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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Ma compagne de LC me propose de lire la suite de cette trilogie que j'ai commencée le mois dernier. J'accepte avec joie puisque j'ai bien aimé le 1er tome.
Finalement, on retrouve exactement la même trame qui a fait le succès du tome 1. Deux histoires séparées dans le temps avec une enquête dans le présent, qui se rejoignent petit à petit. Les meurtres sont toujours éparpillés en Angleterre et en Suède. Et l'écriture est toujours aussi nerveuse avec des chapitres très courts.
Mais voilà, si j'avais apprécié le 1er tome parce que j'étais dans la surprise et la découverte, là j'ai eu l'impression d'avoir du réchauffé. du coup, le plaisir s'émousse... Et le final ne m'a pas trop déstabilisée non plus.
Bref, j'ai bien aimé malgré tout mais j'ai aussi été déçue. J'espère que le tome 3 sera différent, un peu innovant.

LC de février 2021 avec Witchblade
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Un cadavre mutilé est retrouvé à Londres, copie conforme d'une série dont la conclusion a eu lieu plusieurs années auparavant par l'arrestation du coupable. Pour corser le tout, l'enquête a lieu en Suède et en Angleterre.
Et je dirai que c'est exactement ça qu'on lui reproche: plein de lieux, plein de personnages, plein de retours en arrière (jusqu'à Jack l'éventreur), de digressions et tout et tout… bon sang c'était compliqué!!! Pourtant l'histoire est assez haletante mais au final elle est passée d'intéressante à pénible à mi-chemin, il aurait fallu que je prenne des notes peut-être, je ne sais pas mais bon c'était trop, j'étais super contente d'avoir fini mais pas pour les bonnes raisons….
En plus c'est le deuxième tome de la série, il m'en reste un….. courage.
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Des crimes odieux se perpétuent
malgré l'incarcération en cellule psychiatrique
du meutrier responsable de plusieurs assassinats.
Copy cat? Les enquêteurs sont lancés...
Une profileuse, une écrivain, une juriste" asperger "
font équipe pour trouver le où les responsables..
Le cannibalisme semble être la signature
de ces crimes qui se multiplient,
les victimes sont ponctionnées
de leurs seins, fesses hanches...
Ils repensent alors à Jack l'éventreur.....

J'ai peu apprécié ce récit que j'ai trouvé fouillis,
avec une foule de personnages,
des éléments macabres à tire-larigot,
un "humour machiste" malvenu car trop répétitif .
Un manque de finesse et de clarté
heurtent cette lecture.

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N'ayant pas lu le premier roman de cette auteure, Block 48, je découvrais ici l'univers et les personnages.

Suite à la découverte d'un cadavre mutilé de femme , les enquêteurs sont amenés à se poser des questions sur la ressemblance avec d'autres crimes pour lesquels un coupable finit ses jours dans un hôpital psychiatrique. Un copieur? un autre coupable et donc une erreur dans l'enquête précédente? L'équipe vacille au fur et à mesure des découvertes.

Une autiste asperger, une profileuse, un beau flic un peu balourd, un vieux un peu perdu , l'équipe est nombreuse et les personnages aussi, et certain m'ont paru assez stéréotypés même pour un polar.

L'histoire se raconte aussi sur différentes périodes des crimes de Jack l'éventreur à la Suède aujourd'hui.

Sans doute un peu trop de tout ça pour moi, qui me suis un peu perdue dans la lecture alors que j'ai été "happée" par les premières pages.Le noeud de l'énigme, ne m'a pas entièrement convaincue...trop c'est trop?

Bref, la séduction des premières page n'a pas tenu sa promesse sur la suite du roman mais ça reste un polar tout à fait lisible
Lien : http://theetlivres.eklablog...
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Falkenberg en Suède.
Lorsque Karla Hansen se rend sur les lieux du dernier crime sur lequel elle devra enquêter, elle découvre un femme atrocement mutilée : seins, fesses, hanches, cuisses ont disparu.
Cela ressemble fortement à la signature d'un serial killer : Richard Hemfield.
Mais celui-ci est en taule depuis plusieurs années.
Qui a bien pu reprendre le flambeau de ces monstruosités alors ?

