L’univers a une âme et nous en faisons tous partie à part entière.
L’amour que l’on peut éprouver pour un enfant est un amour qui dépasse toutes les explications du monde.
L’être humain peut parfois se montrer masochiste et se laisser aller à l’hypocrisie et la complaisance.
Chacun possède sa description des choses qui font notre monde et l’interprétation qu’on en fait est toujours personnelle. Aussi les mots ne reflèteront qu’une partie du tout, sans jamais embrasser le tout.
Il est des souffrances qui même racontées restent sans valeur, car les mots, aussi forts et choisis sont-ils, n’ont jamais que le sens qu’on leur accorde.
Il est vrai que la religion, au lieu d’ouvrir l’homme à de plus amples horizons, l’enferme plutôt dans les barreaux de sa culpabilité.
Il avait simplement regardé un arbre, sans qu'aucun savoir botanique ne soit venu encombrer sa pensée, libre de le voir simplement, de s'en imprégner jusqu'à ne faire plus qu'un.
Il avait toujours pensé que l'homme, à ses débuts, était à l'image de la nature, mais qu'ensuite, pour mille raisons ou pour une seule, il s'en était éloigné, comme un enfant s'éloigne de sa mère tout en l'aimait. La nature était à ses yeux d'une sagesse et d'une générosité exceptionnelle. Incroyablement méticuleuse, elle ne laissait rien au hasard et savait toujours quelle était la décision la plus judicieuse à prendre.
Pour qu'une goutte d'eau parvienne à faire déborder un vase, il faut déjà que ce vase soit bien rempli... trop rempli.
son esprit s'était vidé, plus aucune pensée ne le traversait, aucun conflit, aucune idée qu'il faudrait vérifier, analyser, mettre en pratique , tout était Un, l'osmose avec la nature venait de se produire, il avait pénétré dans l'âme universelle .