J'acceptai une tasse de café que je sirotai, savourant son riche arôme. J'avais récemment eu vent qu'au dire de certains, le café pouvait troubler l'esprit d'une femme. J'avais toujours trouvé qu'il aiguisait le mien. Peut-être était-ce là la vraie raison d'une telle objection.
Il ne m'avait pas encore identifiée comme la brebis galeuse de son troupeau. Ce n'était certes pas le plus clairvoyant des bergers.