Elle devra le découvrir rapidement car en Angleterre, au même moment, Julianne Bell vient de se faire kidnapper et son ravisseur ne lui laissera pas beaucoup de répit non plus avant les mutilations.

Entre les policiers suédois, et Emily Roy, la profileuse de Scotland Yards et ses équipes, une collaboration devra s'établir pour découvrir le sens de ces mutilations et leur auteur.

Une idée de scénario originale, avec un suspens et une intrigue dont on ne peut supputer le dénouement.

C'est d'ailleurs écrit comme un scénario de film, avec des séquences en Suède, en Angleterre, en 2015 et également en 1888, à l'époque de Jack l'Éventreur.
Johana Gustawsson déroule progressivement son intrigue et ses pistes des potentiels coupables tout au long du récit.

Il faut reconnaître qu'on a affaire à un nombre important de personnages, dans des lieux et des époques qui changent sans cesse.
Armez vous d'une feuille et d'un crayon pour vous aider à vous souvenir des protagonistes et de leurs relations familiales, amicales, amoureuses, sociales dans chaque époque... ou alors lisez ce roman d'une traite afin de ne pas vous y perdre.

On peut néanmoins se poser la question de la pertinence de ces changements d'époques qui, finalement n'apportent pas beaucoup au récit et à son intrigue.

Mais c'est un thriller plaisant, imprévisible et accrocheur.

D'autres avis sur d'autres lectures sur :
Lien : https://blogdeslivresalire.b..
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N'ayant pas lu "block 46" j'ai tout de même voulu tenter l'aventure avec "Mör" afin de découvrir cette auteure que je ne connaissais pas. D'autant plus que le 4e de couverture me tentait.

L'intrigue m'a plu, cependant l'équipe policière et les personnages sont nombreux. Je me suis vite perdue. Et mon plaisir des premières pages s'est très vite éteint.

Je vais peut être tout de même me laisser tenter par "block 46" ou pourquoi pas "sang" sorti plus récemment ?
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Jusqu'où peut on aller dans l'horreur ?
Pourtant on était prévenu mör ça veut dire tendre !
Tendre quand on parle de la viande !
Petite précision qui a son importance ...
J'avais trouvé les personnages récurrents de cette série plutôt sympathiques et j'avais envie de les retrouver pour comprendre un peu mieux leurs psychologies.
Essai raté ... l'enquête est compliquée s'étirant entre plusieurs lieux mêlant des histoires et des traditions venant d'univers très différents ... qu'ont en commun, la mythologie du grand nord avec les légendes d'Odin et les meurtres mystérieux liés à Jack L'éventreur ... rien si ce n'est l'horreur.
Il suffit alors d'y rajouter une petite goutte de cannibalisme et on obtient un roman qui certes nous tient en haleine de bout en bout mais ... j'avoue avoir frôlé mon seuil de tolérance avec l'horreur et la sophistication exagérée de l'histoire.
Je pense retourner donner une dernière chance à cette auteure avec son livre suivant ... quitte ou double ... à suivre.
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Deuxième tome d'une trilogie. J'ai lu le premier tome, il y a un an exactement (en avril donc) et j'en garde un bon souvenir (plutôt une impression car ma mémoire n'est plus ce qu'elle était :( ) et même très bon vu la note mise sur Babelio (4,5).

Alors, j'avoue tout de même que je l'ai dévoré ce bouquin en ce jour de lundi de Pâques, j'avais besoin d'un truc addictif après ma semaine de boulot. Et je n'ai pas été déçue malgré ce qui va suivre un peu plus bas. L'auteure va au coeur du problème et ne s'attarde pas dans des descriptions inutiles et les chapitres super courts ce qui donne du rythme, c'est clair.

