Le centre d'appel

Heureusement je suis en vacances pour quelques jours. Et j'avais puisé dans ma Pal, avant de partir, quelques livres qui y étaient depuis des lustres. Des livres qui ne me tentaient pas plus que ça et qui avaient atterri là, par hasard peut-être… je ne sais plus.
Oui, heureusement que les vacances me rendent plus clémente, car ce roman insipide, je ne l'aurais certainement pas lu jusqu'au bout si j'avais eu autre chose sous la main.
Diable que c'est mal écrit (pas de style), plein de clichés (plus ou moins sectaires), et à l'intrigue ultra-légère. Par contre, si vous voulez des informations sur les centres d'appel et leurs façons de fonctionner, vous trouverez amplement de quoi répondre à vos questions. C'est peut-être bien le seul effet positif de cette lecture. Mais autant lire un petit guide du style « que sais-je » à ce sujet, là il n'y aura pas de tromperie quant à la lecture.

Je vous livre quant même le synopsis au cas où quelques-uns d'entre-vous risqueraient un pas de plus (c'est un risque, certes, mais j'en connais qui en prennent), car la quatrième de couverture vaut le coup d'oeil :

A partir d'un centre d'appel délocalisé, une bouleversante histoire d'aujourd'hui se noue entre des êtres qui n'auraient jamais dû se rencontrer : Constantine, téléphoniste à Dakar ; Aimé, qui n'en peut plus de vendre ses contrats d'assurance ; Luc, handicapé coincé dans sa banlieue et Ali, qui vit sous le soleil de Dieu. Métissage du monde, abolition des frontières, course au rendement, vies marquées par la solitude et les inégalités : de Dakar à Paris, José Frèches nous révèle ici une nouvelle facette de son exceptionnel talent de conteur populaire !

Je décline toute responsabilité en ce qui concerne la dernière phrase !