Médecine 2e année (amour, coloc et stéthoscope)

Fanny Gayral dans Médecine 2ème année nous plonge dans le quotidien des étudiants en médecine. Entre les cours, l'amour, la coloc, les dissections, l'amitié, l'hôpital, tout est réuni pour former un merveilleux cocktail littéraire.



Fanny Gayral étant médecin généraliste, la fiabilité de son livre est assurée. La narratrice arrive à nous transporter dans ce monde médical avec sensibilité et humour. de plus, l'écriture est fluide et agréable.



L'histoire est génial, on suit les pas de Célia qui vient d'entrer en P2, ce livre est parfait pour les lycéens je trouve. En dehors de la médecine, on apprend beaucoup sur les raisons des choix qui l'ont poussé à choisir cette orientation là. Célia est un personnage très attachant, on peut facilement s'identifier à ce personnage. Il est aussi abordé dans ce roman les relations humaines, la psychologie est donc assez présente. Pour les intéressés par la médecine, on apprend également beaucoup de choses dessus!



En bref, j'ai adoré ma lecture, je vous le conseille fortement! le livre sort le 4 septembre!
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Je serai honnête : c'est un livre que je n'aurai pas lu s'il n'avait pas été proposé par Netgalley. Pourquoi ? Parce que j'ai toujours eu, étant enfant, une certitude, jamais je ne ferai médecine, littéraire j'étais, littéraire je suis.
Célia a vu sa vocation se déclencher au tout début de l'adolescence, quand son grand-père est tombé malade puis a succombé à un cancer. Elle et son cousin plus âgé qu'elle ont tous deux choisi de faire médecine à cause de cette confrontation à la maladie – et non pour faire plaisir à leurs parents. Célia est en deuxième année de médecine, et la pression est moindre pour elle, pas de couperet éliminatoire. Il lui faut désormais entrer de plein pied dans l'apprentissage de la médecine, se frotter aux différents protocoles, les soins infirmiers, notamment, mais aussi la communication avec les patients. le milieu médical est un milieu dont on peut voir l'évolution – ou pas, d'ailleurs, certains restant campés sur leur position, le patient est un « cas », un « numéro », avant d'être un être humain (reproche que j'entends très souvent). Plus que le cours que suit Charlotte pour apprendre à s'adresser à un patient, j'ai vraiment trouvé intéressant, y compris dans mon quotidien, l'introduction de la CNV – communication non violente. Alors, cette pratique peut faire sourire, elle n'est pas facile à mettre en place, pourtant, en lisant, je me suis rendue compte à quel point, malheureusement, son contraire était fréquent, à quel point j'ai été confrontée à des personnes qui n'écoutaient pas (spécial dédicace pour l'infirmière scolaire de mon collège, quand j'étais ado).
Célia a d'immenses qualités : elle veut apprendre, et elle veut être dans la véritable bienveillance. Ses erreurs, qui ne sont pas des erreurs médicales, nous ne sommes pas dans un roman qui donnerait à des étudiants de deuxième année un rôle qui n'est pas le leur, sont avant tout des erreurs de communication, des erreurs humaines, qu'elle a à coeur de corriger, pour devenir une meilleure soignante. Alors, oui, elle a la vie d'une jeune adulte de son âge, avec des ami(e)s, un amoureux (ou pas, d'ailleurs), une famille, et une grand-mère qui, parce qu'elle pratique la CNV, dit véritablement ce qu'elle ressent et ce qu'elle pense, un exercice plus difficile qu'on ne croit.
En effet, on ne devient pas médecin ex-nihilo. On peut vouloir le devenir parce que l'on a vu sa mère, généraliste, se dévouer à ses patients et être heureuse de le faire. On peut aussi le devenir parce qu'on est le fils d'un grand patron qui ne vous laisse que le choix de l'excellence. On peut le devenir parce que vos parents vous poussent à le faire, pour eux avant tout, parce que c'est ce qu'ils attendent de leur enfant, et celui-ci doit faire ce qu'ils exigent. Oui, pour certains parents, il est flatteur d'avoir un enfant médecin, ce qui vous permet d'asseoir votre position sociale, et votre excellence, en tant que parents. Et l'enfant dans tout cela ? Il doit obéir. J'ai presque envie d'ajouter « comme au temps jadis », sauf qu'il est encore des parents de nos (et des magazines, des articles pour parents) qui professent que l'enfant, même s'il est adulte, n'a pas à décider, ce sont ses parents qui doivent tout choisir pour lui. Les résultats, dans le livre, je vous laisse les découvrir. Dans la vie (et je vous parle de mon expérience professionnelle), ils furent catastrophiques pour les enfants. Fort heureusement, il est des enfants qui savent dire leur choix, soit parce qu'ils sont soutenus par leurs parents, soit parce qu'ils savent se libérer de leur tutelle affective. Etre étudiant (en médecin ou dans une autre discipline) n'est déjà pas facile, alors s'il faut avancer seul, il faut vraiment une bonne dose de courage et de connaissance de soi-même.
Médecine 2e année, Amour, coloc et stéthoscope est une tranche de vie, de celles des étudiants et de celles des patients qu'ils rencontrent au cours de ces quelques mois. Un livre qui intéressera sûrement les adolescents qui souhaitent exercer une profession médicale. Et de se rappeler qu'être vivant, c'est faire le métier que l'on veut vraiment.
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Tout y est: le vide après les résultats pourtant positifs, les doutes sur sa vocation, les cours (et l'odeur du cours de dissection!), l'euphorie mêlée d'appréhension du WEI, les premiers déboires en stage... La confrontation avec la maladie, la souffrance, la détresse et la misère alors qu'on a que 20 ans...

