Marc-André n’avait accès qu’à un très faible spectre de sentiments, on pouvait lire toute la palette de ses émotions dans l’inexpressivité de son visage.
À l'éventrement s'ajoutait le supplice des funérailles en public. Devoir rester debout des heures durant, alors qu'on voudrait s'étendre sur le sol, rentrer dans le sol, se rouler en boule dans le troisième sous-sol de sa détresse.