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Un nouvel opus se passant dans l'espace cette fois. L'univers est riche, plein de détails - même si l'idée d'une prison lunaire n'est pas neuve - mais l'idée des papillons et de la métamorphose est bien trouvée. le sujet devient une quête de soi-même, une interrogation sur notre passé et notre avenir. le dessin est clair, les couleurs agréables à l'oeil, mais les visages sont trop inexpressifs à mon goût. L'intrigue est plus fluide que dans le tome 2 que j'ai lu juste avant et plus rythmée.
Pourtant là encore j'ai peiné à accrocher et à m'immerger dans l'histoire, au concept pourtant intéressant. du potentiel donc, mais pas abouti. du coup j'hésite à lire les autres!
La scène finale a un petit quelque chose de 2001 Odyssée de l'espace!
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Sept prisonniers est une bande dessinée de Mathieu Gabella (scénario) et Patrick Tandiang (dessin), publiée en 2009.
2047, une prison internationale est installée sur la Lune. Mais en 2056, l'ONU perd le contrôle de la prison à la suite d'une mutinerie. Une découverte extraordinaire dans une grotte sous la prison entraîne la convoitise de certains.
Une intrigue sombre avec une première partie prenante qui ne tient pas toutes ses promesses. Les dessins sont réussis.
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En 2062, la Lune est devenue un lieu d'incarcération, une prison dont on ne s'évade pas mais également une prison qui n'est plus contrôlée. En effet, les prisonniers se sont débarrasser des gardiens et forment 3 clans. L'un des clan a trouver une grotte mystérieuse qui recèle de précieuses informations pour l'humanité. Alors les prisonniers marchandent leur rapatriement sur Terre en échange de cette précieuse découverte pour l'humanité…
Je trouve le scénario très intéressant mais malheureusement, soit Mathieu Gabella a trouvé que 60 pages c'est trop court pour développer son histoire et à bâclé la fin, soit il a eu manque d'inspiration pour clore une histoire qui partait bien.
Le principe du one-shot est parfois frustrant et je le trouve particulièrement vrai dans cette collection où on voit des bonnes histoires qui mériteraient un développement en plusieurs albums. Au lieu de cela on se retrouve avec des histoires comme celle-ci qui partent un peu dans tous les sens et qui sont arrêté net.
Une lecture un peu trop frustrante pour moi.
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On sera tous d'accord sur un point: la série "Sept" ne se terminera pas en apothéose. Il y aura eu des perles et des ratés. C'était quand même un peu prévisible si le principe était de confier chaque volume à une paire d'auteurs différents qui possèdent leur propre style et qui ont nécessairement un talent variable...

Pour ma part, j'aime bien Matthieu Gabella pour avoir apprécié son scénario dans Les Mesures du temps ou plus récemment sur La Licorne. Ici, le projet était hautement ambitieux. Je dois bien avouer qu'il y avait de bonnes idées mais la fin paraît tellement bâclée.

Quelles sont les bonnes idées ? Avoir par exemple imaginé que la Lune pouvait devenir un immense bagne où les prisonniers sont livrés à eux-mêmes. Avoir également imaginé qu'on pouvait atteindre l'espace dans des ascenseurs d'un nouveau type hydraulique.

C'est de la science-fiction extrêmement violente dans un milieu cruel et barbare. L'enjeu est une découverte fondamentale pour l'humanité : une caverne préhistorique sur la Lune. Certes, il faudra s'accrocher question vraisemblance. Cependant, ce voyage mérite certainement une lecture avant d'être jugé un peu trop sévèrement.
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Le septième tome de cette collection au concept commercialement séduisant, basé sur le chiffre 7 (7 tomes, 7 missions à haut risque, 7 équipes de 7 héros décidés à réussir, et surtout un défilé de 7 scénaristes et 7 dessinateurs assez alléchant), est confié au scénariste Mathieu Gabella ("La Licorne") et au dessinateur Patrick Tandiang ("L'odyssée de Japper Black"). Avec ce septième volet, cette collection dirigée par David Chauvel et inspirée des films «Les 7 Samouraïs» et «Les 7 Mercenaires» tente de décrocher la Lune.

