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Citations sur L'être de sable (58)

Il regardait sa fille comme s'il la découvrait pour la première fois, ou la dernière. Ce petit être qu'il adorait et qui méritait certainement plus que ce qu'il pouvait lui offrir, pensait-il.
Il se trompait, Giada était une enfant comblée, épaulée d'un père merveilleux devant qui elle était en admiration. Parfois, pourtant, il ne se sentait pas à la hauteur et s'en voulait. Elle avait fait naître en lui des sentiments et des émotions que jamais il n'avait connus auparavant, pour cela et pour mille autres choses il la remerciait à jamais. Il vivait au travers d'elle et elle vivait grâce à lui.
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Un père permet la vie à son enfant, il lui donne tout ce qu'il a, tout ce qu'il peut et souvent plus encore, c'est ce que fit le mien. En le perdant j'ai perdu mon plus grand protecteur. (p.11)
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"La vie est un hymne d'espoir et d'amour, un parcours de tous les jours..."
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Toutes celles et ceux qui un jour sont tombés savent qu'on ne se relève pas forcément plus forts, mais simplement différents.
Et la différence est un droit que nous avons tous.
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Il se souvint de la première fois qu'il lui fut permis de tenir son enfant dans les bras. L'amour que l'on peut éprouver pour un enfant est un amour qui dépasse toutes les explications du monde. Cet amour, d'une pureté exceptionnelle et unique, est quelque chose de magnifiquement fort et puissant, mais au moment où on le ressent, naît avec lui une forme de peur. Cette peur est celle du devenir de l'être que l'on aime, elle est humaine et Michel la ressentit particulièrement. Plus son amour grandissait, plus il avait peur qu'un malheur n'arrive à son enfant (p. 203)
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« Il n’y a rien de plus méchant que la bêtise et ses dérivés » (p.76)
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« Est-ce que Dieu, dans son infinie bonté, n’aurait-il pas caché l’enfer dans le paradis ? » (Paulo Coelho dans « sur le bord de la rivière Piedra, je me suis assise et j’ai pleuré ») ; est-ce que le paradis ne serait pas la foi, que la plupart d’entre nous avons et que nous vivons, et l’enfer l’endoctrinement quel qu’il soit avec ses principes et ses conséquences ? P 103
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Ces barreaux représentent quelque chose de terrible pour l'être humain. Ils sont ceux de l'éducation et du conditionnement, ceux de la description imposée du monde, dont il est impossible de se défaire sans une prise de conscience.
Depuis notre naissance, nous sommes façonnés, modelés et conditionnés ou, en un seul mot, "éduqués" de manière plus ou moins saine. Il y a une marque laissée en nous par chaque personne que nous avons croisée, chaque évènement, chaque blessure et chaque joie; les parents, l'école, la religion, les tendances. (...)
Toute cette mémoire accumulée nous empêche de vivre une vie dans laquelle nous pourrions nous épanouir. (p.229)
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Si la vie pouvait être soupesée avec une balance, on pouvait dire que ce jeune homme italien avait un côté qui penchait nettement plus que l’autre, celui de l’adversité et de l’infortune. L’autre côté étant les joies et le bonheur provoqués par les mille petits détails qui composaient sa vie. P 13
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Il est des souffrances qui même racontées restent sans valeur, car les mots, aussi forts et choisis sont-ils, n'ont jamais que le sens qu'on leur accorde.
Chacun possède sa description des choses qui font notre monde et l'interprétation qu'on en fait est toujours personnelle. Aussi les mots ne reflèteront qu'une partie du tout, sans jamais embrasser le tout.
C'est pourquoi une souffrance ne peut être ni quantifiée, ni qualifiée... On ne peut jamais que parler vaguement des effets qu'elle produit, sans pouvoir véritablement la cerner, sans pouvoir véritablement la partager.
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