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4,05

sur 528 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Qu'il est bon , aprés la lecture de quatre romans assez éprouvants , de se proposer une "petite pause " avec un polar qui , si j'en crois le nombre de critiques et la note globale de 4,12 a beaucoup plu aux lecteurs et lectrices babeliotes .( ca , on verra les commentaires aprés) .
Pour ma part , c'est avec enthousiasme que j'ai tout d'abord découvert deux personnages " hors - norme " ,même s'il faut bien reconnaître que cette " ficelle " est assez classique .Lui , il est flic mais a usé d'un stratagème quelque peu " limite " pour confondre un délinquant .Pan sur le nez , viré ...à moins que ...La planche de salut , ce sera Antonia Scott une sacrée nana , originale , qui possède une intelligence peu commune et , sans être de " la maison " a déjà permis de résoudre de nombreuses affaires ...Problème , elle ne veut plus s'impliquer .A Jon Gutiérrez ( le flic viré ) d'agir et de la décider , un assassin sévit au grand dam de la police ...
Bref , vous avez compris , je ne vous fait pas un dessin , les deux vont " se mettre en couple " , enfin pas vivre ensemble , hein , ( du reste , Jon est gay ) mais faire équipe pour des aventures dangereuses , à couper le souffle ...
Dés lors , l'histoire prend son envol avec des chapitres courts et nerveux , pour la plupart et notamment au fur et à mesure des avancées de l'enquête , des passages d'un personnage à l'autre , d'un lieu à un autre , avec des "remontées " dans le temps , des rebondissements et autres " coups de thêatre" , des actions dignes d'un film mouvementé où l'on pourrait utiliser à merveille de nombreux effets spéciaux . Je le disais au début , pas de grande originalité dans l'intrigue , mais un trés agréable moment passé en compagnie de ces deux personnages atypiques et , finalement l'u de l'autre assez proches dans leur façon de " voir " les choses . Une belle complémarité.
C'est bien écrit , bien traduit me semble -t-il et mon impression générale est plutôt favorable même si j'aime les romans avec un peu plus de " consistance ".
Je crois que ce roman va bientôt " sortir " en poche , une belle occasion de découvrir des héros qui , si j'en crois les commentaires de l'auteur , n'ont pas fini de " travailler " en duo pour le plus grand plaisir de leurs " aficionados ".
A trés bientôt .
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Jon Gutiérrez, est un policier sur la touche depuis qu'il a voulu faire tomber un proxénète, violent, en lui mettant sur le dos un trafic d'héroïne, monté de toutes pièces. Dans son grand élan de générosité et d'empathie, il a expliqué son geste à la compagne de l'homme en question, mais cette dernière a filmé la scène sur son téléphone portable et la vidéo a été virale sur les réseaux sociaux.

Un homme se présente pour son « entretien », Mentor, qui lui propose un étrange marché : rendre chez Antonia Scott, qui est en mode survie depuis trois ans, car son mari est dans le coma après avoir été agressé à leur domicile et Jon réussit à la convaincre de reprendre du service, tout sera effacé.

Après une prise de contact houleuse, Jon parvient à entraîner Antonia sur une scène de crime : dans une villa somptueuse, dans un quartier richissime, un jeune homme a été retrouvé mort sur le canapé, dans une position théâtrale un verre à moitié vide dans une main, qui contient en fait du sang. le jeune a été totalement vidé de son sang. Aucune trace de violence dans la pièce, donc il a été tué ailleurs et mystérieusement sa disparition n'avait pas été signalé par la famille.

Un binôme se forme, avec deux personnalités très différentes : Jon est un policier, plutôt bien noté, un peu en marge des autres car il est homosexuel et ne s'en cache pas, vit avec sa mère alors qu'Antonia appartient à une organisation qui traque les criminels de façon peu orthodoxe, créée sous couvert de Bruxelles, l'Union européenne.

Antonia est surdouée et elle a été sélectionnée puis formée par Mentor pour son « unité d'élite » avec des méthodes dignes du KGB (ou de la CIA comme on veut !) privation de sommeil, tests à répétition à effectuer le plus rapidement possible, sinon décharge électrique… elle a des crises d'angoisse, des phobies et toujours une boite de « pilules » à portée de main pour canaliser l'anxiété et éviter d'être dépassée par ses pensées (comme des singes dans la tête comme elle dit !)

Cette enquête va nous emmener vers d'autres enlèvements dans des familles richissimes avec un mode opératoire curieux : celui qui enlève téléphone aux familles mais au lieu de leur demander une rançon, il leur demande quelque chose qu'ils ne peuvent pas faire car cela ternirait leur réputation : ou ils reconnaissent leurs « méfaits » ou la personne enlevée meurt dans un délai de 5 jours. Que vaut la vie d'une personne face à la réputation ?

