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Citations sur Le Code Rebecca (24)

Il y a des chats aussi. Ils sont gracieux, les chats. Les chats d'Europe sont différents, ils sont plus lents et beaucoup plus gros ; pas étonnant que les chats soient sacrés dans ces villes, ils seraient si beaux, un chat ça porte bonheur . Les Anglais aiment les chiens (...) Un chat est supérieur. Ou bien on est un maître, ou bien un esclave.
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Ça vaut la peine de se battre. En Angleterre, le respect humain fait de lents progrès ; en Allemagne, il recule à grands pas. Pense aux gens que tu aimes, et les problèmes deviennent plus simples.

NDL : nous sommes en 1942.
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Rommel, le renard du désert, n'avait pas du tout l'air d'un renard. C'était un petit homme infatigable, avec le visage d'un paysan agressif : un gros nez, une bouche qui tirait vers le bas avec une fossette au menton, une cicatrice sur la joue gauche, et les cheveux coupés si court que pas un seul ne dépassait de sa casquette.
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La stratégie de Rommel était erronée ; ses renseignements étaient erronés ; son espion s'était trompé.
[ ... ] Les Alliés ne bougeaient pas. Bien retranchés, ils cueillaient les Panzers comme des poissons dans un tonneau.
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Wolff la lâcha et se rassit . Elle regarda autour d'elle . Tout le monde la regardait . Personne ne viendrait à son secours , car elle n'était pas seulement une Egyptienne , elle était une femme , et les femmes , comme les chameaux , devaient être battues de temps en temps .
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Les Anglais aiment les chiens. Des animaux répugnants, les chiens : sales, sans dignité, bavant, toujours en quête de caresses, à tout renifler. Un chat est supérieur. Ou bien on est un maître, ou bien un esclave. Je tiens ma tête haute comme un chat j'évolue sans me soucier du " vulgum pecus ", concentré sur mes tâches mystérieuses, en me servant des gens comme un chat se sert de son maître, sans remercier ni accepter jamais d'affection, en prenant ce que les gens vous offrent comme un droit et pas comme un cadeau. Je suis un maître, un nazi allemand, un bédouin d' Egypte, un seigneur né.
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Dans une maison européenne , Wolff aurait protesté à l'idée de voir une femme être réveillée à minuit passé pour s'occuper de lui ; mais ici , une telle protestation aurait été fort discourtoise . Les femmes étaient là pour servir les hommes , et elles n'étaient ni surprises ni choquées par les exigences péremptoires d'Abdullah .
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Au fond de la pile à demi calcinée se trouvait un livre, un roman en anglais. Vandam fronça les sourcils. Il ouvrit le livre et lut la première ligne : "La nuit dernière, j'ai rêvé que je retournais à Manderley." Le livre s'appelait Rebecca et l'auteur, Daphné du Maurier. le titre lui était vaguement familier. Vandam avait l'impression que sa femme avait dû le lire.
.../...
Vandam se gratta la tête. C'était pour le moins, une étrange lecture pour l'Afrikakorps.
Et pourquoi était-il en anglais ?
Le livre aurait pu être pris sur un soldat anglais fait prisonnier, mais Vandam estima que c'était peu probable : d'après son expérience, les soldats lisaient de la pornographie, des romans policiers et la Bible. Il n'arrivait pas à imaginer les Rats du désert s'intéressant aux problèmes de la maîtresse de Manderley.
Non, le livre était ici dans un but précis. Lequel ? Vandam n'envisageait qu'une seule possibilité : c'était la base d'un code.
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- Je ne compte sur personne ! fit Rommel. Je suis celui sur qui tous les autres comptent.
(p.55)
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Les gens n’aiment pas mon égalité d’humeur…ça les agace toujours. Ceux qui travaillent avec moi, en revanche aiment bien ça. Ils savent que lorsqu’ils sont au bord de l’affolement, quand ils ont le sentiment qu’ils vont craquer, ils peuvent venir me trouver et me parler de leurs problèmes ; et que si l’on ne voit pas de solution, je leur dirai la meilleure chose à faire, parce que je vois que c’est un problème et que je garde mon sang-froid ils repartent rassurés et font ce qu’ils ont à faire. Tout ce que je fais c’est clarifier le problème et de refuser de me laisser effrayer pas son ampleur ; mais c’est tout ce dont ils ont besoin. Toutefois… exactement la même attitude exaspère souvent d’autres gens : mes supérieurs, mes amis, Angela, toi… Je n’ai jamais compris pourquoi.
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