Critiques filtrées sur 2 étoiles
Je peux comprendre le succès de ce livre, polar de vacance, avec une intrigue qui nous pousse à connaître qui est à l'origine de ces disparitions d'il y a 20 ans, et les dernières, qui commet les crimes dans ce village au bout du monde gangrené par la misère sociale et les peurs ancestrales. Certes ! Mais alors que de clichés sur la sexualité assumée, sur ces réfugiés qui nous apportent leur califat, sur la comparaison entre le patelin pourri et la grande ville, sur un mariage en préparation mais peut-être pas pour la bonne raison, pour fuir plutôt que par amour. Maintenant sur ce succès, je peux écrire : "ça c'est fait !"
Un"polar" polaire qui se situe en Suède à Ormberg, c'est à dire dans un petit village isolé et dans un décor de neige, de vent, de tempête, de congères qui plus est, plongé dans l'obscurité !
Un récit à deux voix : Malin et Jake qui vont chapitre après chapitre alterner pour nous raconter le "cold case" découvert dans la forêt !
En effet, une fillette a été trouvée ,il y a 8 ans par Malin qui maintenant est policière et mène l'enquête avec la cèlébre profileuse Hanne Lagerlind, l'inspecteur Peter Lindgren et toute une équipe venue de Stockholm.
Il n'y a plus d'usines à Ormberg car les délocalisations ont emporté le travail et les habitants sont quasiment tous au chômage...par contre il y a des migrants qui ont été envoyés par le gouvernement pour occuper les locaux vides et, ils sont mal " perçus " par la population locale !
Malin est la voix de l'enquête officielle et, Jake : celle d'un jeune garçon timide qui se déguise en fille avec des paillettes roses mais qui a trouvé dans la forêt le journal intime d' Hanne .. ils vont tour à tour nous révéler la progression des investigations , la disparition d Hanne et de Peter puis..... plus tard, la découverte de la profileuse hagarde et amnésique avec un médaillon autour du cou ! ! !
En même temps ils découvrent le corps d'une femme au même endroit que celui du " cold case " ? Y a t'il un lien entre ces deux crimes ? L'équipe de policiers examine tous les emplois du temps des habitants suspectés, comparent l' ADN sur le médaillon, cherchent pourquoi deux femmes bosniaques se sont cachées pendant des années faute d'avoir pu obtenir des papiers réguliers...l'une d'elle était enceinte mais, Camilla Grebe va nous égarer encore, puis dans les dernières pages ( c'est un thriller ! ), elle nous donnera les clefs de ces énigmes qui vont être surprenantes !
C'est le polar des disparitions, de la mémoire qui s'efface, de la xénophobie, de la vie dans l'arrière pays suédois ou, tous se connaissent sans savoir qui ils sont vraiment, les secrets familiaux et la suspicion à l'égard des citadins, des policiers... de tous ceux qui pourraient déranger leur " entre soi" !
Un récit à deux voix : Malin et Jake qui vont chapitre après chapitre alterner pour nous raconter le "cold case" découvert dans la forêt !
En effet, une fillette a été trouvée ,il y a 8 ans par Malin qui maintenant est policière et mène l'enquête avec la cèlébre profileuse Hanne Lagerlind, l'inspecteur Peter Lindgren et toute une équipe venue de Stockholm.
Il n'y a plus d'usines à Ormberg car les délocalisations ont emporté le travail et les habitants sont quasiment tous au chômage...par contre il y a des migrants qui ont été envoyés par le gouvernement pour occuper les locaux vides et, ils sont mal " perçus " par la population locale !
Malin est la voix de l'enquête officielle et, Jake : celle d'un jeune garçon timide qui se déguise en fille avec des paillettes roses mais qui a trouvé dans la forêt le journal intime d' Hanne .. ils vont tour à tour nous révéler la progression des investigations , la disparition d Hanne et de Peter puis..... plus tard, la découverte de la profileuse hagarde et amnésique avec un médaillon autour du cou ! ! !
En même temps ils découvrent le corps d'une femme au même endroit que celui du " cold case " ? Y a t'il un lien entre ces deux crimes ? L'équipe de policiers examine tous les emplois du temps des habitants suspectés, comparent l' ADN sur le médaillon, cherchent pourquoi deux femmes bosniaques se sont cachées pendant des années faute d'avoir pu obtenir des papiers réguliers...l'une d'elle était enceinte mais, Camilla Grebe va nous égarer encore, puis dans les dernières pages ( c'est un thriller ! ), elle nous donnera les clefs de ces énigmes qui vont être surprenantes !
