L’aurore chez les dieux
Des zéphyrs désespérés cueillent l’ombre fauchée
De ces fleurs respirant
Les grâces du matin.
Le reflet de parcimonie du soleil, dupe des gouttes sucrées,
Qui découlent sans encombre.
Une vague de fraîcheur courtise l’ambiance
Sur le regard jaloux
D’un crépuscule qui s’impatiente.
Les oiseaux ont peur de toucher aux soupirs
Des palmiers.
La symphonie des murmures hilarants
Des bestioles imitent la poésie imaginaire
De la verdure...
À l’aube
D’un baiser,
Se répandent quelques gestes
D’amour.
Le temps est à aimer ;
Le pain d’amour se partage
Entre les cœurs par les mains.