Relire un livre qu’on a aimé et qu’on connaît bien est une façon de se rassurer. On peut comparer notre vision du monde à celle de l’auteur. Quand il crée, l’auteur est roi et maître ; il sait comment son monde fonctionne.
C’est vrai que c’était plus facile de se soumettre à la peur que de l’affronter. Mais
Nous n’avons pas besoin d’être attachés à une autre personne pour nous sentir complets. Nous n’avons pas non plus besoin de nous transformer pour plaire. Il suffit de s’accepter, d’accepter nos forces et nos faiblesses. Les relations négatives ne doivent pas être poursuivies.
L’histoire du Diable est intéressante. Il ne s’agit pas du tout d’un être maléfique, comme on aime le voir dans les différentes branches de la chrétienté. Il s’agit plutôt de l’ombre, celle qui se cache en chacun de nous. En équilibre avec la lumière, cette ombre n’est plus une menace. Encore faut-il trouver la lumière…
On n’a pas non plus de mérite si l’estime de soi est dictée par la peur.
La réalité a soufflé sur sa flamme comme sur la mienne, et toutes deux se sont éteintes en douceur. C’est fini. J’ai survécu et je survivrai encore. Oui, c’est fini
On ne débarque pas dans la vie des gens comme ça, après huit ans, en prétendant avoir des droits. Un homme doit un minimum de respect à la mère de ses enfants. Tout d’abord, il faut prendre ses responsabilités dès le départ. Un enfant, qu’il soit petit ou grand, a des sentiments, des émotions. Il a des peurs, des envies, des besoins. Tous ces besoins non comblés ne s’évanouissent pas dans la nature le jour où un homme se rappelle qu’il est père.
L’argent ne peut pas acheter de l’amour.
Des droits, ça vient avec des responsabilités.
Quand le loup est dans la bergerie, on n’y laisse pas les agneaux sans défense.