C'est le polar des disparitions, de la mémoire qui s'efface, de la xénophobie, de la vie dans l'arrière pays suédois ou, tous se connaissent sans savoir qui ils sont vraiment, les secrets familiaux et la suspicion à l'égard des citadins, des policiers... de tous ceux qui pourraient déranger leur " entre soi" !
Lu en Avril 2019
Roman narré à la première personne du singulier. En début de chapitres, l'auteure dévoile qui parle et de qui on lit les pensées : soit Malin la flic soit Jake un adolescent. L'histoire se déroule dans un village perdu en Suède mais il ne s'agit que d'une image, l'histoire peut s'être déroulée partout. Il y a un centre d'accueil pour réfugiés de Syrie.
Cinq policiers (Andreas, Hanne, Peter, Malin, Manfred) ouvrent une enquête fermée il y a des années, quand Malin était adolescente et a découvert un cadavre. Un nouveau cadavre apparait, de nouveaux évènements traumatisants complètent cette enquête.
Hanne souffre d'amnésie et note tout sur un carnet : un journal intime mêlé à l'enquête. Ses collègues ne savent pas qu'elle est autant touchée, à part Peter son compagnon.
Jake est un adolescent de ce village suédois. Il aime porter les robes et se maquiller. Cependant, il ne révèle pas cette passion aux yeux de tous car c'est un garçon et ça serait mal vu. C'est le souffre douleur dans son lycée. Il vit avec son père alcoolique et sa soeur. Un soir où il est travesti, il se promène dans les bois et rencontre Hanne. Cette dernière lui a fait peur par sa tenue misérable, pieds écorchés, et son air perdu. Elle ne sait pas où elle est ni où elle va. Une automobiliste la prend pour la ramener en ville. Jack s'était caché pour ne pas être reconnu et a trouvé le carnet de la policière.
Ainsi le lecteur suit l'enquête actuelle avec la vision de Malin et l'enquête du départ menée par Hanne dans le carnet que lit Jack. le lecteur découvre aussi la vie de Jack et ses problèmes.
Vers la fin du roman, Hanne nous donne également sa vision et ses pensées. C'est troublant car elle est amnésique et découvre de nouveau des choses qu'elle a découverte peu de temps avant.
Cela m'a perturbé de changer de vision de personnages. Alors que j'avais lu d'autres romans écrits de cette manière, je n'ai pas trouvé la lecture fluide. J'ai du faire des pauses.
J'ai aimé découvrir les problèmes actuels mais dans un autre pays que celui où je réside : centre d'accueils, peur des étrangers surtout des musulmans et de l'Islam extrémiste, adolescent différent par ses goûts, un père sombré dans l'alcoolisme, une femme qui souffre d'amnésie, tout se sait dans un petit village (mais pas tant que ça vu qu'il y a une enquête et des surprises), les commères des villages...
Comme l'auteur l'a signalé, ça peut se dérouler partout, pas qu'en Suède.
Roman narré à la première personne du singulier. En début de chapitres, l'auteure dévoile qui parle et de qui on lit les pensées : soit Malin la flic soit Jake un adolescent. L'histoire se déroule dans un village perdu en Suède mais il ne s'agit que d'une image, l'histoire peut s'être déroulée partout. Il y a un centre d'accueil pour réfugiés de Syrie.
Cinq policiers (Andreas, Hanne, Peter, Malin, Manfred) ouvrent une enquête fermée il y a des années, quand Malin était adolescente et a découvert un cadavre. Un nouveau cadavre apparait, de nouveaux évènements traumatisants complètent cette enquête.
Hanne souffre d'amnésie et note tout sur un carnet : un journal intime mêlé à l'enquête. Ses collègues ne savent pas qu'elle est autant touchée, à part Peter son compagnon.
Jake est un adolescent de ce village suédois. Il aime porter les robes et se maquiller. Cependant, il ne révèle pas cette passion aux yeux de tous car c'est un garçon et ça serait mal vu. C'est le souffre douleur dans son lycée. Il vit avec son père alcoolique et sa soeur. Un soir où il est travesti, il se promène dans les bois et rencontre Hanne. Cette dernière lui a fait peur par sa tenue misérable, pieds écorchés, et son air perdu. Elle ne sait pas où elle est ni où elle va. Une automobiliste la prend pour la ramener en ville. Jack s'était caché pour ne pas être reconnu et a trouvé le carnet de la policière.