Mais aussi les rebondissements amoureux, amicaux, la prise d'autonomie, l'amitié... La vie quoi!

Et dans ce décors si réaliste, si bien dressé: des protagonistes attachants, héros de l'ordinaire, portés par une plume délicieuse à lire! Pleins de bienveillance, parfois un peu beaucoup bisounours par rapport à la réalité mais un peu de légèreté fait du bien!

J'ai adoré ma lecture! Un roman vrai, qui parle simplement mais objectivement de la PCEM2!

Médecine 2e année, amour, coloc et stéthoscope raconte l'histoire de Célia qui va vivre tout ce qui est dit dans le titre finalement. Elle va faire une coloc avec ses deux amies, puis rencontrés des garçons et enfin, poursuivre sa découverte de la médecine durant sa deuxième année d'étude.

J'ai bien aimé ce roman Young Adult qui est bien plus qu'une romance adolescente. On n'y apprend pas mal de chose sur la médecine en générale et les différentes spécialisations, on ressent le vécu de l'auteure et elle nous transmet à sa façon, des connaissances. En plus, ces connaissances sont expliquées et vulgarisées ce qui rend notre lecture très accessible. L'écriture de l'auteure rend l'histoire addictive, on ne peut pas décrocher, on veut savoir le fin mot de l'histoire. D'ailleurs, je me demande s'il va y avoir une suite. J'imagine déjà une petite saga avec les aventures de Célia et de ses amis !

J'ai aimé le personnage de Célia car elle est douce, gentille, bienveillante et se remet sans cesse en question. Bien sûr, elle manque parfois de confiance en elle mais elle n'hésite pas à chercher un moyen de mieux faire et je trouve ça vraiment agréable de voir un personnage qui a cette faculté d'avancer, sans se lamenter et qui veut progresser. Les autres personnages sont très sympathiques mais finalement, on n'en sait pas beaucoup sur eux, ils sont plutôt en retrait et interviennent à différents moments de l'histoire.

Au niveau des messages, l'auteure nous rappelle de ne pas se fier au apparence, que l'amour ne se décide pas, que le soutien de nos proches est très important et c'est chouette de voir des messages aussi forts pour un roman adolescent.

