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Chronique de Flingueuse : Les Lectures de Maud pour Collectif Polar

Je suis toujours très contente de retrouver Clovis, journaliste qui vit dans sa bergerie quand il ne traverse par le globe. Et bien sûre, il lui arrive toujours de nombreuses aventures palpitantes.
Ici, ce qui lui met la puce à l'oreille se sont des agressions violentes qui ont amené à des meurtres qui vont mettre en émoi le bar où il a ses habitudes. Les différentes victimes ont des profils tellement différents que sa copine flic n'arrive pas non plus à démêler cette affaire. le vol ne paraît pas probent d'autant plus que se sont des personnes modestes qui ont subit l'assaut violent.
Parallèlement, Clovis doit faire un papier sur le célèbre mathématicien Alexandre Grothendieck, et de fil en aiguilles, ses recherches vont l'amener sur les camps allemands en France qui vont le conduire sur la piste périlleuse des disparitions d'oeuvres pendant la seconde guerre mondiale.
J'ai énormément apprécié en apprendre plus sur cette période artistique de la première moitié du XXème, les différents courants, appréciations et comment les nazis ont agi vis-à-vis de ce qui était considéré comme l'Art dégénéré. Comme à son habitude, l'auteur illustre parfaitement ses intrigues de faits historiques à la fois enrichissant et qui permettent de découvrir des pans de l'Histoire méconnu, en tout cas de moi. Les différents flash-backs sont impressionnants de réalismes et s'intègrent parfaitement à l'histoire.
Comme je ne lis pas les épopées de notre cher Clovis berger journaliste, j'ai fait la connaissance d'Eric son fils dans ce volet, venu passé quelques jours de vacances avec des amis et sa femme enceinte. Une ribambelle de marmots, des parents au différents profils, qui vont troubler le calme des habitants de la Varune. J'ai beaucoup ri à certains passages, l'auteur a su totalement intégrer la vie de la Varune au reste de l'intrigue. J'apprécie beaucoup les histoires de loup et de bergerie. Oups, pardon je m'égare un peu !
En résumé, je suis toujours aussi conquise par la plume de l'auteur, alternant des phases d'actions et de réflexions, parsemées d'Histoire. J'apprécie toujours en apprendre sur notre Histoire grâce à ses récits riches en détails. Clovis, est à la fois bourru, cool, attachant mais surtout il se fie à son flair et à chaque fois il découvre le fin mot de ses histoires.
Il me tarde de retourner à la Varune en compagnie de Clovis, ses moutons ou dans de nouvelles intrépides aventures !!!
Version lue : Brochée
Lien : https://collectifpolar.blog/..
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Il ne faut pas être un bandit de grand chemin pour savoir que les home jacking, il vaut mieux les faire dans des maisons habitées par des gens qui ont de la thune et pas chez le pauvre type qui a du mal à payer sa bouteille de vinasse…

Pourtant, un home jacking a eu lieu chez un mec sans le sou (et on l'a assassiné après lui avoir roussi la plante des pieds), puis chez un autre, pas plus riche, mais qui a réussi à s'enfuir… Qu'est-ce qui se passe ? Pourquoi ? Ce sont les questions que vont se poser Clovis Narigou et qui va lui faire démarrer sa petite enquête (mais pas que ça).

Ce polar n'a rien de trépidant, notre Clovis prenant son temps pour son enquête et l'auteur en profite pour poser son cadre de vie : une ancienne bergerie restaurée, son fils qui débarque avec sa compagne et trois autres couples, accompagnés de leurs petits vélociraptors de gosses.

Pourtant, je ne me suis pas ennuyée une seule seconde, même si j'aurais bien expédié les petits monstres de gosses non éduqués se perdre dans les montagnes…

En fait, dans ce roman, ce qui est le plus intéressant, c'est la partie historique concernant les spoliations d'oeuvres d'art aux Juifs, durant la période des années 1935 à la fin de la Seconde Guerre.

Sans oublier l'hypocrisie des nazis, Goering en tête, qui, tout en fustigeant l'art dégénéré, se gardait des tableaux pour lui… Plus tous les autres qui se sont servis allégrement à tel point qu'une chatte n'y retrouverait plus ses jeunes et qu'il est difficile pour les descendants des spoliés de récupérer leurs biens.

Entrecoupé de flash-back, le récit se lit presque d'une traite, tant il est intéressant et composé de plusieurs épaisseurs, tel un gâteau surprise, et le final est la cerise sur ce même gâteau, tant il était inattendu et très bien amené. le tout était de relier les fils de toutes ces histoires éparses et l'auteur a fait un beau travail de tricot !

Clovis, notre enquêteur un peu bourru, préférant la compagnie de ses chèvres aux humains, est attachant. J'ai aimé son côté enquêteur à l'ancienne, se fiant à son flair et passant des coups de fils, le tout sans être un super-héros ou un Jack Bauer.

