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3,97

sur 528 notes
Cher lecteur, si tu recherches un récit de collège tout en farces joyeuses, n'ouvre surtout pas ce livre ! À la place, tu découvriras une pension de la pire espèce avec règlement stupide, crabes mal lunés, moisissures coulantes, violon écorcheur d'oreilles, redoutables test de contrôle et triple dose de système métrique.
Telles sont les malédictions qu'affrontent les orphelins Baudelaire dans ce consternant épisode, mais rien ne t'oblige, cher lecteur, à les suivre en ce sinistre lieu. Sauf, bien sûr, situ désires que ton propre collège, par contraste, te semble être un paradis. Avec mes sentiments respectueux, Lemony Snicket.
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Ce cinquième volume des Désastreuses Aventures des Orphelins Baudelaire est fidèle aux premiers. On retrouve dans ce livre jeunesse le cynisme de l'auteur, le style d'écriture riche mais en même temps accessible aux jeunes (qui est le public visé), et une histoire toujours bien rythmée et intéressante.
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Les orphelins ne sont plus tout seuls, ils ont enfin trouvé des alliés et amis de leur âge, mais aussi de nouveau ennemis. La jeune fille, dont je ne me souviens plus du nom, est particulièrement horripilante... J'aurais des envies qu'elle s'étouffe avec du gâteau... Mais il faut rester civilisé...
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Allez j'ai récidivé avec les plus que malheureuses aventures des jeunes Baudelaire...
J'avais peur en commençant ce cinquième tome que l'on retombe dans le même schéma : un nouveau tuteur (plus ou moins aimable), le comte Olaf déboule grimé, personne ne veut croire que c'est lui, les enfants essayent de se dépatouiller tant qu'ils peuvent et le comte s'enfuit !
Heureusement, ce cinquième opus donne un nouvel élan à la saga.
Pas de tuteur, les enfants sont confiés « aux bons soins » d'un collège... enfin bons soins.... hum hum...
Évidemment, ça va mal tourner à cause du comte Olaf... mais voilà pas comme dans les 4 premiers romans ! Ouf ! le suspense est sauf !
Sans être transcendent, ce tome relance l'intrigue et l'intérêt de cette série...
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Encore une fois, les orphelins Baudelaire n'ont pas de chance. Mais cette fois si, ils vont se faire des amis. Deux enfants qui eux aussi ont perdu leurs parents dans un incendie. Avec eux, ils vont enfin connaître le bonheur. Mais le comte Olaf n'est jamais très loin...
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J'adore même si les drames continue j'adore .
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Tiens mais c est vrai que les orphelins Baudelaire n étaient pas encore allés à l école. Et bien sûr il faut que ce soit une vraie catastrophe ! Fort heureusement ils vont faire la rencontre de triplés qui ne sont plus que 2, prêts à les aider à démasquer le terrible comte Olaf.

À ce stade des aventures, on prend surtout plaisir à se demander comment le comte Olaf va se déguiser et quelles horreurs il va faire subir aux orphelins. Malsain me direz vous.... ma foi oui mais l'auteur adore jouer avec cette dimension de ses livres.
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Un de mes préférés de cette série de 13 tomes.

Comme annoncé dans le tome 4, les tuteurs se font rares pour les Baudelaire. le temps de trouver un tuteur, Mr Poe les place dans un pensionnat. A nouveau Lemony Snicket nous sert une aventure bien loufoque : des règles iniques, des cours bien ridicules, un proviseur adjoint horripilant et des conditions de vie toujours aussi désastreuses.
Or dans ce tome, il y a tout de même une petite bulle : la rencontre de deux amis pour les Baudelaire : les deux triplés Beauxdraps dont la vie semble curieusement identique à la leur.
Bien sûr le Comte Olaf est toujours présent avec ses plans machiavéliques et ses déguisements farfelus.

Lemony Snicket, par la démesure, le sarcasme, l'ironie, nous sert à nouveau un tome sinistrement plaisant, à l'humour bien particulier.
Ce tome-ci prend de l'ampleur par rapport au 4 premiers et opère un tournant puisqu'il amorce l'énigme V.D.C. A partir de ce tome, plus question des simples plans d'Olaf. C'est toute une série d'énigmes que l'auteur nous propose de découvrir...

