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Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Pas facile d'écrire une critique quand un livre ne nous a pas touchés, surtout quand il s'agit d'un auteur nobélisé.

J'ai aimé le dépaysement de la chaleur sud-américaine et la prose recherchée de l'auteur. Mais je n'ai probablement pas une connaissance suffisante de la politique colombienne pour apprécier la fable de ce village perdu, une bourgade dominée par un maire choisi par le pouvoir et par un curé qui tente de mettre de l'ordre dans la vie matrimoniale de ses ouailles.

Des dénonciations anonymes, un meurtre et une rage de dents, une suite d'événements dont je ne sais pas toujours s'il s'agit de descriptions réalistes, de contes satiriques ou de métaphores sociales. Ces situations n'ont malheureusement pas suscité de grandes émotions de lectures, je suis restée sur ma faim.

Un rendez-vous manqué, ou plutôt une « mala hora », une mauvaise heure en compagnie de Garcia-Marquez.
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Malgré sa courte durée, « La mala hora » est un roman assez pénible à lire en raison de son rythme lent et poussif, comme des jours pluvieux sous les tropiques.
Il ne se passe pas grand-chose ou presque dans ce petit village perdu martyrisé par une campagne de dénonciations jusqu'à ce que la machine à broyer du politicien local se mette en marche avec un certain savoir faire en terme de brutalité, terreur et manipulation.
C'est cette violence ancestrale imprégnant les pouvoirs publics ou la sphère privée que décrit Marquez, cette violence qui alors qu'on la croyait endormie pour laisser place à plus de considération pour les citoyens, ressurgit pour provoquer la peur et le chaos.
Face au Maire et ses soldats, le pauvre curé local ne pèse pas lourd et doit plier, alors que les autres citoyens menacés préfèrent eux la voie des armes pour échapper à l'oppression.
Lien : https://lediscoursdharnois.b..
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J'ai ce roman dans ma Pal depuis des années, j'ai adoré Cent ans de solitude que je vous conseille vivement et beaucoup aimé L'amour au temps du choléra. C'était donc avec plaisir que je retrouvais la plume de cet auteur nobelisé.

Nous sommes dans un village en Colombie où des affiches sont placardées sur les murs qui révèlent des secrets sur les habitants. La bourgade qui semblait avoir retrouvé la paix après la guerre civile se voit chamboulée par ces affiches.

C'est un court roman, 220 pages, heureusement me direz vous étant donné que je n'ai pas aimé mais justement c'est peut être le défaut du roman... parce qu'il m'a manqué une mise en contexte, un développement des personnages et des faits. Tout va trop vite, s'en est brouillon. Je n'ai pas toujours compris qui était qui, pourquoi un tel réagissait comme ça, certains propos sur la situation du pays est difficilement compréhensible sans un minimum d'explication...

Bref mauvaise pioche mais je lirai à nouveau Gabriel Garcia Marquez c'est certain !
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c'était à Trinidad , sur l'île de Cuba alors que je venais de contracter la grippe, qu'allongé dans ma chambre je me suis plongé dans ce roman qui transpire d'humidité chaude, d'humanité crasse , dans une langue simple et imagée .Aucun personnage pour rattraper l'autre .
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