— Imaginez : un soir, passé minuit, vous rentrez chez vous, harassé par une pesante soirée chez d’ennuyeux confrères. Sur le trottoir désert vous trouvez ceci — ou plutôt : ceci vous guette, attire votre regard et le harponne à votre insu, au pied d’une façade, dans un rai de lumière tombé, comme par hasard, d’une fenêtre complice.
En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.