Ainsi le lecteur suit l'enquête actuelle avec la vision de Malin et l'enquête du départ menée par Hanne dans le carnet que lit Jack. le lecteur découvre aussi la vie de Jack et ses problèmes.
Vers la fin du roman, Hanne nous donne également sa vision et ses pensées. C'est troublant car elle est amnésique et découvre de nouveau des choses qu'elle a découverte peu de temps avant.
Cela m'a perturbé de changer de vision de personnages. Alors que j'avais lu d'autres romans écrits de cette manière, je n'ai pas trouvé la lecture fluide. J'ai du faire des pauses.
J'ai aimé découvrir les problèmes actuels mais dans un autre pays que celui où je réside : centre d'accueils, peur des étrangers surtout des musulmans et de l'Islam extrémiste, adolescent différent par ses goûts, un père sombré dans l'alcoolisme, une femme qui souffre d'amnésie, tout se sait dans un petit village (mais pas tant que ça vu qu'il y a une enquête et des surprises), les commères des villages...
Comme l'auteur l'a signalé, ça peut se dérouler partout, pas qu'en Suède.
Alors que j'avais beaucoup apprécié le premier polar de cet auteur, j'ai peiné à croire à cette intrigue alambiquée sur fond de xénophobie et de transfert de populations. Si le tome précédent valait le coup par son côté psychologique, ici, le récit est beaucoup trop tiré par les cheveux et les ficelles pas toujours très subtiles. Les histoires secondaires n'apportent rien, ni à l'enquête ni à la personnalité des protagonistes, et sont pour moi totalement inutiles. On a du mal à s'attacher aux personnages, à comprendre leurs agissements, peut-être parce qu'ils ne sont pas assez bien fouillés. L'arrière fond politique et sociétal est intéressant, mais là encore peu développé pour avoir un point de vue réellement percutant. Reste une ambiance réussie, on ressent bien la beauté des lieux, la misère économique, les tempêtes de neiges et les horreurs du passé, mais force et de constater que l'atmosphère de ce roman policier est assez sordide, et je le referme avec une point de malaise.
Je n'ai pas lu le précédent roman de Camilla Grebe, Un cri sous la glace. Ce roman était donc ma première découverte de son univers. J'avoue avoir lu ce livre très rapidement, le style est simple et assez monotone. Les personnages sont intéressants mais je n'ai pas réussi à m'attacher à eux, les trouvant assez superficiellement présentés. C'est avec un sentiment très confus et assez plat que j'ai terminé sans grande enthousiasme ce livre avec un certain regret car j'en attendais beaucoup plus.
Mouais, peu convaincue pour ma part.
On retrouve le rythme lent (beaucoup trop lent) des polars scandinaves, mais cette fois-ci le charme n'opère pas. J'ai trouvé ce livre horriblement ennuyeux : l'enquête policière, bien trop classique, ne s'intéresse pas suffisamment à la psychologie des personnages. Et comme les indices n'arrivent que trop lentement, et trop tard, le risque de décrocher est assez fort.
Parce que soyons honnêtes, même si l'intrigue est fragmentée de sujets de société, cela n'apporte malheureusement rien : c'est bien joli de parler de la situation des migrants et des camps d'accueil, ainsi que de la question de la trans-identité, mais c'est fait tellement en surface, que le propos reste bien trop caricatural et cliché.
Donc il faudra s'armer de patience, avec un récit en grande partie sous forme de journal très peu addictif, pour un petit twist final assez efficace (enfin du positif !). Mais le problème reste là : toute cette lecture est pénible pour une révélation pas trop mal et qui s'enchaîne plutôt bien, mais qui ne suffit pas totalement à rattraper les choses. Parce que bon, 5 pages intéressantes sur 400, on va pas se mentir, ça fait pas bien lourd...
On retrouve le rythme lent (beaucoup trop lent) des polars scandinaves, mais cette fois-ci le charme n'opère pas. J'ai trouvé ce livre horriblement ennuyeux : l'enquête policière, bien trop classique, ne s'intéresse pas suffisamment à la psychologie des personnages. Et comme les indices n'arrivent que trop lentement, et trop tard, le risque de décrocher est assez fort.
Parce que soyons honnêtes, même si l'intrigue est fragmentée de sujets de société, cela n'apporte malheureusement rien : c'est bien joli de parler de la situation des migrants et des camps d'accueil, ainsi que de la question de la trans-identité, mais c'est fait tellement en surface, que le propos reste bien trop caricatural et cliché.
