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4,35

sur 1371 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Me voilà mitigée :
1/ Je trouve les dessins très très impressionnants. Je suis complètement bluffée par les qualités graphiques : la représentation des tableaux aux stylos, les personnages, les couvertures de magazines, etc... C'est très particulier, très soigné et personnellement j'ai trouvé magnifique.
2/ Les anecdotes de la vie, le cinéma, la mort de Martin Luther King, les références musicales, ses amitiés atypiques, le fait qu'elle se dessine en loup-garou, ses désirs, ses émotions, le passé très triste de Anka, la maladie de sa mère, le regard innocent dans un monde difficile, etc... Bref, un contenu plutôt touchant.

Mais alors pourquoi mitigée?

Il y a un côté un peu désordre qui m'a gênée dans ma lecture. C'est l'assemblage très unique qui m'a perturbé au point de me perdre. Ce qui en fait une oeuvre unique était en fait déstabilisante pour mon cerveau, trop habitué à un style carré et organisé.

Un très gros travail, une maîtrise artistique qui ne laisse pas indifférent.
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Au vu de la note moyenne, « Moi, ce que j'aime c'est les monstres » semble faire l'unanimité. Je ne vais pas tout à fait me joindre au concert de louanges. Si la B.D d'Emil Ferris est une oeuvre intéressante et réussie à bien des égards, elle est à mon sens loin d'être parfaite et n'est pas exempte de défauts regrettables.

Le principal reproche que j'ai envie d'adresser à « moi, ce que j'aime c'est les monstres » c'est son manque de crédibilité. A aucun moment, je n'ai oublié que j'étais en train de lire, jamais je n'ai été totalement immergée dans l'histoire au point d'oublier mon statut de spectatrice. Je n'ai jamais vraiment cru à cette histoire. Cela est dû, à mon avis, à un manque de simplicité. L'oeuvre de Ferris aurait gagné à être plus simple et finalement plus humble. Il y a trop de pathos dans « moi, ce que j'aime chez les monstres ». Anka, Je ne dis pas que cela ne peut pas arriver, certains cumulent les malheurs, mais dans une fiction je trouve que cela fait trop, le récit perd en crédibilité. Ajoutez à cela Je trouve que ça fait trop pour sonner juste. Et puis du coup, le récit part dans tous les sens. J'aurais préféré qu'il soit centré sur le personnage de Kare au lieu de se disperser.

Mais ne croyez pas que j'ai détesté la B.D d'Emil Ferris. Pour une première oeuvre, c'est du très bon travail. « Moi, ce que j'aime chez les monstres » a beaucoup de qualités. Même si je n'ai jamais vraiment cru à l'histoire racontée, j'avais tout de même envie de connaitre la suite. Je ne me suis jamais ennuyée lors de ma lecture. le personnage de kare est intéressant et attachant. J'ai aimé cette jeune fille qui pour combler son manque de confiance en elle va s'identifier aux monstres de la culture populaire. J'ai adoré les passages dans lesquels son frère l'emmène au musée, la façon dont elle perçoit les oeuvres d'art.
Et puis il faut bien dire que le dessin d'Emil Ferris est très beau. Fait au stylo, tout en hachures, le trait de Ferris est intense. L'impact sur le lecteur est indéniable. La mise en page est souvent intéressante et dynamique. Visuellement, c'est vraiment superbe et on prend plaisir à s'attarder sur chaque planche. Ferris varie les styles et que ce soit en imaginant des couvertures de revues d'horreur ou en reproduisant des toiles de maître, elle fait preuve d'une belle virtuosité.

S'il m'a semblé que narrativement « moi, ce que j'aime chez les monstres » pêchait par manque d'humilité et était émaillé de défauts qui m'ont vraiment gênée, j'ai tout de même passé un bon moment de lecture. Même si j'ai trouvé que cette histoire manquait de vérité et que je n'ai jamais dépassé le sentiment d'être en dehors du récit, j'ai tout de même envie de connaitre la suite, je lirai donc le second tome. D'autant plus que ce sera un plaisir d'admirer à nouveau le dessin d'Emil Ferris. Si je ne suis pas entièrement convaincue par la Ferris scénariste, la dessinatrice m'a en revanche complètement séduite.
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"Bonjour les Babélionautes! Aujourd'hui, on s'attaque à du lourd avec Moi, ce que j'aime, c'est les monstres, d'Emil Ferris.

-Ah ça, pour être lourd, c'est lourd: il pèse quatre kilos le bouquin.

-Or donc, Karen, petite fille dans les années 1960, adore les monstres et les films d'horreur. D'ailleurs, elle en est un elle-même, de monstre, elle en est convaincue! Lorsque la voisine, Mme Anka Silverberg, est retrouvée morte, la fillette décide de mener l'enquête...

