Si Elsa n'avait pour défaut que ce nom polonais impossible à prononcer, ce nom sans voyelles, M. Lazare Zeiss, qui est fou d'amour pour elle, s'accomoderait certes de ce détail. Mais la passion est un état bien plus incommode qu'un nom imprononçable, un état délicieux et violent où la tendresse et le désir basculent si vite en jalousie et fureur...
Si Une dame sans voyelles n'était que cela, un magnifique roman d'amour, le lecteur serait déjà comblé. Mais Laz... >Voir plus