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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Cham Wickware, 27 ans, directeur artistique dans une boite de pub, rêve de voler et de sortir de son corps. Même petit il dit avoir déjà fait cette expérience, mais sa mère (adoptive) psy de surcroît, lui dit qu'il fait ce genre de rêve parce qu'il est adopté et que ses parents (adoptifs) sont loin l'un de l'autre. Tout cela serait du à ce traumatisme de l'abandon. Mais Cham ne croit pas à cette théorie, il a vraiment quitté son propre corps et ses rêves sont de plus en plus explicites. Jusqu'au jour où il trouve une plume d'aigle sur son lit... de nos jours, on n'a pas le droit de posséder ce genre de plume, il faut être descendent d'ancêtres qui pratiquent leur rite religieux... Alors que signifie cette plume...

Cham est né le 21 décembre (21-12), il fête aujourd'hui son anniversaire et il se prépare à recevoir ses deux parents. Mais en plein milieu de Time Square, il s'aperçoit que son téléphone portable ne capte plus rien et sa montre c'est arrêtée. A la seconde précise où la pendule marque 12 décembre 2012 (21-12-2012) à 12h 21mn et 12s... Un point lumineux brouille se vue... Il se sent brusquement éjecté de son corps et se s'élève à une centaine de mettre au dessus de lui...

Cham a perdu connaissance au beau milieu de la rue, juste au moment où passait Marie avec son bus plein de touristes venus visiter New-York. Cham avait perdu connaissance dans la vapeur d'une bouche d'égout... et cela faisait vingt minutes que l'urgentiste essaie de le réanimer, sans succès. Son accident avait eu lieu une heure au paravent... Un délais bien trop long pour revenir à la vie... Un arrêt cardiaque de 72 minutes au total !!! Pendant ce temps Cham vol comme un aigle au dessus de l'Ile de Manhattan, en un temps où il n'y avait que des pleines et des rochers...

Le père de Cham est antiquaire, il n'a pas vu son fils depuis longtemps et c'est ce jour du 21-12-12 qu'il va assembler devant son film l'objet sacré qui transformerait radicalement sa vie ainsi que celle de l'histoire de Manhattan. Ce soir dans la cathédrale John The Divine dédiée au prophète de l'Apocalypse, allait se jouer d'avenir de Cham...
Mais c'est sans compter le réveille de Cham, il dit qu'il a volé avec un aigle au temps des Indiens, en 1612... Va commencer pour Cham, une série de choses étranges... Il va surtout devoir rassembler et retrouver toutes les pièces de ce Calumets des Amérindiens qui selon la légende avait été volé le 11septembre 1609 date de l'arrivée de Henry Hudson et de son équipage sur la rive qui portera son nom... Sans quoi, Manhattan sombrera sous le déluge...

Une fabuleuse aventure qui se base sur des fais historiques qui retracent la présence des Indiens d'Amérique sur les terres de Manhattan en passant par les attentats du 11 septembre 2001 pour arriver de nos jours tout ça au travers de Cham, ce jeune homme totalement ignorant de ce qu'il est et de ce qu'il représente, qui se trouve en relation psychique avec ses ancêtres et qui va devoir déjouer une légende pour sauver le monde, ou presque...

J'ai beaucoup aimé cette vue différente de l'Apocalypse que nous connaissons toutes et tous. Cette nouvelle version est assez surprenante et je trouve qu'elle peut tenir la route, surtout que l'auteur, Bruno Harel, nous fait découvrir d'autres signes qui m'apparaissent intéressants !!!
Je ne me souviens pas avoir lu un livre sur l'histoire des Amérindiens, ici j'ai trouvé que l'auteur est habillement arrivé à me plonger tout de suite dans ces légendes.

Une intrigue très bien menée, le premier tome d'une série qui promet... Amateur ou amatrice de chamanisme et d'Amérindiens, je vous le conseil et pour les autres, je vous le conseil aussi;)

Je tiens à remercier Babelio et les Editions Belfond pour m'avoir envoyé ce livre dans le cadre de « Masse Critique ».
Lien : http://tousleslivres.canalbl..
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Je remercie les Editions Belfond d'avoir bien voulu me faire confiance dans le cadre de l'opération "masse critique" de Babelio.

Cham Wickware est un jeune New-Yorkais qui est plutôt solitaire. Il habite en collocation avec Tom, un homme qui est tout le contraire de Cham.

On suit le publicitaire qui au début du livre, mène une vie normale, jusqu'au jour où celui-ci va se retrouver à partager son corps avec un Indien.

Nous sommes donc a New-York. Étant une ville qui existe, j'ai remarqué que j'ai toujours plus de mal à m'imaginer les lieux que si on prend une époque médiévale par exemple. Mais on s'y fait : au fur et à mesure de l'avancé de ma lecture, j'ai réussi à peu près à me les représenter.

L'aventure est prenante petit a petit. Je n'ai pas attaché tout de suite mais je ne me suis pas non plus ennuyé. L'action est suffisamment présente tout le long du bouquin pour qu'il n'y est aucun moment où l'on pourrait s'en lasser. On rencontre des gens attachants, des personnes qu'on aime de moins en moins au fur et à mesure qu'on avance dans l'histoire et d'autre qui sont nécessaires à l'histoire mais sans plus.

J'ai beaucoup aimé les différences de caractères que l'auteur attribue a chaque personnes. Ici, il n'y a pas de gens parfaits : j'ai trouvé que ça nous rapproche plus des personnages.

Un soucis a été présent pour ma part, mais pas handicapant non plus : les mots anglais.. Ayant appris l'anglais seulement 2ans lorsque j'étais au collège, je ne suis pas attaché à cette langue, je n'ai donc pas cherché à comprendre.

