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Citations sur La lettre oubliée (140)

Ah, et ces merveilleuses soirées pendant lesquelles Jean m'initie à la vie au milieu des livres ! Je ne savais pas qu'il existait autant de pensées, de points de vue et de singularités. Les maîtres de ce monde devraient être soumis à un contrôle de lecture, contraints de lire un minimum de cinq, non, dix mille livres avant de comprendre le monde et le comportement de l'humanité. (p.188)
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Le mal du pays n'est qu'une forme de chagrin d'amour, mais plus grave. (p.121)
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Je veux le nord et le sud. Je veux vivre avec tout ce qui est vivant ! Je fais le choix du -Et-, pas du -Ou-. Luc me laisse la liberté de tous les -Et- (p.134)
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Pourtant, il n'était pas question que de sexe quand ils avaient couché ensemble. Il était question de conquérir le monde. De formuler une prière venue du fond du coeur. De reconnaître ce qu'ils étaient , leur âme, leur corps, leur désir de vivre, leur peur de mourir. C'était une célébration de la vie. (p.135)
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Les libraires n'oubliaient jamais que les livres étaient encore un très jeune moyen d'expression pour changer le monde et renverser les tyrans. Quand Jean Perdu voyait des livres, il ne voyait pas que des histoires, des prix de vente et des premiers soins pour l'âme. Il voyait la liberté avec des ailes de papier. (p.166)
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A tous ses visiteurs de moins de quatorze ans, il vendait des livres au poids: deux kilos pour dix euros.
_On y perd, non? demanda Max
Perdu haussa les épaules.
_Financièrement, à coup sûr.Mais c'est bien connu que lire rend impertinent, et le monde de demain a bien besoin de quelques grandes gueules courageuses, vous ne pensez pas?
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Il avait toujours ressenti la proximité des livres comme une protection. Il avait trouvé le monde entier dans son bateau, tous les sentiments, chaque lieu, chaque époque. Il n'avait jamais ressenti le besoin de voyager, ses dialogues avec les livres lui avaient toujours suffi...Il lui était même arrivé de leur accorder davantage d'estime qu'aux hommes.
Ils étaient moins menaçants. (p. 303)
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Face à une femme, je me demande : est-elle le personnage principal de sa vie? Qu'est-ce qui la motive? Est-ce qu'elle ne tiendrait pas plutôt un rôle secondaire dans sa propre histoire? Est-ce qu'elle se coupe volontairement de son histoire parce que son mari, son métier, ses enfants ou son travail prennent le dessus?
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Est-ce que le bonheur est quelque chose qu'on ne décide qu'a posteriori ? Est-ce que nous ne remarquons même pas quand nous sommes heureux ? Est-ce que nous ne reconnaissons que plus tard que nous l'avons été ?
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L'habitude est une déesse dangereuse et vaniteuse. Elle ne tolère pas que l'on interrompe son règne. Elle tue dans l'oeuf une envie après l'autre. L'envie de voyager, l'envie de changer de boulot, l'envie d'un nouvel amour. Elle empêche de vivre comme on le voudrait. Parce qu'à force d'habitude, nous oublions de nous demander si nous voulons vraiment ce que nous faisons.
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