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Citations sur Un mari féroce (10)

- J'ai un problème, commença Johanna.
- Je t'aiderai si je le peux, promit le prêtre.
Johanna fixa Gabriel droit dans les yeux pour répondre :
- J'ai deux maris.
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Les histoires de Johanna n'avaient qu'un seul défaut : en général, c'étaient les belles dames qui sauvaient les preux chevaliers.
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Entre femmes, nous devons nous soutenir... comme des sœurs et quand nous sommes témoins d'une injustice, nous avons le devoir d'intervenir. Unies, ensemble... si nous sommes ensemble, nous parviendrons à faire changer les gens. Oui, c'est cela : ensemble.
- Et comment faire ? Par où commencer ?
- Commençons par nous aider les unes les autres, expliqua Johanna. Plus tard, quand nous aurons des filles et des fils, nous leur apprendrons à s'aimer et à se respecter. Dieu nous a tous faits à son image, hommes ou femmes.
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Ils émergèrent lentement du chemin, noires silhouettes dans l'incendie flamboyant du couchant, telles deux apparitions mystiques : deux invincibles combattants sortant de la terre, deux dieux guerriers.
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- Mais pourquoi l'Eglise a-t-elle inventé des règles aussi cruelles pour les femmes?
Le père MacKechnie poussa un profond soupir.
- Les hommes qui ont peur édictent souvent des lois injustes.
- Que quoi auraient-ils peur, mon père?
- Des femmes, bien sûr.
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Je ne veux pas de lui, Nicholas. Tu dois avoir perdu la tête pour croire que j’épouserai ce monstre.
-Les apparences sont trompeuses, Johanna, répliqua son frère. Attends que nous soyons plus près. Tu verras la bonté dans ses yeux. Elle secoua la tête. Ses mains tremblaient si violemment qu’elle avait du mal à tenir les rênes de sa monture. Elle raffermit sa prise en essayant de ne pas rouler des yeux horrifiés à la vue du gigantesque guerrier….Et de l’animal effroyable affalé à ses pieds. Ils s’approchaient du site désolé. Le Laird se tenait sur les marches menant à un château en piteux état. Il ne semblait pas particulièrement ravi de la voir. Quant à elle, la vue du Laird MacBain la terrifiait. Elle respira profondément pour tenter de se calmer.
-De quelle couleur sont ses yeux, Nicholas ? Il n’en savait rien. –Ainsi, tu as remarqué la bonté dans ses yeux mais pas leur couleur ?
-Les hommes ne remarquent pas les détails aussi insignifiants, se défendit-il.
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Je n’aime pas les hommes forts surtout s’ils sont beaux.
-Vous me trouvez beau ? Il semblait surpris comme s’il n’avait pas véritablement conscience de son charme.
-Vous m’avez mal comprise, Milord. Votre beauté ne plaide pas en votre faveur. (elle ignora son expression incrédule). Et je n’aime pas vraiment les hommes forts.
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-L’obéissance et la soumission ne sont pas nécessairement la même chose, aboya-t-il.
-On m’a enseigné le contraire, se défendit-elle.
-On vous a mal enseigné.
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MacBain secoua la tête. – Je veux ce qui m’appartient de droit. Si pour obtenir ces terres, je dois épouser cette mégère, je le ferai.
-Pourquoi crois-tu que c’est une mégère ? s’étonna Nicholas, abasourdi.
-Tu m’as donné suffisamment d’indices pour que je devine à quoi elle ressemble, répondit MacBain. A l’évidence, c’est une femme obstinée puisqu’elle refuse de confier à son propre frère un renseignement de la première importance. Elle a besoin d’un homme qui la contrôle….Ce sont tes propres mots, Nicholas, alors ne fais pas semblant d’être surpris. Et pour finir, elle est stérile. Le portrait est flatteur, tu ne trouves pas ?
-Oh le modèle est parfois mieux que le portrait.
MacBain se gaussa. –Je n’attends rien d’elle comme épouse et tu as raison, je la traiterai correctement. J’imagine que nous trouverons un moyen de nous éviter réciproquement.
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MacBain perçut vaguement la murmure d’approbation quand Johanna se débarrassa enfin de sa cape qu’elle tendit à son frère. Il n’aurait su dire si lui-même avait laissé échapper une exclamation. Elle était d’une beauté saisissante. Nicholas n’avait rien dit de son apparence et MacBain, que ce sujet laissait indifférent, ne lui avait rien demandé. Il jeta un coup d’œil au baron qui affichait un air rieur. Il sait que je suis épaté, se dit-il. MacBain masqua sa stupéfaction et concentra toute son attention vers la superbe jeune femme qui venait vers lui. Seigneur, elle était magnifique ! Ses longs cheveux blonds lui balayaient la taille à chaque pas. De minuscules taches de rousseur se serraient sur les ailes de son nez. Ses yeux étaient d’un bleu clair et limpide, son teint parfait et sa bouche…Bon sang, sa bouche aurait damné tous les saints du Paradis.
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