En 3 jours, j'en ai lu 120 pages. Comme quoi, ce roman se refuse à moi. Au début, je trouvais les pensées des jeunes intéressantes. Ce qui m'a fait décrocher est cette femme qui fait l'amour avec un inconnu qui lui dit en partant : « Appelle-le Luca. ». Cinq ans plus tard rebelotte : « Appelle-la Luna. » Et voilà, comment elle devenue mère d'une albinos et d'un dingue de surf ! La narration, pour elle, est à la 2ème personne du singulier. S'y ajoutent des potes quadragénaires désabusés, un enfant de Tchernobyl. La plupart ont un parler de charretier et je suis toujours déroutée quand une description est expliquée en long et en large. L'Italie et la mer, cette fois, pas pour moi. Faut dire que j'ai lu avant L'empreinte et qu'après un tel ovni, on est très exigeant.
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Je n'ai pas vraiment adhéré à ce roman qui est pourtant un succès en Italie. Il m'a d'abord été difficile d'y entrer même si l'écriture est fluide. A chaque chapitre nous ne suivons pas les mêmes personnages qui vont peu à peu se croiser et se réunir; j'aime habituellement cette forme narrative mais dans ce roman je peinais à replonger à chaque fois dans l'univers de chacun. Les personnages sont atypiques mais je ne suis pas parvenue à réellement m'y attacher. J'ai cependant éprouvé davantage de plaisir dans la dernière partie du roman lorsque les personnages principaux entament leur voyage et la fin est belle. Pour conclure, je n'ai pas été embarquée par ce roman mais c'est un ressenti personnel et je comprends que les personnages puissent séduire d'autres lecteurs.
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La couverture est alléchante : la mer, la plage, des jouets.
La quatrième de couverture aussi. L'histoire, les personnages semblent sympas.
Le début, raconté par Luna m'a fait sourire. Cette petite a un grand sens de l'humour et un bon raisonnement.
Quant à Luca, c'est l'enfant parfait dont toute mère rêve.
Alors pourquoi, au fil des pages, je sens peser, rôder même des choses indicibles. le trouble m'envahit peu à peu au point même que je ne peux continuer ce livre.
Il m'oppresse, m'angoisse...
Quel dommage, une si belle écriture !
Mais on n'est pas là pour se faire du mal, n'est-ce-pas ?
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J'ai passé du bon temps en lisant ce livre. Ce que j'aime c'est qu'on change de point de vue à chaque chapitre, et malgré la multitude de personnages on arrive bien à les visualiser. J'aurais aimé que certains points soient plus développés et la fin me laisse un peu perplexe...je ne me suis pas tant attachée aux personnages que ça...Dommage ça aurait pu être vraiment mieux!
Le petit plus: le côté poétique de certaines scènes, un peu à l'image de la vie parfois. le côté aussi réaliste et où les choses ne se passent toujours bien...J'ai eu vraiment du mal avec les personnages de Sandro et ses amis...Je les ai trouvés un peu insipides...Mon personnage préféré reste celui du "grand-père"!
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La couverture m'a charmée et la 4e de couverture m'a intriguée.
J'ai passé un beau moment, vraiment.
L'écriture est très belle, j'avais envie de noter de nombreuses phrases qui m'ont parlé...mais je ne l'ai pas fait...il y en avait trop.
Le seul bémol est pour moi les propos assez crus tenus par certains personnages de cette histoire.
Et des personnages, il y en a. Et quelle galerie !!! Serena et ses deux enfants, Luca et Luna (une jeune fille albinos), un trio de potes quadragénaires et complétement paumés !!! Zot, le petit garçon de Tchernobyl et son "grand-père"...
Luna et Zot sont très attachants, tandis que les 3 potes sont plutôt agaçants...
C'est un roman doux amère, comme le dit très bien la 4e de couverture (et je suis rarement en accord avec une 4e de couverture !)
En bref...une belle découverte qui aborde des thématiques variées (amitié, famille, différences etc...).
Je ne m'attendais quand même pas à la mort de Lucas...
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