Par contre, avec ce deuxième tome, j'ai eu l'impression d'une "redite" et que la narration se construisait de la même façon (mais peut-être que mes souvenirs sont nuls) ce que j'ai trouvé dommage. On retrouve évidemment le duo d'Emily et Alexis qui fonctionnent plutôt bien, des meurtres en Suède et en Angleterre avec différentes temporalités. Et différents protagonistes qui étaient déjà présent dans le premier tome.

Ce que j'ai moins aimé aussi c'est la multitude de personnages, il fallait suivre (mais bon, c'est un moindre mal) et aussi de rebondissements et de "twists". Pour moi, c'était trop, trop, trop...Et quand c'est trop, cela devient "lassant" surtout que ce type de rebondissements (oui, je sais, le bouquin date de 2017 et ce n'était peut-être pas encore la "norme") se retrouvent dans tout un tas de thrillers et à force d'en lire, je ne suis plus aussi "surprise" ou alors je trouve que cela devient peut-être un peu trop invraisemblable.

Dans la catégorie des personnages, j'ai beaucoup aimé le personnage d'Aliénor, Asperger, qui va aider la police. J'espère que je vais la retrouver dans le tome 3 :). Oui, parce que je lirais le tome 3 en espérant qu'il soit un peu différent dans la narration et qu'il y ait un peu moins de twists. On verra ;) .