Combinant univers carcéral et histoire de science-fiction, le scénario de Mathieu Gabella est une belle réussite. Afin de contourner le problème majeur du cahier de charges de cette collection de one-shots, l'auteur constitue son équipe de sept au fil des pages, parvenant ainsi à développer ses personnages au fil des rebondissements, en un nombre de pages limité. L'histoire est très prenante, riche en surprises et parvient à tenir le lecteur en haleine jusqu'à la dernière page.

Graphiquement, Patrick Tandiang s'en sort brillamment. Au sein d'un décorum SF soigné et efficace, le dessinateur propose des scènes de combat convaincantes et quelques vues spatiales très réussies. Son style dynamique et clair sied parfaitement à l'ancrage SF de cet ultime volet.

Bref, un excellent tome qui conclut une série qui ne m'aura finalement déçu que le temps de quelques pirates et de quelques guerrières.
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L'idée de départ me semblait intéressante pourtant... et puis ça part un peu dans tous les sens, on passe d'une action à une autre sans lien, bref, au bout d'un moment, on ne sait plus trop où on en est... dommage...
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Ce 7ème tome de la série est sans doute un de ceux que j'ai préféré jusqu'à maintenant. « Sept prisonniers » est très généreux, presque trop. Cette histoire aurait mérité un traitement plus long que ses 60 pages pour être réellement abouti. Mais trêve de pinaillage, en l'état « sept prisonniers » est une série B très efficace qui procure un grand plaisir de lecture.

Gabella propose un scénario très touffu, bourré d'excellentes idées. L'argument de départ qui rappelle pas mal « New York 97 » avait tout pour me plaire vu que je suis fan du film de Carpenter. Et ce point de départ est drôlement bien exploité. On se retrouve avec un vrai bon récit carcéral futuriste avec les clivages raciaux, les alliances et contre-alliances qui vont avec. Cet aspect est tout simplement jouissif pour ceux qui, comme moi, aiment les récits de prison. Mais Gabella ne se contente pas de poser son récit carcéral dans un décor futuriste. « Sept prisonniers » est aussi une vraie bonne B.D de science-fiction. le côté S.F n'est pas un simple prétexte mais est bel et bien le coeur de l'intrigue. Je ne veux pas trop en dire pour laisser intact le plaisir de la surprise.
Les 60 pages de la B.D sont un peu justes pour traiter une intrigue touffue et riche en rebondissements. Tout va un peu vite, une quinzaine de pages supplémentaires aurait été bienvenue. le récit aurait sans doute été plus maîtrisé, plus abouti. Mais cette impression que tout va très vite n'empêche pas d'apprécier la générosité d'un scénario dopé à l'adrénaline.

