Leigh Greenwood, «
Jake » - 314 pages
Il me fallait lire pour un défi lecture une romance écrite par un homme. Comme je n'avais pas envie de relire Legardinier (que j'apprécie beaucoup), que je n'avais pas envie de lire un autre
Marc Lévy (que j'apprécie peu), j'ai farfouillé à la recherche d'un auteur de romances. J'ai découvert Harold Lowry, dont les livres sont publiés sous le pseudonyme de
Leigh Greenwood. Il a été traduit en France chez Harlequin, dans la collection Blanche, en 2000 et J'ai lu pour elle en 2007 avec «
Jake » et «
Vivian et le yankee ».
J'ai réussi à me procurer «
Jake » et l'illustration un peu kitsch m'a rappelé les romans à l'eau de rose que je dévorais, adolescente, entre deux classiques.
Au final, j'ai beaucoup aimé ce roman. Il met en scène deux personnages que tout semble opposé. Un ancien héros de la guerre de sécession a retrouvé son ranch à moitié envahi par des fermiers sans scrupules, qui font tout pour lui voler le reste de ses terres. Une institutrice, à l'éducation impeccable, amène avec elle huit orphelins pour être placés chez ses fermiers. Très vite, elle se rend compte que ses protégés vont être exploités et elle demande de l'aide au cow-boy solitaire. Autant dire que leur rencontre va faire des étincelles ! d'Autant qu'entre les méchants fermiers, les Indiens belliqueux et les huit gamins qui se détestent tous entre eux, ils vont avoir du fil à retordre ! Fil barbelé évidemment !
Blague à part, une romance sympathique, qui vaut largement bien des romans édités aujourd'hui et mis en valeur par les éditeurs et libraires. Mais, chut ! Ceci est une autre histoire…