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Voilà. C’est fini.
Johana m’a fait adresser son nouveau roman. Il s’appelle « Mör ». Comme je parle vachement bien le suédois, je sais que ça veut dire tendre.
Mais non… Pas tendre dans ce sens-là. Tendre pour la viande.
Tu vois le truc ?
Johana, tu te souviens, c’est ma baffe de « Block 46 ». Dis pas que tu l’as pas lu, tu vas avoir l’air ridicule.
Mais bon en même temps, c’est ton choix.
Alors « Mör », c’est du noir. Forcément. La dame, malgré son joli sourire et ses grands yeux candides, elle écrit des trucs graves lourdingues. On est plutôt très loin des barbelés du précédent, mais on est juste à côté, encore, des noirceurs de l’âme de certains humains.
Je t’explique.
Une femme, retrouvée morte, à qui on a enlevé des morceaux.
Les meilleurs morceaux. Et forcément, ça fait penser à Jack the ripper, vu que lui aussi c’était son truc, le dépeçage.
Du coup, j’ai passé deux jours avec Alexis, Emily, et leurs collègues, et puis j’ai surtout passé deux jours avec Aliénor. Aliénor, c’est une femme comme je les aime. Elle est Aspie, comme elle dit. Aspie, c’est Asperger, avec tout ce que ça implique de tendresse et de sourires qu’elle ne comprend pas, mais que toi tu peux pas faire autrement. Tu verras, tu vas pas pouvoir t’empêcher de lui sourire.
Sans doute le personnage dont j’aurais voulu que Johana fasse un roman, et sur lequel j’aurais aimé qu’elle s’attarde encore plus. Mais c’est mon côté sombre qui ressort… Aliénor m’a fasciné, et c’est tout, mais chut… Je dois rien dire.
L’histoire, vu que le roman sort aujourd’hui, je vais évidemment pas te la raconter. D’autres vont s’en charger pour faire les malins, alors tu les liras.
La Suède, forcément, eu égard aux deux Vikings qui partagent la vie de la donzelle.
Et puis il est fascinant ce pays qui a fabriqué des bateaux qui ont navigué sur les flots jusqu’en Afrique… D’ailleurs, au vu de ce que la dernière série à la mode nous a révélé, le sacrifice humain, le dépeçage à la hache, ils sont assez coutumiers du fait… Ils l’étaient en tout cas. Aujourd’hui, je sais pas, mais je dis ça, je dis rien, si un jour tu n’entends plus parler de Johana Gustawsson, tu sauras pourquoi.
Bon, je vais parler du roman un peu…
Tu vas l’ouvrir et ne pas le lâcher. C’est ce que j’ai fait. J’ai tourné les pages, l’une après l’autre, pour voir où elle m’emmenait. Des chapitres très courts, qui t’obligent à te poser des questions sur la suite, et puis sur l’Angleterre du dix-neuvième, que je ne connaissais qu’à travers « From Hell » et quelques romans.
Tu chercheras. Je vais pas te mettre toutes les références, on en a pour des plombes.
Parce qu’il y a ça aussi. Les kilos de documentation qu’elle a dû remuer avec ses petits bras, Johana, je te fais pas un dessin. J’ai pensé durant certains passages à London, et à son livre « Le peuple de l’abîme » (et si tu l’as pas lu, ben tu devrais, c’est London quand même, et t’as eu le temps, il est sorti en 1903), à ces gens qui dormaient debout les uns contre les autres parce que se coucher dans la rue était interdit. Ça te rappelle quelque chose à toi aussi ? Mais attention, quand je dis que ça m’a fait penser à London, on en est à environ un million de kilomètres quand même…
Mais je t’entends me murmurer la question qui fâche. « T’as aimé ? »
Bon, je suis pas tombé de mon canapé, et j’ai pas détesté, mais franchement, c’est juste un roman « à la mode ».
Je vais pas te mentir non plus, tu me connais, j’ai pas pris la claque de « Block 46 ». Sans doute parce qu’il m’a manqué le cerveau du tueur, et sans doute une vraie histoire, ce qu’elle m’a fait toucher dans le roman précédent parce que je suis un peu barré, et que j’ai besoin d’avoir accès à ces psychoses et à ce qui les a amenées à la surface. À ce qui a transformé ces gosses en meurtriers, et là, même si c’est dit, je suis pas rentré dans sa tête. Comme si elle s’était assagie (un peu), comme si elle avait refusé de se laisser aller jusqu’au bout des fantasmes du tueur et qu’elle avait refusé de rentrer dans sa tête. Parce que quand t’écris, c’est des morceaux de toi que tu mets dans les pages, et que parfois c’est tellement difficile de pas laisser couler tes larmes que tu préfères le silence aux mots sur le clavier. Comme si la pression qui pèse sur un premier roman était finalement moindre et laissait plus de place aux tripes dont parle Bukowski.
Tu vois le truc ? Pas de tripes.
La fin, aussi, m’a un peu laissé perplexe. Trop de trucs mis en place qui te tombent sur la gueule, presque comme des évidences, des hasards heureux ou des morceaux d’une toile patiemment tissée par l’auteur et qui vont te coller aux pattes. Des personnages qui réapparaissent brutalement alors que tu les pensais secondaires, ils se mêlent et s’entremêlent dans un joyeux bordel au point que je me suis posé des questions sur ma capacité à suivre le méli-mélo.
L’avantage de cette toile qu’elle a tissée justement, c’est que tu vas tourner les pages.
Si c’est ça le but, c’est parfaitement réussi.
J’espérais sans doute beaucoup plus qu’un simple roman noir, sur fond d’Angleterre et de Suède.
J’espérais sans doute un autre « Block 46 », capable de la même violence et des mêmes émotions, des mêmes sanglots que tu retiens parce que quand même je vais pas chialer.
C’est là mon erreur.
Elle a choisi de ne pas écrire le même roman, elle a réussi, et elle a sans doute eu raison.
Les lecteurs vont adorer et être complètement enthousiastes, malgré le manque évident de qualités littéraires.
C’est donc ma faute, ma très grande faute.

Lien : http://leslivresdelie.org
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Je viens de relire Mör qui m'avait déçue après la grande réussite de Block 46. En dépit de la grande sympathie qu'inspirent les enquêtrices, je ne retiens que l'invraisemblance générale du scénario. Cette histoire de cannibalisme en groupe me laisse vaguement nauséeuse (c'est sans doute le but recherché) et de plus en plus agacée au fur et à mesure que l'on s'approche de la conclusion. Ce n'est pas un grand roman « du Nord ».
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