L'enquête est rondement menée avec des scènes intenses (une course poursuite à 200 à l'heure, notamment), une rivalité entre les policiers chargés de l'enquête et notre duo Reine rouge (référence à Alice de l'autre côté du miroir, où la Reine rouge est obligée de marcher constamment pour pouvoir rester sur place), des informations qu'on n'échange pas, un journaliste qui veut la peau de Jon…

La reine rouge dit à Alice que dans son pays, il faut courir pour rester au même endroit, poursuit Mentor. Appliqué à l'évolution des espèces, ça signifie qu'il est nécessaire de s'adapter continuellement pour rester au niveau des prédateurs.

Au passage, l'auteur nous fait découvrir la vie personnelle, les traumatismes, de Jon et Antonia ce qui les rend attachants…

C'est la première fois que je croise la route de Juan Gomez-Jurado et ce ne sera sûrement pas la dernière, car l'idée est originale, l'histoire et le rythme d'une telle intensité que la lecture devient très vite addictive. J'adore être harponnée de cette manière par un thriller, et j'attends de pied ferme le second tome de la trilogie Antonia Scott car Reine rouge est le début de l'aventure.

Un grand merci à NetGalley et aux Fleuve-éditions qui m'ont permis de découvrir ce roman et son auteur dont j'ai hâte de retrouver la plume.

#ReineRouge #NetGalleyFrance !
Lien : https://leslivresdeve.wordpr..
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Un livre inégal.

Une première partie de roman exaltante portée par un iconoclaste duo et une narration percutante.

Une deuxième moitié du roman bien moins addictive.
Mon intérêt a fléchi à mesure que l'auteur accordait moins de place à l'articulation entre ces 2 enquêteurs pour basculer dans une forme plus banal de thriller.

Pourtant l'auteur c'est donné les moyens de ne pas faire dans le banal justement, avec une héroïne plus qu' extraordinairement intelligente associée à un flic déclassé. Lestez les tous deux de problèmes perso et pros de haut niveau, et obligez les à enquêter au sein d'une unité secrète. La matière ne manque pas.

L'ensemble reste néanmoins de bonne facture. Je me pencherai sur le tome 2 en espérant y retrouver l'enthousiasme du début.

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Jon Guitiérez est un inspecteur basque, " baraqué" comme un tonneau, il vit chez sa mère et il est homosexuel ! Il vient d'être viré car il a été filmé en train de "caser" la drogue d'une prostituée chez son Mac et, la vidéo de sa bavure est devenue virale !
Antonia Scott n'est pas une policière mais elle aide la police pour des missions exceptionnelles, elle fait partie du programme de la Reine rouge : une espèce d'Interpol. Elle a des capacités cognitives et un Q.I hors du commun, mais elle vit terrée dans son appartement de Madrid ou à l'hôpital auprès de son mari Marcos qui est dans le coma depuis 3 ans après une agression invalidante ! Elle a un fils, Jorge qui a été confié à son père et elle n'a pas le droit de l'approcher !
Et, c'est pour la faire réagir que Mentor ( son chef ) envoie Jon la persuader de venir étudier un gros dossier !
Un duo atypique qui va être obligé de résoudre :
1°/ l'enlèvement d'Alvaro Trueba, 16 ans fils de la Présidente de la plus grande banque d'Europe.
2°/ la disparition de Carla Ortiz, fille de Ramon : l'homme le plus riche d'Espagne.
Ils vont être gênés par l'ambitieux capitaine Parra et son équipe qui ne comprennent pas que ces enlèvements soient confiés à un "gay" sans emploi et à une "illuminée " qui se drogue avec des pilules rouges !
Leur gros problème est que le criminel qui détient le garçon et Carla ne demande pas de contrepartie financière pour libérer les prestigieux et fortunés otages !
Mais qui est celui qui se fait appeler Ezechiel et quelles sont ses motivations ?
Vous ne le saurez qu'au tome 2 de la série car, Juan-Gomez-Jurado nous "appâte " avec son duo d'enquêteurs, et si nous désirons connaître l'identité et les mobiles d'Ezechiel : il nous invite à lire la suite !
Un polar de 547 pages, divisé en chapitres courts mais avec trop de longueurs et l'impression de tourner en rond en attendant un dénouement qui, finalement ne sera pas au rendez-vous ! ! !
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Une fois de plus, j'avais loupé LE thriller dont tout le monde parlait…

Ben non, je n'en avais pas entendu parler, et pourtant, je visite des blogs, Babelio, Livraddcit. Ou alors, j'en ai entendu parler et puis, j'ai tout oublié. Problème résolu puisque je l'ai lu.

Il est bien ? Oui, il est addictif, rempli de suspense, de déductions, d'action, d'adrénaline, bref, tous les ingrédients d'un thriller qui pulse et qui fait son job.