Ce « sept prisonniers », grâce à un scénario tonique du très bon Gabella et au dessin efficace de Tandiang, offre un très bon moment de lecture.
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J'ai à nouveau un avis mitigé sur ce tome de la série 7.
Il est pourtant plein de bonnes idées : la prison lunaire, les protagonistes, la 'chose' contenue dans cette fameuse grotte et d'autres mais j'ai trouvé ça, finalement, terriblement poussif et insuffisamment construit car, à nouveau, trop cloisonné dans le nombre limité de pages.
Les personnages sont intéressants pour certains et les autres...et bien, c'est comme souvent dans cette série, ils sont juste là pour faire le quota (mention spéciale pour le 7e prisonnier...).
Certains éléments tiennent du mauvais cinéma Z. Un exemple parmi d'autres : les prisonniers sont isolés sur la lune, loin de tout et en manque de tout; ils se regroupent en clans en fonction de leur couleur de peau...Ok...et les Noirs s'habillent en pagne et masques traditionnels alors que les Jaunes portent des casques de Samouraï...c'est quand même too much, non?
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Voilà, je fini la première saison de la série Sept, avec un avis mitigé. Je n'accroche jamais beaucoup aux BD de SF.... Mais je reconnais que le scénario est plutôt bien ficelé, il faut attendre les 2/3 de la lecture pour connaitre la raison du voyage. Et alors tout s'accélère. je trouvais déjà que le récit allait beaucoup trop vite, il y a tellement de choses que j'aurais voulu voir un peu plus détaillées, expliquées.
Je fini donc cette lecture assez satisfaite par l'idée, mais un peu frustrée par la forme, et la rapidité du récit.
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Ce 7e et dernier épisode de la saison 1 intitulé "Sept Prisonniers" a été pas mal bashé ici et ailleurs sur la Toile, mais moi je vais complètement m'assumer en déclarant que de l'ai bien aimé car il s'agit d'une bonne grosse Série B complètement décomplexée !!! (et donc un tome peut-être à réserver aux amateurs de Séries B ^^)
On a découvert un grotte préhistorique sur la Lune, et le chercheur Delage et le nabab multimilliardaire Valentin Laroche Galouseau savent pourquoi et comptent être les premiers sur place pour en exploiter les secrets... Sauf que la Lune est devenu le pénitencier de haute sécurité qui réunie toute la lie de l'humanité et qui est géré par l'ONU via un ascenseur orbital, sauf que les prisonniers ont lancé une mutinerie généralisée et que maintenant ce sont les tribus des Blancs, les Noirs, les Asiates qui dirigent le bagne lunaire revenu aux pires heures de l'Âge de Pierre (cannibalisme inclus ^^), sauf qu'ils ont découvert la caverne aux merveilles et menace l'ONU de la faire sauter si on accède pas à leurs exigences, et sauf que l'ONU que veut pas que l'humanité sache qu'elle ne contrôle plus rien du tout et que donc elle ne compte aucunement négocier avec les « terroristes »... Et bien voilà un beau bordel comme je les aime !
C'est compte une course contre la montre qui s'enclenche pour la team Laroche Galouseau qui doit atteindre la Lune au nez et à la barbe de l'ONU et atteindre la caverne aux merveilles au nez et à la barbe des tribus carcérales avant de revenir sur Terre au nez et à la barbe de tout le monde... Delage le paléontologue comme un poisson dans l'eau dans l'enfer lunaire, le yakuza Atanabe, la pilote Linda Lamumière, le mécano Edward Rooney, le docteur dealer Labbé et le mystérieux 7e membre dont je vous laisse le plaisir de la découverte doivent donc suivre les lubies de leur employeur qui ressemble fort à un Lex Luthor en mode Joker (oh oui il est très cool, mais parfois c'est too much et quand il se met à chanter « j'aurais voulu être un artiste » en plein massacre ça jump the shark ^^). Évidement tous les personnages cachent des choses, chacun joue sa carte perso, et les retournements de situations et d'alliances sont légions. On se demande quel est la salaud de la bande qui va remporter le jackpot, mais au final nous assistons au duel à distance entre l'intelligence de l'exploiteur et l'espérance de l'exploité : « l'enfer... une nappe de noirceur qui vous happe. Un piège qui vous enlève tout... Alors autant tout abandonner. Tout laisser derrière soi. J'aurais dû y penser avant.... L'enfer. Rien n'est mieux armé pour s'en échapper qu'un papillon »...
C'est violent voire gore, amoral et immoral, véritable Dirty Dozen à la sauce Quentin Tarantino. Mais c'est aussi truffé d'hommages : à "Cosmos 1999", à "Le Prisonnier", mais d'abord et surtout aux bonnes vibes d'"Escape from New York" et "Escape from L.A." de John Carpenter donc ici on est un peu dans Escape from Earth ! Niveaux graphismes le travail du dessinateur Patrick Tandiang et du coloriste Yves Lencot est un peu brut, mais après tout on est tellement proche de celui de Charlie Adlard pour "The Walking Dead" qu'on ne va pas faire la fine bouche hein ?


Challenge défis de l'imaginaire (SFFF) 2018
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