Quand tu prendras la vie comme un fruit, tu sauras que l’amour en est le suc et la beauté le noyau.
L’homme médit au lieu de méditer. C’est le premier mal : ne pas prendre le temps de voir le bien où il se trouve.
Une des grandes vulgarités de l’esprit, est sans doute la plus fatale, consiste à tourner en dérision la pureté et la beauté.