Ai-je envie de lire la suite et de retrouver le duo hors norme ? Oui, absolument. Est-ce que ce thriller marquera ma mémoire ? Non, pas vraiment.

Qu'on ne s'y trompe pas, je ne vais pas descendre ce roman, il m'a bien diverti durant deux jours (560 pages – format poche – lues en 48h, c'est un bon rendement). J'ai apprécié le duo formé par Jon Gutiérrez, flic usé et viré pour faute déontologique et Antonia Scott, une femme brisée, au cerveau éblouissant, qui ne voulait pas bosser sur cette affaire de crime.

Un attelage disparate mais qui fonctionne bien et qui vous tira le carrosse avec fougue et humour, sans vraiment perdre de rythme. C'est la bonne découverte de ce thriller, même si Antonia est trop intelligente que pour être crédible et que le roman possède des ficelles et des trucs un peu gros. Mais ça passe.

Pour le scénario, il est classique sans l'être, déjà vu tout en étant cuisiné autrement et cela donne un plat assez speedé, bourré d'épices et qui ravira les plus blasés, même si certaines réflexions d'Antonia me sont restées hermétiques, sans explications ultérieures. Ou alors, j'avais le cerveau en compote !

L'autre bon côté du scénario, c'est que les enlèvement ne sont pas comme d'habitude, notamment dans les revendications. J'ai aimé la psychologie de certains personnages secondaires, torturés, tiraillés, mais restant tels qu'ils ont toujours été : inflexibles.

Dans Alice au pays des merveilles (à ne pas confondre avec Ça glisse au pays des merveilles), la reine rouge, un peu chtarbée, lui disait que dans son pays, il fallait courir pour rester sur place. Pour Antonia, c'est courir pour se mettre au niveau des prédateurs, toujours plus rusés, plus fourbes, plus sadiques.

Alors non, ce ne sera pas le livre de l'année, mais c'est un excellent thriller qui vous happera assez vite et ne vous lâchera plus jusqu'au final, bourré de suspense, d'adrénaline et de choses dont je ne vous dirai pas, afin de ne rien divulgâcher !

Un thriller addictif, qui déstabilise, qui intrigue, qui tient en haleine, qui fait son boulot, qui le fait bien, même s'il n'est pas toujours crédible…

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Je suis toujours fière de découvrir des auteurs qui ont les mêmes origines que les miennes, c'est pour cela que j'ai choisi ce livre.
Un superbe roman avec des personnages haut en couleurs.
On est directement captivé par l'aura que dégage ce duo improbable, leurs chamailleries et leur complicité. L'enquête est palpitante, bien rythmé et suffisamment complexe pour qu'on ne devine pas le dénouement. Pour moi cette lecture fut une très belle découverte et j'attends la suite avec impatience.
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Je ne suis pas une lectrice confirmée en matière de polars, il me semble pourtant pouvoir affirmer que celui-ci sort des sentiers battus.

Il est insolite et dépaysant, complètement loufoque.

C'était un vrai plaisir de lecture assorti de multiples chausse-trappes. On y voit à l'oeuvre un duo d'enquêteurs à la vie et aux caractères très singuliers, renfermant des blessures mal cicatrisées. Lorsque débute le roman, Jon et Antonia sont de parfaits inconnus l'un pour l'autre, mais l'alchimie est quasi immédiate, à croire qu'ils se connaissaient dans une autre vie. C'est un peu invraisemblable mais c'est un roman, donc passons.

Que dire de l'intrigue sans rien dévoiler ? Simplement que la tension s'installe et monte crescendo une fois passés les quelques chapitres introductifs.

Par bonheur, quelques doses d'humour sont distillées de ci de là afin de détendre nos mâchoires crispées par l'angoisse.

La lecture est addictive et dynamisée par les courts chapitres qui s'égrènent sans pouvoir lâcher le livre.

Quand les enquêteurs arrivent dans des impasses, et il y en a à foison, quand ils ne disposent d'aucun indice pour avancer, quand les moyens dont ils disposent se réduisent à peau de chagrin, quand on leur met des bâtons dans les roues, on se demande, et c'est insoutenable, comment ils vont rebondir.

Bon, on se doute qu'ils vont trouver une porte de sortie à ouvrir ou enfoncer, puisque c'est un roman.

N'empêche..., c'est bien amené et pendant ce temps : tic-tac, tic-tac..., on retient son souffle, les nerfs à vif, le ciboulot en compote.

J'aurais apprécié que le "comment en est-on arrivé là ?" soit étayé par le "pourquoi...", ce qui me laisse un peu sur ma faim, mais justement, ce n'est pas la fin !

En conclusion, je suis impatiente de lire la suite et que ma curiosité soit satisfaite.