Autre soucis : j'ai eu un peu plus de mal tout de même à entrer dans l'histoire car l'auteur fait référence à des faits historiques réels. Mais en fin de compte j'ai trouvé ça très sympathique pour la fin. Il utilise ces informations pour donné plus d'ampleur à son histoire.

Au niveau de l'écriture, tout est très fluide et les caractères ne sont pas tout petit donc cela a été une lecture agréable durant tout le long.

Et pour finir, j'ai adoré la deuxième moitié du livre !

La première moitié est plutôt faite pour nous faire découvrir les lieux et les personnages. L'action est, comme je l'ai dis, présente. Mais elle est beaucoup plus appétissante dans la deuxième partie.

Petite chose utile : Je pense qu'on peut s'arrêter à ce bouquin si on n'a pas l'envie de lire les suivants car la fin n'est pas faite de sorte à nous mettre de l'eau à la bouche au point de nous faire saliver.

Moi j'ai envie de lire la suite en tout cas !

Ma note : 5/5
Lien : http://univers-livresque.blo..
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J'ai reçu le Fils de Manhattan grâce à une masse critique de Babelio, je tiens donc avant tout à remercier Babelio et les éditions Belfond pour leur confiance.

Quand j'ai reçu le mail me proposant ce livre, je dois avouer que je n'en avais pas entendu parler, le résumé me tentait bien. Et je n'ai pas été déçue, je partais sans aucun à priori, n'ayant lu aucune critique. Ce fut un vrai « page turner », je l'ai commencé dans la soirée, et l'ai reposé une fois fini quelques heures plus tard.

Nous découvrons donc Cham Wickware, publicitaire pour une compagnie aérienne, New-Yorkais, au début on comprend qu'il est obsédé par les aigles, du moins par un aigle. Nous sommes le 21 décembre 2012, date bien connue vu à quel point nous en avons parlé récemment, mais ce n'est pas que la fin du monde, c'est aussi l'anniversaire de Cham. Mais c'est une fête plutôt gâchée, puisqu'il perd son travail, est possédé par un esprit indien et doit rendre visite à ses parents qui nous apparaissent vraiment particulier. L'antiquaire qui aspire à un grand destin pour son fils et la mère, psychologue, qui semble assez timbrée elle-même.
Dans ce livre, nous découvrons le chamanisme, thème que je ne connaissais pas et que je n'avais pas encore croisé dans les livres. J'ai trouvé très intéressant la façon de l'évoquer et ce qu'on en découvre. Ca fait du bien en plus de changer un peu de thématique et de trouver un livre très original comme ça.

L'écriture de Bruno Garel est très fluide, on lit les mots, on enchaîne les pages sans s'en rendre compte. En quelques heures j'avais fini le livre sans m'en apercevoir. Les personnages sont attachants, Cham et Marie sont mignons, on a envie de les protéger, Tom est drôle, la mère complètement folle nous atterre un peu. Lorsqu'on finit le tome, on ne tombe pas sur l'éternel cliffhanger, ce que je trouve agréable. Nous ne sommes donc pas obligés de lire le tome 2 ou de râler parce qu'il faudra attendre, il n'y a pas de suspense particulier, bien sûr il reste des choses à découvrir, mais le livre pourrait finir ainsi.

Bref, ce fut une très bonne lecture, très agréable, originale.
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J'ai reçu le Fils de Manhattan grâce à une masse critique de Babelio, je tiens donc avant tout à remercier Babelio et les éditions Belfond pour leur confiance.

Quand j'ai reçu le mail me proposant ce livre, je dois avouer que je n'en avais pas entendu parler, le résumé me tentait bien. Et je n'ai pas été déçue, je partais sans aucun à priori, n'ayant lu aucune critique. Ce fut un vrai « page turner », je l'ai commencé dans la soirée, et l'ai reposé une fois fini quelques heures plus tard.

Nous découvrons donc Cham Wickware, publicitaire pour une compagnie aérienne, New-Yorkais, au début on comprend qu'il est obsédé par les aigles, du moins par un aigle. Nous sommes le 21 décembre 2012, date bien connue vu à quel point nous en avons parlé récemment, mais ce n'est pas que la fin du monde, c'est aussi l'anniversaire de Cham. Mais c'est une fête plutôt gâchée, puisqu'il perd son travail, est possédé par un esprit indien et doit rendre visite à ses parents qui nous apparaissent vraiment particulier. L'antiquaire qui aspire à un grand destin pour son fils et la mère, psychologue, qui semble assez timbrée elle-même.
Dans ce livre, nous découvrons le chamanisme, thème que je ne connaissais pas et que je n'avais pas encore croisé dans les livres. J'ai trouvé très intéressant la façon de l'évoquer et ce qu'on en découvre. Ca fait du bien en plus de changer un peu de thématique et de trouver un livre très original comme ça.

L'écriture de Bruno Garel est très fluide, on lit les mots, on enchaîne les pages sans s'en rendre compte. En quelques heures j'avais fini le livre sans m'en apercevoir. Les personnages sont attachants, Cham et Marie sont mignons, on a envie de les protéger, Tom est drôle, la mère complètement folle nous atterre un peu. Lorsqu'on finit le tome, on ne tombe pas sur l'éternel cliffhanger, ce que je trouve agréable. Nous ne sommes donc pas obligés de lire le tome 2 ou de râler parce qu'il faudra attendre, il n'y a pas de suspense particulier, bien sûr il reste des choses à découvrir, mais le livre pourrait finir ainsi.

Bref, ce fut une très bonne lecture, très agréable, originale.
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