Citations sur Love me if you can - Intégrale (21)
Merci pour le tatouage. La fête surprise. Le bain de minuit. La vue incroyable, rit-il. Et merci d'arrêter le temps. Tant que tu seras là, j'aurai 30 ans pour le reste de ma vie.
Laisse-moi te dire trois mots plutôt qu'un seul, murmuré-je. Je t'aime, avoué-je pour la première fois. Je t'aime, Damon Lennox, et je veux que tu ailles jusqu'au bout. C'est comme ça que je te connais, extrême, déterminé, insatiable. Je ne te changerais pour rien au monde. Avec toi, j'ai enfin l'impression d'exister. De vivre. Et je ne te demanderai jamais de vivre à moitié. Fais ce que tu as à faire, venge la mort de ta soeur, règle son compte à Melville Cooper. Toi aussi, tu as le droit au bonheur.
Je suis tombé amoureux de toi avant même de te voir. Juste en entendant ta voix, ton accent français, en découvrant ta tendresse, ton humour, ta folie et toutes tes petites manies.
Je pense qu'on n'aime pas un homme pour ce qu'il est. Mais pour la femme qu'il te permet d'être. Celle que tu peux devenir à ses côtés.
Tout ce que l’on croit savoir de moi quand on me rencontre pour la première ou la deuxième fois. Il ignore tout du feu qui brûle dans ma poitrine.
- Laisse-moi te dire trois mots plutôt qu'un seul,murmuré-je.Je t'aime,avoué-je pour la toute première fois.Je t'aime, Damon Lennox, et je veux que tu ailles jusqu'au bout.C'est comme ça que je te connais,extrême,déterminé,insatiable.Je ne te changerais pour rien au monde.Avec toi,j'ai enfin l'impression d'exister.De vivre.Et je ne te demanderai jamais de vivre à moitié.Fais ce que tu as à faire,venge la mort de ta soeur,règle son compte à Merville Cooper.Toi aussi,tu as le droit au bonheur.
Damon glisse ses larges mains sur mon visage et m'embrasse passionnément,pendant de longues secondes qui on un goût d'éternité.
- Je sais pas comment l'expliquer...Quand il me regarde,j'ai l'impression que c'est lui qui a de la chance de m'avoir...Je suis une vraie femme, dans son regard...soufflé-je en me rappelant ses yeux plissés,pleins de désir et de tendresse,qui savent si bien lire en moi.
- Adèle, je crois que tu es amoureuse.Moi je pense qu'on n'aime pas un homme pour ce qu'il est.Mais la femme qu'il te permet d'être.Celle que tu peux devenir à ses côtés.
- Je suis foutu,alors...murmuré-je d'une voix étranglée.
Aller vivre chez son père, c’est une chose. Un truc bien connu des enfants de divorcés quand ils veulent faire payer l’un ou l’autre, à tour de rôle. Mais c’est autre chose que de débarquer chez son père que l’on connaît à peine et qui vit de l’autre côté de la planète au beau milieu d’une réserve animalière. Pas un zoo ou un refuge pouilleux pour animaux. Non, un gigantesque safari-parc, qui maintient les bêtes sauvages en liberté et permet aux visiteurs de les découvrir dans leur environnement brut, au plus proche de la nature.
J’adorais être la fille illégitime d’un brillant vétérinaire de réserve animalière, avec ses airs d’acteur et son accent australien. Et cela me semblait normal de passer après les lions, les chimpanzés et les quatre enfants qu’il avait eus avec sa « vraie » femme.
Les proverbes ont parfois tort : le hasard fait aussi mal les choses, quand il veut. Il fait des enfants non désirés, mais gardés quand même. Un accident, voilà ce que je suis. Une surprise qui ne fait plaisir à personne. Un aléa de la vie.