Pour commencer, quel objet original! Ouvrez-le: les pages sont striées de marges, de lignes, des trous figurent les orifices pour les ranger dans un classeur. Vous trouvez non dans un roman graphique, mais dans un journal intime graphique! Quelle idée brillante!

-Regarde-moi ce foutoir, c'est impossible de s'y retrouver! Pas de découpage bien net en cases, il faut retourner le bouquin pour lire certaines phrases, il y en a partout, ça part dans tous les sens! Et l'histoire aussi part dans tous les sens, je comprends rien!

-Ah, tu trouves? Moi, je dirais que c'est foisonnant... je n'ai pas trouvé cet éparpillement désagréable...

-"Foisonnant"? Non, on dit "bordélique"! Arrête un peu tes expressions Télérama, ça ne prend pas!

-Je reconnais que la lecture devient plus facile quand on arrive à l'histoire de Mme Anka.

-Parce que la narration se fait plus conventionnelle à cette étape-là! Comme d'habitude, j'ai raison!

-Oui, peut-être... et aussi parce que le suspense s'intensifie, avec tous ces mystères... J'aime beaucoup la ténacité et la lucidité de Karen à leur propos. Elle se montre consciente d'un fait authentique: entretenir les secrets se révèle plus douloureux que les révéler et vivre avec eux. de façon générale, l'une des plus grandes réussites de ce journal graphique réside dans le regard de Karen, sensible et juste.

-Et les autres réussites? Parce que moi, j'vois pas.

-Il y en a plein! J'aime beaucoup l'exploitation du sens de l'odorat, par exemple!

-Nan mais, Déidamie, dis-nous un truc qui n'intéresse pas que toi sur cette planète! Toulmonde s'en fiche, de l'odorat en littérature!

-Et bien... J'aime beaucoup l'aspect hommage aux magazines pulp et au cinéma horrifico-fantastique. J'adore aussi l'ouverture de la BD vers l'art plus classique! Et ce dessin incroyable! On peut ne pas aimer, le trouver laid, lourd, oppressant, et pourtant, je trouve qu'il dégage une puissance, une maîtrise indéniables! confus et précis en même temps! Je l'ai lu en me sentant...

-... souvent rebutée par la difficulté et dubitative sur le plaisir que j'en retirais...

-... et hypnotisée par la performance époustouflante de l'artiste!
Moi, ce que j'aime, c'est les monstres n'a pas volé sa récompense. C'est une grande oeuvre, devant laquelle je ne peux que m'incliner. Vivement la suite!"
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Quelle BD !
Le graphisme est impressionnant, les dessins ont tous été réalisés au stylo, car l'album a servi de rééducation à l'auteur après une maladie grave.
Le thème des monstres est original, car si l'héroïne âgée de 10 ans adore les monstres tels que les vampires, morts-vivants et autres esprits du mal, nous découvrons en même temps qu'elle que les monstres peuvent aussi revêtir l'aspect de tout un chacun selon les moments.
Tout commence un soir, à Chicago, dans les années 60.
Quand elle apprend que sa voisine a été retrouvée morte, notre jeune apprentie détective va décider d'enquêter.