En attendant, 
Muchas gracias Señor Juan Gomez-Jurado !
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Comme souvent dans les polars Reine rouge est une enquête menée par un duo improbable qui ne s'est pas choisi:

Lui c'est Jon Gutierrez "...il a l'habitude des antiquités (il vit chez maman), des coins sombres (il est gay) et des citoyens aux revenus d'origine suspecte et en en situation douteuse (il est inspecteur de police). " L'inspecteur Gutierrez a un torse en forme de tonneau et deux bras à l'avenant". Tous les samedis matins, pour le plaisir, il lève des pierres et son record est de 293 kilos. Pas toujours réglo avec les procédures il est contraint d'accepter une étrange mission ( en off bien entendu!) pour échapper à la prison. C'est ainsi qu'il va la rencontrer, elle.

Elle c'est Antonia Scott. Elle n'est pas policière mais sur des missions complexes sa différence lui permet d'apporter une aide précieuse car ses capacités de traitement des données sont étonnantes. Son esprit ressemble à une jungle. "...une jungle grouillant de singes, qui bondissent à toute allure de liane en liane en transportant des choses. Enormément de singes portant énormément de choses qui se croisent dans les airs en montrant les crocs"

Drôle de binôme mais aussi drôle d'enquête qui doit rester secrète car l'assassin enlève les héritiers des plus grandes fortunes espagnoles pour faire chanter leurs parents.

Vous n'en saurez pas plus sur l'histoire.

Scénario bien ficelé, alternance de chapitres courts et rythmés, de la tension et un peu d'humour l'auteur maîtrise les codes. Reine rouge a tout pour vous faire passer de belles nuits blanches. Une fois ouvert on ne peut plus le refermer et une fois fini on se dit que l'on commencerait bien le second volume.
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Toujours à l'affût des derniers thrillers addictifs, et Reine Rouge en fait partie !

D'abord un duo improbable comme on les aime : L'inspecteur Jon Gutiérrez, basque, qui n'est pas gros juste corpulent, et qui enchaîne les boulettes dans son service. Mis à pied par son service, on lui offre l'opportunité de se racheter s'il convainc Antonia Scott de travailler sur une affaire. Simple en apparence, très compliqué en fait car Antonia Scott est très spéciale. Cette femme au QI exceptionnel a résolu de nombreuses affaires sans porter de plaque et sans formation. La dernière en date l'a laissé sur le carreau et elle aspire désormais au vide.
Mais Jon réussit l'impossible et les voilà sur les traces d'un assassin qui s'attaque uniquement aux héritiers des plus grandes fortunes espagnoles.

Des chapitres courts qui nous lancent dans une course poursuite contre la montre. de l'humour, des secrets, des personnages fouillés qui rendent la lecture fluide et addictive. En somme un thriller addictif dont on a hâte de connaitre la suite !
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"Reine Rouge" est le premier tome d'une série de polars espagnols mettant en scène les enquêtes d'Antonia Scott et de Jon Gutiérrez... que l'on a hâte de retrouver dans la suite "Louve Noire" !

La scène s'ouvre dans l'appartement vide d'Antonia où elle se terre, suite à l'agression dont son compagnon, Marcos, et elle-même ont été victimes à leur domicile trois ans auparavant. Marcos est toujours hospitalisé, plongé dans le coma. Depuis, rongée par la culpabilité, elle a décidé d'arrêter de collaborer avec la police pour résoudre les affaires criminelles les plus difficiles grâce à son QI hors-norme.

L'inspecteur Jon Gutiérrez est un flic homosexuel vivant avec sa mère. Quelque peu "borderline", il vient d'être mis à pied sans solde pour faute grave. Son supérieur hiérarchique, le commissaire Mentor, lui propose d'étouffer son affaire de preuves falsifiées s'il parvient à convaincre Antonia Scott de reprendre du service pour étudier le dossier épineux d'une enquête criminelle en cours qui n'avance pas.

Ce duo insolite, mais complémentaire, va apprendre à s'apprivoiser et à collaborer de manière efficace afin de retrouver le meurtrier d'un adolescent de 16 ans, Alvaro Trueba, fils de la Présidente de la plus grande banque d'Europe. Retrouvé vidé de son sang, son cadavre a été mis en scène d'une manière tout à fait énigmatique...

La structure narrative progressive et cohérente est composée de trois parties qui alternent avec de nombreux flashbacks. Ce procédé permet de révéler peu à peu les fantômes du passé et la psychologie tourmentée du meurtrier, mais aussi les failles des deux protagonistes torturés, Antonia et Jon.

L'intrigue complexe est prenante, malgré quelques longueurs à cause de certaines digressions, et les chapitres courts donnent un rythme assez trépidant à cette enquête qui connait de nombreux retournements de situation.

Les personnages principaux sont attachants car ils sont forts et fragiles à la fois : leur amitié grandissante les rend vraiment sympathiques et l'on a hâte de les retrouver dans le tome 2. Un bon moment de lecture !
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