Citations sur Spirou et Fantasio, tome 14 : Le prisonnier du Bouddha (7)
Lui qui, debout à la proue du splendide troupeau de la race bovine du pays, tient, d'un œil lucide et vigileant... le gouvernail , dont les voiles, sous l'impulsion du magnifique cheval de trait indigène, sur la route toute droite de la prospérité, le champignacien qui ne craint pas ses méandres, car il sait qu'en serrant les coudes il gardera les deux pieds sur terre, afin de s'élever à la sueur de son front musclé, vers des sommets toujours plus hauts!
(discours du maire de Champignac, page 18)
Et maintenant, Jones, je vous le dis : ce caillou représente la plus extraordinaire émotion de ma vie !!
]...le champignacien qui ne craint ses méandres, car il sait qu'en serrant les coudes, il gardera les deux pieds sur terre, afin de s’élever à la sueur de son front musclé, vers des sommets...toujours plus hauts !
Vois-tu Spirou, trop de gens ont perdu le sens des joies simples ! Fais comme moi ! Remplis tes poumons des senteurs vivifiantes de la campagne...
Nô! vô ne rendez pas compte à vô!... La situation il était maintenant terrible! Personne il ne pouvait réoussir cette libération! Elle était contre toutes les théories stratégiques!
-ça c'est déjà un bon point...
Je me demandais si on trouver des gens courageux pour venir et me libérer...
-On n'en a pas trouvés, alors nous sommes venus avec la pétoche...
DES NOISETTES GÉANTES ! je croyais que ces choses là n'arrivaient jamais que dans les rêves d'un écureuil !...