Sur la base de ses aveux, Christine Papin, déclarée saine d'esprit, sera condamnée à mort pour le meurtre de ses deux patronnes, et Léa, sa sœur, accusée d'un seul homicide, à dix ans de travaux forcés.
Mais que penser d'aveux reçus dans de telles conditions ?
Comme le soulignera, dès l'époque, Louis Martin-Chauffier, l'éditeur de Gide : « Si l'on ne comprend pas, n'est-ce pas faute de données ? Toutes les questions essentielles sont demeurées ... >Voir plus
J'ai voulu le lire m'intéressant à cette affaire. Celui là, je ne l'avais pas lu.
Bon livre mais par rapport à l'ouvrage "Le crime des soeurs Papin", il est trop fouilli pour moi.