Donc il faudra s'armer de patience, avec un récit en grande partie sous forme de journal très peu addictif, pour un petit twist final assez efficace (enfin du positif !). Mais le problème reste là : toute cette lecture est pénible pour une révélation pas trop mal et qui s'enchaîne plutôt bien, mais qui ne suffit pas totalement à rattraper les choses. Parce que bon, 5 pages intéressantes sur 400, on va pas se mentir, ça fait pas bien lourd...
Malin, ado, découvre un corps d'une fillette enterrée dans la forêt. Elle habite Ormberg, village isolé de la Suède. Cette fillette restera inconnue jusqu'à ce que Malin, flic, revienne sur le lieu du crime afin d'enquêter sur cette affaire irrésolue. Elle sera en compagnie de Peter et Hanne dans sa quête de vérité mais ils vont disparaitre. Comment ? Pourquoi ? On retrouvera Hanne, seule, errant dans la forêt et amnésique sans son journal qu'elle a toujours auprès d'elle.
Que s'est-il passé ? Un villageois est-il le meurtrier ? Connaissons-nous vraiment les personnes de notre entourage ? Malin sera en quête de la vérité et surtout de sa vérité, de son histoire.
J'ai apprécié le flashback concernant Malin car on est spectateur de son évolution et de sa construction. Aussi, les points de vue des différents personnages sont riches et nous permettent de recoller les morceaux de l'enquête au fil de la lecture. Cependant, celle-ci reste assez plate sans trop de rebondissements, sauf vers la fin où le dénouement est inattendu.
Des sujets politiques sont mis en avant tels que la question des migrants et de leur prise en charge, la situation économique de la Suède... Ces sujets sont importants mais ils sont abordés maladroitement et cela ne permet pas de s'approprier les personnages.
Avis mitigé pour moi, à vous de découvrir la vérité !
Que s'est-il passé ? Un villageois est-il le meurtrier ? Connaissons-nous vraiment les personnes de notre entourage ? Malin sera en quête de la vérité et surtout de sa vérité, de son histoire.
J'ai apprécié le flashback concernant Malin car on est spectateur de son évolution et de sa construction. Aussi, les points de vue des différents personnages sont riches et nous permettent de recoller les morceaux de l'enquête au fil de la lecture. Cependant, celle-ci reste assez plate sans trop de rebondissements, sauf vers la fin où le dénouement est inattendu.
Des sujets politiques sont mis en avant tels que la question des migrants et de leur prise en charge, la situation économique de la Suède... Ces sujets sont importants mais ils sont abordés maladroitement et cela ne permet pas de s'approprier les personnages.
Avis mitigé pour moi, à vous de découvrir la vérité !
Quand elle était adolescente, Malin a trouvé un corps, un crime qui n'a jamais été résolu.
Devenue policière, elle travaille avec Peter et Hanne sur les crimes non résolus, dont cette histoire. Sauf qu'un soir, Hanne est retrouvée errant dans les bois, sans souvenir, et Peter est porté disparu. Dans les bois, un corps est retrouvé. Qui est la victime ? Est-ce lié à la disparition de Peter ?
On retrouve les personnages du roman un cri sous la glace. J'avais terminé ce roman un peu mitigée, l'intrigue était intéressante mais le rythme très lent. J'ai souhaité poursuivre ma découverte des romans suédois avec ce second tome et malheureusement, c'est le même constat.
Quand je lis le résumé, je suis très intriguée et j'ai hâte de lire le roman, mais le rythme est très lent, trop lent pour un thriller à mon goût. Un policier est porté disparu, un corps est trouvé, et pourtant je n'ai pas ressenti la tension, l'urgence de résoudre l'enquête. Par contre, les états d'âme des différents personnages sont très (trop) détaillés. Moi, qui d'habitude me plains du manque de développement, ici c'est l'inverse.
Enfin, comme pour le tome précédent, le sentiment que m'inspire ce roman est la tristesse. Quand je lis, je cherche à m'identifier à un personnage, à vivre l'action à travers lui, mais ici, les personnages sont si tristes que je n'ai pas eu envie de m'imaginer à leur place. Je suis restée très détachée.
En bref, je ne pense pas que ce style de roman me corresponde et je ne pense pas lire la suite.
