteur, aristocrate auvergnat et majoral du félibrige. Il représente bien cette époque où l'aristocratie éclairée s'investissait dans le félibrige conservatoire des traditions mais aussi dans le sport avec par exemple
Pierre de Coubertin. Légitimiste au XIXe, opposée à la séparation des églises et de l'Etat, éloignée de plus en plus de son fief originel, l'aristocratie rurale sera souvent ruinée après la première guerre mondiale.