Dans tous les cas, si vous avez envie de découvrir un roman Young Adult autour de la médecine, n'hésitez pas à découvrir ce roman de Fanny Gayral qui sort le 4 Septembre !
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Quand ce roman est sorti, il m'a tout de suite interpellé! Son titre m'a beaucoup intrigué, le résumé également et j'ai beaucoup aimé la couverture! Et bien je n'ai pas été déçue! J'ai vraiment passé un agréable moment tout le long de ma lecture.

La plume de l'auteur est vraiment très fluide. le roman se lit avec une facilité incroyable, malgré les termes médicaux souvent utilisé (en même temps heureusement pour un livre qui parle d'étudiants en deuxième année de médecine ça aurait été le comble quand même!). On ne se retrouve pas enfouie sous une tonne de termes pointus et incompréhensible qui peuvent venir gâcher notre lecture. Non ici, c'est extrêmement facile à comprendre et ça c'est absolument génial! Même en étant totalement,t inconnue dans le milieu hospitalier, on comprends absolument tout et on apprends même quelques notions. La plume de Fanny Gayral est si addictive et agréable que j'ai lu le roman d'une traite, je ne l'ai lâché qu'en tournant la dernière page.

Je pense que j'ai lu ce livre au bon moment! J'avais du mal a lire comme avant, le peu de livre que je lisais j'avais beaucoup de mal à rester concentré dans mon roman. Je pense que j'ai trop enchaîner les lectures lourdes… J'avais besoins de fraîcheur, de lectures légères, d'une histoire sans prise de tête. Et bien Médecine 2e année est tombé dans mes mains au bon moment! Ce roman m'a fait beaucoup de bien! le rythme est soutenu, on ne s'ennuie pas et les 240 pages défilent à une vitesse folle.

On est plongé dans la vie de Célia, avec ses doutes, ses déboires, ses joies, ses réussites et ses petites victoires. J'ai beaucoup aimé son personnage d'ailleurs. Je l'ai trouvé très touchante. Les autres personnages aussi, je les ai tous beaucoup aimé. Ils sont tous touchants à leurs manières. Fanny nous offre une palette de personnages agréables à découvrir et si bien construits que chacun peut s'identifier facilement à eux.

On voit bien pendant notre lecture que ce roman vise les jeunes adultes étant donné que ce soit un young adult, mais en aucun cas il s'agit de lectures trop « jeunesse » comme on peut le voir dans certains young adult. On prend un vrai plaisir un découvrir le monde des étudiants en médecine. Tout est présent pour vous offrir 240 pages de bonheur! Si vous cherchez une lecture sans aucune prise de tête, ce roman est absolument fait pour vous!
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Comme j'aime bien les séries télé se déroulant dans le milieu hospitalier (Urgences et Grey's Anatomy pour ne pas les citer), je voulais tenter ce roman que je voyais passer sur les réseaux et voir si cela fonctionnerait aussi pour une lecture.

La magie a opéré ici aussi puisque j'ai retrouvé les mêmes ingrédients qui me plaisaient : une bande d'amis qui débutent en médecine, les cours qu'ils suivent, le partage de leurs doutes, la gestion de la pression, les attirances et les disputes, et surtout leurs premiers pas auprès des patients. L'auteure s'est basée sur ses propres souvenirs d'étudiante en médecine pour nous livrer un roman au plus près de la réalité. Son héroïne, Célia, est un personnage attachant, auquel on peut facilement s'identifier, même si on n'a pas la même vocation qu'elle.

J'ai particulièrement aimé la description des différents cours suivis et des premières tâches demandées aux étudiants car c'est un univers que j'ai toujours admiré et sur lequel je me pose encore beaucoup de questions. J'aurais d'ailleurs aimé que l'auteure nous propose de suivre les personnages dans une série qui aurait commencé depuis la première année, année cruciale et épuisante dont les personnages parlent souvent.
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