Finalement, si la couverture est angoissante avec ce type portant un masque à gaz et un casque allemand, ce polar est totalement à l'opposé, car j'ai souri à certains passages et ailleurs, je me suis cultivée un peu plus.

Une belle découverte, un polar qui prenait les poussières depuis trop longtemps… Un bon roman policier, plus chouette que son horrible couverture qui pourrait donner envie de fuir ce polar !

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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L'avantage avec Gouiran, c'est que ses romans policiers ne prennent pas la tête et sentent l'anisette. L'inconvénient, c'est que leur schéma se fait répétitif. L'arrière fond historique est bien documenté, comme toujours. Ici c'est la spoliation des collectionneurs d'arts juifs par le régime nazi et la problématique de la restitution des oeuvres après guerre. Mais le procédé qui fait de Clovis Narigou, journaliste éleveur de chèvres à proximité de Marseille, quelqu'un qui se retrouve au milieu de d'affaires louches, dont il connaît toujours les intervenants, est un peu poussif.
Deux petites remarques anecdotiques. Une : on apprend dans ce tome que Clovis Narigou fait un peu de peinture sous un pseudo, anagramme de son nom : Gouiran. Comme Gouiran l'auteur, peintre à ses heures… Deux : comment peut on choisir une couverture aussi laide pour un livre traitant de peinture allemande contemporaine ?
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Clovis Narigou, le journaliste récurrent des polars de Maurice Gouiran a besoin d'argent pour retaper la bergerie dans laquelle il vit, la Varune. Il accepte donc une série de trois papiers pour un magazine qui paie bien, l'un sur Alexandre Grothendieck, ce mathématicien génial qui finit sa vie en ermite en Ariège, l'autre sur le camp d'internement de Rieucros pendant la guerre et le dernier sur un couple de Marseillais qui entame une procédure pour récupérer des tableaux retrouvés chez un vieil homme de Munich qui cachait plus de 1500 toiles héritées de son père et spoliées pendant les années où l'Allemagne était dirigée par les nazis. Dans le même temps, Éric, le fils de Clovis vient passer quelques jours à la bergerie avec sa compagne et des couples d'amis avec enfants ; la tranquillité du lieu en pâtit pendant cette semaine de vacances.

Comment relier ces trois histoires ? Eh bien, Maurice Gouiran y parvient sans problème, il faut dire qu'Alexandre Grothendieck a passé plusieurs mois avec sa mère au camp de Rieucros. Ce camp fut conçu en 1939 pour interner les opposants politiques non français, puis très tôt uniquement les enfants et les femmes : républicaines espagnoles, anti-fascistes allemandes, anarchistes, communistes, ... Pour l'autre histoire, souvenez-vous, en 2012, la police de Munich découvre chez Cornelius Gurlitt un vieil homme, 1500 toiles de maîtres signalées comme perdues, dont il a hérité de son père Hildebrand Gurlitt. Icelui fut marchant d'art et participa à la vente d'art dégénéré (selon Hitler) qui devait rapporter des fonds au pays pour construire le grand musée d'art conforme aux goût du Führer.

C'est donc, comme à son habitude, en mêlant réalité et fiction, en inscrivant ses intrigues dans L Histoire, dans des moments ou des lieux parfois oubliés que Maurice Gouiran construit son scénario. Et c'est vachement bien, le plaisir est triple, d'abord celui d'une enquête journalistique avec du suspens, des rebondissements, des personnages réels ou fictifs retors, contradictoires ; ensuite, c'est très instructif, on apprend plein de choses sur Rieucros, la spoliation des tableaux appartenant à des juifs, les Monument's men, Grothendieck ; enfin, on retrouve avec plaisir Clovis Narigou (anagramme de Gouiran, heureusement qu'il le dit, parce que je ne l'avais pas remarqué, même si je me doutais qu'il y avait sans doute pas mal de Maurice et Clovis). Et la Varune, sa bergerie, je rêve d'y aller passer du temps, beaucoup de temps... promis, je ne fais pas de bruit et je respecte la nature. En fait, je l'envie je me suis surpris plusieurs fois pourtant assez éloignées d'une lecture de l'auteur à rêver de ce lieu ou d'un autre ressemblant : calme, beauté des lieux, tranquillité, ...

Je disais plus haut que Maurice Gouiran construisait son roman "comme d'habitude", mais ce n'est pas tout à fait vrai : là où dans ses autres aventures, son refuge c'est la Varune, ça ne l'est pas ici envahie qu'elle est par les vacanciers amis de son fils et là où usuellement, il va se frotter à des gens pas très sympathiques, ce coup-ci, l'enquête est assez moderne : téléphone, mails, ... tout se règle sans action extra-ordinaire. Il fait donc l'inverse de ce que j'ai pu lire auparavant, et ça marche aussi bien, parce qu'encore une fois le fond est là, costaud, historique, documenté et fort bien restitué.

