La jeunesse mélancolique et très désabusée d'Adolf Hitler

Sujet délicat. J'ai lu toute la série, de "Dieu et nous seuls pouvons" ("la vengeance est un plat qui se mange chaud !") à celui-ci donc. Imaginer ce dictateur assassin en devenir comme l'enfant qu'il a forcément été est un exercice complexe. Si le changement de nom est avéré, il relève du prémonitoire. Ceci dit, on imagine facilement la transformation de ce jeune homme lambda, élève -à priori- sans talent -du moins non reconnu- * des beaux-arts de Vienne, cette ville qu'il haïra autant par ce qu'il considère comme un rejet que pour son cosmopolitisme. Une lecture très surprenante, qui ne laisse pas indifférent en tout cas.

* : il n'entre pas dans mon propos de défendre le personnage, il ne l'es pas. Je ne voudrais pas que mon propos prête à confusion.

Je ne savais pas trop à quoi m'attendre et j'ai été agréablement surprise. Issu de témoignages, l'auteur raconte l'enfance et l'évolution d'Hitler. il n'est pas attachant, mais c'est surprenant de voir comment tout à joué pour faire de lui l'homme que tous connaissent.

un chef d'oeuvre!!

Critique: http://carpediem-et-tentation.doomby.com/rubrique,decembre-2010,1250049.html

et

http://carpediem-et-tentation.doomby.com/rubrique,ma-rencontre-et-mes-deboires,1250031.html

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