J'ai déploré quelques longueurs et le fait que parfois l'histoire part dans tous les sens et s'éparpille beaucoup.
Je n'ai pas trouvé non plus que le texte était toujours facile à lire, à cause d'une surcharge au niveau visuel.
Mais cet album atypique a bien mérité son Fauve d'or obtenu en janvier dernier à Angoulême.
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Emil Ferris mettra six ans à réaliser cette oeuvre d'exception ! Après 48 refus (certains doivent s'en mordre les doigts aujourd'hui) et forte de ténacité et de persévérance, Emil Ferris est propulsée désormais parmi les « monstres » sacrés de la bande dessinée ! Riche de 800 pages, ce roman graphique » Moi, ce que j'aime, c'est les monstres « est conçu sous la forme d'un journal intime. Publié aux éditions Monsieur Toussaint Louverture, il est le phénomène de cette année 2018 !
Dans le tumultueux Chicago de la fin des années 1960, Karen Reyes est une fillette de dix ans au physique plutôt ingrat. Mais ce qu'elle aime par-dessus tout, ce sont les monstres ! Alors pour échapper aux railleries de ces camarades de classe, elle laisse libre cours à son imagination, et se transforme ainsi en loup-garou !
» Monstre, ça vient du latin monstrum, et ça veut dire montrer, comme dans démonstration. Mais les G.E.N.S. , eux, disent « nous, on n'a jamais vu de monstres, alors y peut pas y en avoir. «
Karen vit avec sa mère et son frère Deeze. Mal dans sa peau, c'est un jeune homme qui se laisse aller à ses pulsions en tout genre.
» Parfois, comme le dit maman, « Deeze a le diable au corps ». C'est déjà arrivé qu'il perde son calme avec elle et moi. Chez Deeze, c'est une rage aveugle, comme s'il oubliait le mal qu'il peut faire. «
Malgré tout, l'amour indéniable de ce frère très protecteur, lui ouvre les portes de l'art en l'entraînant dans les musées de Chicago et en lui expliquant comment « entrer » dans les tableaux.
Mais un jour, en rentrant de l'école, elle apprend que sa voisine, Madame Anka Silverberg, est morte dans son appartement. Un suicide d'après les premiers éléments de l'enquête.
» 14 février 1968. Aujourd'hui, notre voisine du dessus, Mme Anka Silverberg est morte dans d'étranges circonstances. Elle a reçu une balle en plein coeur alors qu'elle se trouvait dans son salon, mais c'est dans son lit qu'on l'a retrouvée, bien bordée et couchée comme si de rien était. «
Secrètement amoureuse de sa voisine, la fillette ne peut laisser une telle injustice impunie, et décide de mener l'enquête. Affublée d'un imperméable et d'un chapeau, elle fouille le passé d'Anka pour tenter d'élucider ce mystère. Elle va découvrir qu'entre le passé d'Anka dans l'Allemagne nazie, son propre quartier prêt à s'embraser et les secrets tapis dans l'ombre de son quotidien, les monstres, bons ou mauvais, sont des êtres comme les autres, ambigus, torturés et fascinants.
Mais Karen n'est-elle pas là pour nous dire qu'en chacun de nous sommeille un monstre ?
Karen voit sa propre différence comme une monstruosité. Et c'est là tout le talent de l'auteure. En utilisant le concept de la personnification à travers ces graphismes, elle rend l'héroïne attachante. Complexée et torturée, elle est en proie à ses premiers désirs. Si elle les refoule dans un premier temps, elle va petit à petit s'accepter et en ressortir une force et une sensibilité. S'il est donc question de différence, il est tout autant question de résilience.
Notons également les nombreuses références aux monstres dans la littérature, telles que « Frankestein » de Mary Shelley. Emil Ferris assume ses prises de position quant à la place de l'art.
Graphiquement, le lecteur retient cet incroyable travail au stylo-bille qui anime littéralement ses pages, pour imiter un carnet intime d'écolière, avec ses lignes, sa marge et sa spirale au centre. D'abord subjugué par le dessin, il pénètre dans le récit. Chaque détail a son importance, et les pages sont denses ! On prend plaisir à s'attarder sur chaque planche. Cette oeuvre est un véritable OVNI littéraire, qui casse tous les codes narratifs ! Une expérience inédite, que je recommande vivement ! Impatiente de découvrir le prochain tome !
Lien : https://missbook85.wordpress..
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Hé bien ! Voici une oeuvre bien plus complexe qu'elle n'y paraît !
L'intrigue commence avec le meurtre d'une des voisines de la jeune Karen Reyes (narratrice de l'histoire). Ainsi on remonte l'histoire d'Anka, la disparue, née dans le Berlin des années 20 et qui a aussi connu les années 1940 en tant que juive... Mais d'autres histoires viennent s'imbriquer à cette intrigue principale, toutes plus glauques les unes que les autres !
Le tour de force narratif de cet imposant roman graphique, c'est de faire revivre le Chicago des années 1960 avec tout ce qu'il y avait d'insécurité et d'intolérance (envers les Noirs, les progressistes, les immigrés latinos, les homosexuels, la guerre du Vietnam, etc). Les habitudes du quartier et des habitants sont décrits avec une telle minutie qu'il vaut mieux lire le récit d'une traite pour ne pas s'y perdre !

Graphiquement, le travail d'Emil Ferris est absolument bluffant ! Que ce soit pour la minutie du détail ou les visages expressifs ou le dynamisme de certaines postures des personnages : et tout ça avec des stylos billes ! Wahou !

Et mention spéciale pour la reproduction de couverture du type des premiers magazines de comics pour faire le chapitrage. En plus de coller parfaitement à l'époque, ces couvertures sont une illustration de plus du thème de la monstruosité (du côté obscur) qui se trouve en chacun, par perversion ou simple anticonformisme.

Je ne sais pas si je lirai la suite car ce format très compact, les histoires en parallèles ne facilitent pas vraiment la lecture. Mais c'est clairement une curiosité à lire !


