Une maison, une histoire, des souvenirs…
Une famille, une tribu, un mariage…
Des ancêtres, des secrets, un drame…
Des voisins, des nouveaux venus,
des gens comme nous ?
Malheureusement pour moi, je suis passé totalement à travers ces petites histoires de la tribu Blumenthal ; de leur maison refuge au lourd passé ; de leurs inquiétudes liées à l'arrivée de juifs haredim au sein de leur village et de leur mauvaise conscience d'avoir ces inquiétudes ; de ce couple formé par les parents Walter et Bennie, un peu trop fades ; du couple lesbien et mixte formé par leur fille Clem avec Diggs, un peu trop cliché ; de ces liens trans-générationnels qui unissent les jeunes aux anciens, les vivants aux morts, le présent aux souvenirs ;
Des gens comme nous, de
Leah Hager Cohen – traduit par
Laurence Kiefe – m'a souvent fait penser à certains films de
Lelouch : une ambiance sympa, des personnages à foison, un fond d'intrigue minimal, mais une impression rapide de quelque chose qui tourne en rond.
Désolé pour ce rendez-vous manqué, rarissime avec
Actes Sud, et ce retour de masse critique en demi-teinte.