Donc, comme d'habitude, une enquête vivement menée, un personnage attachant avec qui je partagerais bien volontiers une mauresque (il me ferait découvrir ce breuvage dont il peut abuser parfois) qui évolue dans un décor de rêve. Un vrai excellent roman noir.

Lien : http://lyvres.fr
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Voilà un policier divertissant avec pour fond de toile une intrigue sur les tableaux volés par les nazis et les petits arrangements faits par ceux qui étaient chargés de les remettre à leurs véritables propriétaires.
Au premier plan, des assassinats qui n'ont guère l'air de pouvoir être reliés entre eux, la vie d'un journaliste, un peu retiré du monde mais pas de celui des affaires, le tout sous une plume alerte et assez incisive qui rend l'ensemble très sympathique. C'est la première fois que je lis du Gouiran et que je fais connaissance avec son "héros" Clovis mais le ton piquant et désinvolte servant l'entrelacement adroit des histoires m'y feront sans doute revenir.
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Honte à moi qui est ce polar à lire depuis quelque temps et de ne pas l'avoir découvert plus tôt. Parfois nous avons sans le savoir des petites pépites dans nos bibliothèques sans le savoir. C'est ce que j'aime dans la lecture, on ne sait jamais finalement sur quoi on va tomber et c'est le cas de ce roman.

Maurice Gouiran a un personnage récurrent qui est Clovis Narigou. Personnellement ça ne m'a pas dérangé de le rencontrer en cours de route et de ne pas avoir lu ses premières aventures. Clo, pour les intimes, est journaliste à la retraite. Il vit à proximité de Marseille dans une bergerie où il élève des chèvres. Mais pour pouvoir restaurer sa bergerie, il a besoin d'argent et accepte de faire quelques piges pour un grand journal. Il est amené à faire un papier sur un grand mathématicien du XXe siècle qui ne vivait pas très loin de chez lui. Et faisant ses recherches il va tomber sur l'histoire d'un camp de déportés pour femme à Rieucros qui va ensuite l'amener à se pencher sur la découverte à Munich de 1500 toiles de maître retrouvées chez un collectionneur. Il semblerait que ce soit des restes d'oeuvres d'art qui ont été spoliés aux juifs pendant la Seconde Guerre mondiale.
Un couple de retraités, quant à lui est retrouvé mort dans de curieuses circonstances, ainsi qu'un gus du coin qui a subi le même sort, des hommes ce sont introduits chez lui et l'ont torturé à mort. On se doute qu'il y a forcément un lien entre toutes ses histoires, mais les pièces du puzzle ont bien été mélangées et dures de les remettre dans le bon ordre.

J'ai adoré cette enquête particulièrement prenante. le fait de mêler faits réels et fiction m'a toujours épaté, car ça peut être vraiment casse-gueule si c'est mal mené. Mais l'auteur a fait un travail de recherche remarquable sur cette sombre période et sur l'histoire de l'Art allemand. J'aime beaucoup tout ce qui touche à l'Art et lorsque les polars mélangent meurtre / Art et en plus Seconde guerre mondiale je ne peux qu'aimer ce que je lis !
Je me demande encore une fois pourquoi je n'ai pas lu ce livre plus tôt ! Quant à Clovis, je l'ai adoré ! Tout dans ce personnage m'a plu, que ce soit sa façon d'être, sa personnalité, son charisme (oui oui on peut parfois imaginer le charisme d'un personnage rien quand lisant un roman si si je vous jure ;-))
Il va avoir du fil à retordre dans cette enquête, surtout que son fils et sa belle-fille vont débarquer avec tout un tas d'amis et leurs enfants ce qui va déranger la quiétude de la bergerie. Et Clovis ne pourra donc pas profiter de sa copine, Emma, qui est flic et bosse sur les meurtres horribles du couple de retraité. (..)
Lien : https://livresaddictblog.blo..
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Dans le cadre de cette lecture, je ne vais pas vous résumer l'histoire mais plutôt introduire les personnages concernés. Je vous laisse imaginer toutes les possibilités pouvant se produire avec la quatrième de couverture ainsi que les nombreux personnages, tant du passé qu'actuel.

Quel peut-être le dénominateur commun entre :
- Alexandre Grothendieck, un mathématicien mort en 2014,
-Cornelius Gurlitt, un collectionneur allemand chez lequel nous retrouvons de nombreuses oeuvres d'arts soupçonnées d'avoir été volés au profit des nazis, ainsi que,
- les Bertignac, un couple de retraités vivant plus que modestement et retrouvés morts.

Parallèlement, nous découvrons Hidebrande Gurlitt, père de Cornelius, Otto Landau, médecin et amateur d'art et Valentine Bertignac pour la partie historique.