Challenge USA 2019
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J ai plus été séduite par le graphisme que par l histoire en elle même.
L oeuvre graphique est assez incroyable: au stylo bic, un nombre de pages impressionnant, des dessins et des pages vraiment bluffantes. Je comprends que certains y voient un chef d oeuvre. J ai ete un peu gênée par la typographie de certaines pages trop serrée, trop dense.
L histoire m a mis une claque dans la figure. d'une petite fille qui aime les monstres et aimerait en être un pour se protéger et protéger sa famille, on se retrouve à aborder une multitude de thèmes et un tas de monstres apparaît : la pédophilie, les camps d extermination, la prostitution...
C etait trop pour moi et j ai senti un grand monstre de tristesse m envahir. Trop sombre pour moi, trop dur.
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Difficile de parler de ce livre franchement à part, un ovni… il y a les graphismes bien sûr, incroyablement foisonnants, tout au trait de crayon bic, hyper travaillés; il y a l'histoire ensuite, une petite fille, lectrice de magazines d'horreur, qui se préfère en monstre (pour échapper à ses propres démons peut-être ?) dans les quartiers pauvres d'un Chicago des années 60, où souffle un vent de révolte.
En menant l'enquête sur la mort violente de sa voisine, ancienne déportée juive qu'elle adorait, notre petit monstre d'une dizaine d'années va déterrer malgré elle quelques cadavres... Tous les ingrédients du bon scénario sont là : de l'émotion, de l'humour, un peu de fantastique, des secrets de famille, des personnages hauts en couleurs, un contexte historique intéressant. Mais il y a autre chose aussi, un soupçon de fantaisie, un petit grain de folie qui s'empare du lecteur pour le happer dans cet univers particulier où chacun reconnaîtra son propre monstre, tapis dans un coin de sa tête...
Un beau roman graphique, à l'ambiance très singulière. Sans avoir été totalement subjugué, j'attends le tome 2 avec une certaine curiosité.
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Voici une oeuvre extrêmement dense et hors du commun dont il est difficile d'extraire l'essentiel. Il y a déjà tant de bonnes (et longues) critiques sur Babelio que je ne saurais vous assommer avec des redites.
Par hasard, je l'ai lu en anglais sans avoir conscience que ce n'était que le premier volet d'un dyptique. En refermant le livre, je me suis dit que j'avais sûrement manqué quelque chose alors qu'en fait, loin de se terminer sur un dénouement, le livre nous laisse sur le tremplin qui nous aguiche et nous invite à nous propulser vers la suite… (Pourvu qu'on attende pas trop longtemps, sa parution!).
C'est un livre extrêmement riche dont le propos part dans tous les sens (à l'instar de la façon dont l'autrice remplit ses pages de cahier), ce qui a fait dire à certains que « trop c'est trop » mais moi j'ai trouvé que, même si on vit dans une sorte de condensé de la vraie vie, tout y était extrêmement réaliste (y compris les fantasmes et les hallucinations). Comme dans la vraie vie, le clair-obscur est omniprésent, rien n'est gris ni monolithique et, celui qui se donne la peine d'explorer les zones d'ombre, peut y découvrir des clefs de ce qu'il croyait lui être inaccessible.
C'est empreint de violence et d'une sexualité souvent perverse voire morbide dont on ne voudrait pas qu'une petite fille comme Karen soit témoin. On comprend aussi que cette même petite fille est curieuse de tout ça et que, tout innocents que soient les enfants, on ne peut leur épargner ad vitam æternam la dure réalité de la vie. C'est aussi empreint de la beauté de l'art tel qu'on peut le trouver dans des musées ou dans les « comics ». Emil Ferris, en s'inspirant de l'un comme de l'autre met sur le marché du roman une oeuvre extrêmement complexe tant par la construction que par les sujets abordés et par la forme qu'elle a choisie pour la réaliser. À lire sans modération!
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Ce livre est un ovni absolu. Déjà rien que le titre, « Moi, ce que j'aime, c'est les monstres », ça interpelle un peu. Ensuite le graphisme, absolument hallucinant : on dira que les dessins ont été gribouillés sur un carnet au stylo à billes, avec une précision et un sens du détail impressionnants. Enfin, une histoire surprenante, celle de Karen, qui pour se protéger de sa vie dans le Chicago pas trop chic des années 60, se rêve loup-garou. Mais quand sa voisine Anka est retrouvée morte une balle dans le coeur, elle décide de mener sa propre enquête du haut de ses 10 ans…
On ne sait jamais trop où ce récit va nous mener, et ça j'ai aimé. Par contre j'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire, je n'y étais pas sensible. Jusqu'à ce que Karen en apprenne plus sur la vie d'Anka, réfugiée allemande. le spectre de la seconde guerre mondiale se met alors à résonner avec les émeutes raciales du quartier… Et quand on essaye d'en savoir un peu plus sur son auteure, Emil Ferris, on apprend qu'elle revient de très loin et que ce livre a en quelque sorte été sa thérapie.
Bref, n'hésitez pas découvrir ce Fauve d'or du festival d'Angoulême 2019.
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