Tu n'as pas besoin de comprendre la vie. Il suffit de la vivre.
Il ne faut jamais sous-estimer l’importance énorme des petites choses.
Citant THOREAU dans Walden : '' Je n'ai jamais trouvé de compagnon qui soit d'aussi bonne compagnie que la solitude.''
C'est facile de pleurer les vies qu'on n'a pas vécues. Facile de regretter de ne pas avoir perfectionné d'autres dons, dit oui à d'autres propositions.
Facile de se dire qu'on aurait pu travailler davantage, aimer plus, mieux gérer ses finances, soigner sa popularité, rester avec le groupe, partir pour l'Australie, accepter une invitation à aller prendre un café ou faire plus de ce fichu yoga.
Ça n'exige aucun effort de regretter les amis qu'on ne s'est pas faits, le métier qu'on n'a pas fait, ceux qu'on n'a pas épousés et les enfants qu'on n'a pas eus.
Ce n'est pas difficile de se voir par les yeux des autres, et de regretter de ne pas être toutes les différentes versions kaléidoscopiques de soi qu'ils auraient voulu que l'on soit.
C'est facile de s'en vouloir, et de s'en vouloir de s' en vouloir, à l'infini, jusqu'à l'expiration de son parcours personnel. Mais, le vrai problème, ce n'est pas les vies qu'on regrette de ne pas vivre. C'est le regret meme.
Elle en était arrivée à penser que la médiocrité et la déception étaient son destin.
En réalité, elle avait toujours eu l'impression d'être issue d'une longue lignée de regrets et d'espoirs fracassés qui semblaient se répercuter à chaque génération.
Si vous visez à être ce que vous n’êtes pas, vous échouerez systématiquement. Visez à être vous même. Visez à ressembler, à agir et à penser comme vous. A être la version la plus vraie de vous-même. Embrassez le fait d’être vous-même. Epousez le. Choyer le. Battez vous pour lui. Et ne faites pas attention à ceux qui s’en moqueront ou le tourneront en ridicule. La plupart des ragots sont de l’envie déguisée.
Bertrand Russell avait écrit qu’avoir peur de l’amour, c’est avoir peur de la vie, et avoir peur de la vie, c’est être déjà à moitié mort.
Comme si je voulais encore mourir.
Il y a déjà un moment que j' en avais envie. J'avais soigneusement calculé que la souffrance que j'éprouvais à vivre le désastre de mon existence surpassait la peine que ma disparition ferait à quiconque.
Elle était choquée. […] Ce n’était pas le choc d’avoir été si près de la mort. C’était le choc de se rendre compte qu’elle voulait vivre.
La seule façon d’apprendre, c’est de vivre.