Intriguée par le syndrome de
Korsakov, c'est le thème du livre qui m'a incité à le commencer, malgré un premier contact avec
Eric Fottorino qui m'avait laissé une assez mauvaise première impression (
L'homme qui m'aimait tout bas). Je ne remets pas en cause les talents littéraire de l'auteur, c'est simplement que je n'accroche pas. Malheureusement, cela s'est confirmé avec
Korsakov.
Le livre est construit en trois parties qui correspondent presque à trois histoires distinctes. La seconde, la plus longue, traine franchement en longueur. le personnage principal, atteint par
Korsakov, perd la mémoire, ce qui est plutôt bien transcrit dans le récit (un peu à la manière de
Jaume Cabré dans
Confiteor). Mais je me suis vite lassée de son obsession pour son père biologique qui revient sans cesse. La dernière partie, sur le grand-père mythique en Tunisie, fantasmée ou réelle, est finalement la plus réussie.
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