Je retrouve de ces choses en fouillant chez mes parents ! Je suis super heureuse de retomber sur mes anciens tomes de Mélusine. Il y a ce côté nostalgie où je me revois gamine dévorer un nombre impressionnant de bandes dessinées. Et même si cette relecture apporte un regard nouveau, car plus adulte, notre jeune sorcière aura toujours une petite place dans mon coeur.
Mais trêve de sentimentalisme ! Dans ce tome six, Mélusine a décidé de trouver la formule suprême qui… eh bien, on ne sait pas ce qu'elle fait exactement mais avec un nom pareil et l'enthousiasme de notre chère sorcière, on s'attend à quelque chose de grandiose ! Nous la suivons donc dans la deuxième partie de la bande dessinée, dans son périple. Entre rencontres amicales et embuches, l'humour habituel de l'univers de Mélusine laisse le sourire aux lèvres et les pages se tournent sans qu'on s'en rende compte. Si bien que lorsque la fin arrive, on se demande bien comment cela a pu se produire… surtout que la découverte de la formule suprême laisse assez pantoise notre sorcière et nous aussi d'ailleurs (enfin, pas tellement, on s'en doutait un peu non ?). Mais c'est là tout le charme de cette bande dessinée après tout.
On retrouve dans la première partie tous les autres personnages de la série dans de petites histoires très courtes, toujours aussi mignonnes avec ce côté très dérisoire où les créatures qui sont censées faire peur, sont en fait tout comme nous. Un petit secret qui m'a fait aimer Mélusine tout de suite lorsque j'étais enfant rendant ainsi les personnages attachants, et donnant à son lecteur la possibilité de s'identifier (un peu) à tout ce petit monde.
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Mélusine, apprentie sorcière et employée de ménage dans un manoir, a pour patrons un vampire assoiffé et une femme fantôme. On la retrouve dans la forêt ou au manoir vaquant à ses occupations habituelles, avant qu'elle ne parte en quête d'une formule suprême, guidée par un vieux grimoire vers les montagnes noires.
Elle va croiser des farfadets, un dragon malade, des korrigans, des monstres indéterminés et un gromelot qui deviendra son compagnon de voyage et qu'elle finira par adopter.
Le dessin est très coloré, l'ensemble plutôt classique et le coup de crayon clair et efficace. La première partie est constituée d'anecdotes d'une page. L'humour est omniprésent avec des chutes souvent inattendues en fin de page. La deuxième partie narre la quête elle-même dans une histoire plus longue.
Personnage sympathique qui ne quitte jamais son chapeau pointu sauf pour dormir, et semble en constante lévitation toujours sur la pointe des pieds.
Un agréable moment de lecture très divertissant.
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Denier tome que j'ai retrouvé dans ma bibliothèque et que j'ai relu, avec plus de plaisir que les deux derniers je doid l'avouer.
En effet, ce tome n'est pas composé uniquement de gags mais également d'une véritable histoire intitulée "Farfadets et Korrigans".
Dans cette dernière, Mélusine décide de prendre des vacances bien méritées à la recherche d'une formule secrète dissémulée dans une crypte secrète au fin fond d'une forteresse.
Au cours de ses périgrinations, elle rencontre de drôles de créatures tels que des Kabols, des farfadets ou encore des korrigans mais le plus amusant de tous est une petite créature ressemblant étrangement à une petite peluche rose, u gromelot avec laquelle elle partagea ses aventures.
Un tome un peu plus travaillé que les autres à mon goût et, avec un scénario un peu plus sympa, ce qui n'en rend la lecture que plus agréable !
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Cet album présente une première partie constituée d'une série de planches dont l'histoire ou les anecdotes se situent dans le monde de la magie, des fées, des farfadets, voire des vampires et de toutes sortes de personnages ou peuples imaginaires.
Mélusine est une fée un peu moderne, servante et très puissante, mais souvent un peu naïve.
Il n'est pas rare que l'on profite d'elle.
Dans la seconde partie, on a une histoire complète : "Farfadets et Korrigans" (même si la construction du récit est influencée par cette habitude des planches à scénario court ).
Mélusine part en vacances pour trouver la formule suprême, qui permettra... sûrement beaucoup de chose.... (Mystère)
Le dessin de Clarke est simple et épuré sans être simpliste. Les scénari de Gilson sont pleins d'idées. (Comme toujours, on a envie de dire : "Il fallait y penser")
C'est un album simple, mais travaillé, réfléchi et on sent qu'il a dû demander pas mal d'heures de collaboration.
Un bon cru !
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Premier album de Mélusine que j'ai lu lorsque j'avais 12 ans. J'étais alors sous le charme de cette jolie sorcière, un brin sexy, douée en sorcellerie mais quelque peu maladroite et gaffeuse. le coeur sur le main, toujours prête à rendre service (surtout lorsqu'il s'agit de défaire les maléfices jetés par les fées ou de tester ses nouvelles potions magiques), Mélusine est attachante et c'est avec plaisir que l'on suit son quotidien de jeune sorcière.
Dans cet album, divisé en deux, nous avons d'un côté une suite de gags indépendants des uns des autres, et une quête plus longue, où Mélusine part à la recherche de la formule suprême ! Au programme : une contrée hostile peuplée de créatures non moins hostiles (mais pas forcément très futées non plus…). En somme, un moyen très divertissant de passer de bonnes vacances pour une sorcière telle que Mélusine !
La lecture de Mélusine me fait toujours passer un agréable moment. le trait de l'illustrateur s'est affirmé, il est moins enfantin que pour le premier tome en tout cas. C'est coloré, l'univers dépeint est immersif et les personnages affirment leur caractère, tout en restant chacun à sa place.
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Une quête magique...
Dans ce tome, Mélusine prend des vacances et part à la recherche de la formule suprême dont personne ne sait ce qu'elle contient. Afin de mener à bien sa quête, elle passe voir ses amis les farfadets puis, se heurte aux korrigans. Les vingt premières pages sont à part, elles concernent de courtes histoires sans rapport avec la quête de la jeune sorcière.
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Plusieurs tomes lus au CDI, mais c'est surtout ce tome 6 : Farfadets et korrigans dont je me souviens. On me l'avait acheté, je l'ai donc lu pas mal de fois.
J'aime l'univers fantastique, les personnages tous plus abracadabrants les uns que les autres. Les dessins me plaisent aussi, c'est simple sans être grossier.
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