Devenue policière, elle travaille avec Peter et Hanne sur les crimes non résolus, dont cette histoire. Sauf qu'un soir, Hanne est retrouvée errant dans les bois, sans souvenir, et Peter est porté disparu. Dans les bois, un corps est retrouvé. Qui est la victime ? Est-ce lié à la disparition de Peter ?
On retrouve les personnages du roman un cri sous la glace. J'avais terminé ce roman un peu mitigée, l'intrigue était intéressante mais le rythme très lent. J'ai souhaité poursuivre ma découverte des romans suédois avec ce second tome et malheureusement, c'est le même constat.
Quand je lis le résumé, je suis très intriguée et j'ai hâte de lire le roman, mais le rythme est très lent, trop lent pour un thriller à mon goût. Un policier est porté disparu, un corps est trouvé, et pourtant je n'ai pas ressenti la tension, l'urgence de résoudre l'enquête. Par contre, les états d'âme des différents personnages sont très (trop) détaillés. Moi, qui d'habitude me plains du manque de développement, ici c'est l'inverse.
Enfin, comme pour le tome précédent, le sentiment que m'inspire ce roman est la tristesse. Quand je lis, je cherche à m'identifier à un personnage, à vivre l'action à travers lui, mais ici, les personnages sont si tristes que je n'ai pas eu envie de m'imaginer à leur place. Je suis restée très détachée.
En bref, je ne pense pas que ce style de roman me corresponde et je ne pense pas lire la suite.
j'ai pas accroché à ce polar sur fond de question sociales. Celles -ci sont traitées de façon aussi caricaturales que le personnages.
J'ai eu du mal à comprendre le fonctionnement de la maladie du personnage central, Hanne. Elle perd la mémoire n'importe comment, au grès des envies de l'auteur, quand ça l'arrange quoi. C'est une sorte d'Alzheimer mais avec préservation de toutes les capacités cognitives, pour justifier son rôle d'enquêtrice surement. Un jour, elle ne se reconnait plus dans le miroir et le lendemain, elle se rappelle d'une expo vue il y a 30 ans (déjà faut le faire, moi j'aurais du mal).
Bref, La mémoire de Hanne a justement effacée l'identité du tueur. Mais grâce au journal qu'elle tenait, un des personnages va pouvoir remonter sa piste. Sauf qu'il lit le journal lentement, par petits bouts malgré l'urgence de la situation...Aller comprendre pourquoi si ce n'est pour arranger l'auteur?
Le fait que tous ces ressorts de construction soient trop visibles, que le propos manque de finesse m'a dérangé, donc je ne recommanderais pas forcement ce livre.
J'ai eu du mal à comprendre le fonctionnement de la maladie du personnage central, Hanne. Elle perd la mémoire n'importe comment, au grès des envies de l'auteur, quand ça l'arrange quoi. C'est une sorte d'Alzheimer mais avec préservation de toutes les capacités cognitives, pour justifier son rôle d'enquêtrice surement. Un jour, elle ne se reconnait plus dans le miroir et le lendemain, elle se rappelle d'une expo vue il y a 30 ans (déjà faut le faire, moi j'aurais du mal).
Bref, La mémoire de Hanne a justement effacée l'identité du tueur. Mais grâce au journal qu'elle tenait, un des personnages va pouvoir remonter sa piste. Sauf qu'il lit le journal lentement, par petits bouts malgré l'urgence de la situation...Aller comprendre pourquoi si ce n'est pour arranger l'auteur?
Le fait que tous ces ressorts de construction soient trop visibles, que le propos manque de finesse m'a dérangé, donc je ne recommanderais pas forcement ce livre.
Histoire cousue de fil blanc - le dénouement est deviné avant la moitié du livre si l'on comprend le message et l'orientation politique de l'auteur. D'un point de vue policier, c'est très décevant; d'un point de vue intrigue et personnages, c'est malheureusement rempli de clichés sur les campagnes et l'état des sociétés européennes;; en revanche, cela reste agréable et facile à lire
Les Dernières Actualités
Voir plus
Les fins qui tuent
iris29
127 livres
Quai du polar 2019
Sollyra
33 livres
Autres livres de Camilla Grebe (9)
Voir plus
Quiz
Voir plus
LE JØURNAL DE MA DISPARITIØN (Camilla Grebe)
Malin est originaire ...
de Stockholm
d'Ormberg
de Bosnie
12 questions
44 lecteurs ont répondu
Thème : Le jøurnal de ma disparitiøn de
Camilla GrebeCréer un quiz sur ce livre44 lecteurs ont répondu