Prix Pulitzer, ce dense pavé de 520 pages est long, très long.
L'auteur, à partir de son enfance, ne cessera de voyager. La partie road trip est intéressante notamment la vision de l'Afrique du Sud dans les années 70 qui m'a particulièrement plu.
Les relations avec les amis, les amoureuses et la difficulté parfois à se supporter même quand on s'aime se lisent avec intérêt.
Le hic, c'est que sur sa route, il y a des vagues et nous voila partis pour des interminables pages sur comment prendre ces vagues. C'est sans doute symbolique mais à la dixième vagues, je n'en pouvais plus.
L'écriture est belle mais je ne peux pas le cacher ; ce que je me suis ennuyée...
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Lecture mitigée.. Un peu trop technique à mon goût ce qui m'a fait décroché bon nombre de fois.
Pourtant les passages "hors surf" sont passionnant ; l'évolution (régréssion ?) du monde et de notre environnement en 50ans, l'apartheid en Afrique du Sud, etc.. Assez pour me faire tenir jusqu'à la fin sinon j'aurai abandonné depuis longtemps !
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J'ai eu le tort de croire la 4eme de couverture de ce livre qui laissait penser que le récit se servait de la passion du surf comme motif d'un discours plus profond et général. Mais on reste dans la technique "surfistique" avec son jargon, sa description de spots en effleurant à peine le reste. Un exercice journalistique, en somme, qui ne m'a pas convaincu.
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Les tribulations autobiographiques d'un surfeur autour du monde, durant une bonne partie de sa vie, à la recherche de la plus belle et de la plus méconnue des vagues.
C'est plutôt bien raconté, à la manière d'un journaliste (que l'auteur est par ailleurs), parfois intéressant, mais est‐ce de la littérature ?
À conseiller aux lecteurs qui voudraient se dépayser et s'immerger dans un monde quelque peu parallèle, méconnu d'eux.
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Ma note explique le livre il faut être passionné de surf pour y rentrer dedans, je trouve que ça ce répète du début à la fin.
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