Certains pleuraient et d'autres récitaient le kaddish.
[...]
Qu'est-ce que tu veux faire d'autre quand tu sais que le lendemain on va te fusiller, hein ? Rien. Ou tu te mets à pleurer ou tu te mets à réciter le kaddish.
(dans "Le boxeur polonais")
La littérature n'est qu'un bon tour, comme le tour d'un prestidigitateur ou d'un sorcier, qui donne corps à la réalité, et fait croire qu'il n'y en a qu'une.
La littérature n'est qu'un bon tour, comme le tour d'un prestidigitateur ou d'un sorcier, qui donne corps à la réalité. A moins que la littérature ne nécessite de détruire une réalité pour en construite une autre, chose que, de façon très intuitive mon grand-père avait comprise, de se détruire pour se reconstruire à partir de ses propres décombres.