Challenge le tour du scrabble en 80 jours ( 5e éd)
Challenge Multi-défis 2019
Challenge Séries
Challenge 50 objets 2019-2020
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Après un bref séjour à la Falotte-sur-Rabougre, le trio Baudelaire s'échoue dans un sinistre établissement scolaire dirigé par le grotesque proviseur Néron, violoniste raté à ses heures perdues. C'est un regard à nouveau cynique, impitoyable et désenchanté que nous offre l'auteur: le pensionnat est régie par des règles toutes aussi stupides les unes que les autres. Ajoutez à cela une petite peste insupportable, deux professeurs dont les cours sont absolument assommants, ainsi que le retour du Comte Olaf. Cependant, de rares lueurs d'espoir viennent apaiser les tourments des trois enfants qui trouvent enfin les amis dont ils ont tant besoin en la personne des deux triplés Beauxdraps. Je crois que ceux qui ont connu des heures sombres lors de leur scolarité en tant que collégiens et qui ont une forte inimitié contre l'Education Nationale pourront se régaler avec cet ouvrage qui leur offrira une douce vengeance.

Dans ce roman, l'auteur se défoule sur un système éducatif stérile et inutile. Les Baudelaire sont une fois de plus livrés à eux-mêmes et ne peuvent compter sur l'aide des adultes. C'est un univers absurde qui s'ouvre devant nous: Prunille devient la secrétaire du névrosé Principal Néron (oui oui, Prunille, la benjamine du trio), Violette suit les cours du professeur Remora qui ne fait que débiter des récits absurdes, tandis que Klaus assiste à ceux de Madame Alose, enseignante éprise du système métrique... qui n'a jamais eu l'impression de perdre toute une journée au collège, au moins une fois dans sa vie? Avec ce roman, préparez-vous à vous délecter d'une exquise diatribe. Ce tome marque également le temps des découvertes et des révélations au sujet des parents Baudelaire et du Comte Olaf: on commence à parler de V.D.C, le fameux sigle qui va alors hanter les trois enfants. le mystère commence à s'épaissir, ce qui nous laisse sur notre faim!
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Les mésaventures des orphelins Baudelaire se poursuivent et cette fois, puisque ça ne fonctionne avec aucun tuteur, c’est dans un pensionnat qu’ils sont placés. Le pensionnat J.Alfred Pufrock, dont les bâtiments ressemblent à des pierres tombales et qui a pour devise « Memento mori » (souviens-toi que tu vas mourir). Tout ça n’a rien de très engageant !

Encore une fois, c’est une aventure palpitante que nous offre là le talentueux Lemony Snicket. Certes, c’est vrai qu’on s’attend un peu à la façon dont les choses vont se dérouler : là encore, le comte Olaf débarque, une fois encore il est déguisé, come d’habitude les adultes ne se rendent compte de rien et comme toujours, les enfants se débrouillent tous seuls. Tous seuls ? Non, et c’est la nouveauté de ce tome 5. Dans leur pensionnat, les enfants rencontrent les triplés Beauxdraps, qui ne sont plus que deux suite au décès de leur frère et de leurs parents dans un incendie. Et comme eux aussi vont hériter d’une belle fortune à leur majorité, les enfants Baudelaire et les enfants Beauxdraps ne tardent pas à devenir amis et à s’entraider.

Autre nouveauté de ce tome 5 : on commence à nous parler de VDC. Et même si, pour l’instant, on n’a pas la moindre idée de ce que c’est, ces trois lettres intrigantes nous lancent dans un aspect nouveau de l’histoire.

Comme d’habitude, nous retrouvons le style narratif de Lemony Snicket que nous avons tant apprécié dans les tomes précédents. Il n’y a donc pas de grosse surprise, ni de gros dépaysement dans ce tome 5. Alors même si désormais, ça commence à sentir le réchauffer, ça n’en reste pas moins distrayant.

Je vais donc, de ce pas, lire la suite !
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