Clovis Narigou, journaliste à ses heures perdues est notre narrateur principal. Clovis va essayer de démêler cet écheveau en se plongeant dans le passé où règne le nazisme, les camps d'internement...

Par ailleurs, Clovis reçoit son fils et sa "Girelle" pour les vacances. Mais son fils va venir accompagnés de plusieurs couples d'amis qui pour certains, leur présence ne serait pas si anodine. Je ne rentrerais pas plus dans les détails afin de ne rien dévoiler de l'intrigue et de laisser votre propre imagination faire son chemin avec toutes sortes de suites plus inimaginables les unes que les autres.

Un polar mené avec brio se partageant entre deux époques. Ce livre permet d'en apprendre un peu plus sur une partie de l'histoire du nazisme, sur des aspects parfois méconnus du public. Une documentation de qualité et étudiée minutieusement afin de ne pas nous noyer dans un trop plein d'informations. Quelques chapitres d'histoire pure afin de nous aider à comprendre le présent, le tout rythmé dans les calanques marseillaises en compagnie de Clo, séducteur dans l'âme :)
Un quelques mots, une belle intrigue historique pour les amoureux de l'Histoire !
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Il aura fallu que je lise mon 15 ème roman de Maurice Gouiran, pour me rendre compte que son nom était l'anagramme de "Narigou", son journaliste, et détective à ses heures.
Si dans la première partie de ce polar/roman/Thriller, -avec sur toile de fonds la spoliation des oeuvres d'art appartenant aux juifs par le régime nazi et tout ce qui a pu générer comme "histoires" dans leur restitution, à l'instar de "Umezzu", j'ai également trouvé la seconde partie un peu plus "lente", sans parler de poussive. Effectivement, même si ce "Maudits soient les artistes" est -comme toujours avec Gouiran"- bien documenté, j'y ai trouvé trop de redites sur les aspets de l'Histoire -H majuscule", et la résolution de -ou plutôt "des"- énigmes, m'a déçu.
Mais on ne opeut enlever à l'auter, son talent de conteur.
Au fait, j'en ai un 16 ème dans ma pile, à lire!!!!
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Je suis toujours très contente de retrouver Clovis, journaliste qui vit dans sa bergerie quand il ne traverse par le globe. Et bien sûre, il lui arrive toujours de nombreuses aventures palpitantes.
Ici, ce qui lui met la puce à l'oreille se sont des agressions violentes qui ont amené à des meurtres qui vont mettre en émoi le bar où il a ses habitudes. Les différentes victimes ont des profils tellement différents que sa copine flic n'arrive pas non plus à démêler cette affaire. le vol ne paraît pas probent d'autant plus que se sont des personnes modestes qui ont subit l'assaut violent.
Parallèlement, Clovis doit faire un papier sur le célèbre mathématicien Alexandre Grothendieck, et de fil en aiguilles, ses recherches vont l'amener sur les camps allemands en France qui vont le conduire sur la piste périlleuse des disparitions d'oeuvres pendant la seconde guerre mondiale.
J'ai énormément apprécié en apprendre plus sur cette période artistique de la première moitié du XXème, les différents courants, appréciations et comment les nazis ont agi vis-à-vis de ce qui était considéré comme l'Art dégénéré. Comme à son habitude, l'auteur illustre parfaitement ses intrigues de faits historiques à la fois enrichissant et qui permettent de découvrir des pans de l'Histoire méconnu, en tout cas de moi. Les différents flash-backs sont impressionnants de réalismes et s'intègrent parfaitement à l'histoire.
Comme je ne lis pas les épopées de notre cher Clovis berger journaliste, j'ai fait la connaissance d'Eric son fils dans ce volet, venu passé quelques jours de vacances avec des amis et sa femme enceinte. Une ribambelle de marmots, des parents au différents profils, qui vont troubler le calme des habitants de la Varune. J'ai beaucoup ri à certains passages, l'auteur a su totalement intégrer la vie de la Varune au reste de l'intrigue. J'apprécie beaucoup les histoires de loup et de bergerie. Oups, pardon je m'égare un peu !
En résumé, je suis toujours aussi conquise par la plume de l'auteur, alternant des phases d'actions et de réflexions, parsemées d'Histoire. J'apprécie toujours en apprendre sur notre Histoire grâce à ses récits riches en détails. Clovis, est à la fois bourru, cool, attachant mais surtout il se fie à son flair et à chaque fois il découvre le fin mot de ses histoires.
Il me tarde de retourner à la Varune en compagnie de Clovis, ses moutons ou dans de nouvelles intrépides aventures !!!
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Une belle histoire assez tarabiscotée qui rappelle l'Histoire. Et puis, un roman où l'on côtoie Grothendieck ne saurait être totalement mauvais...
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