Dans ses mémoires, Judd écrivit plus tard : "Quand à la situation chez moi, nous avions atteint ce stade qu'atteignent tant de couples mariés.Nous nous laissions porter par le courant. Mon écrasant sentiment de culpabilité me tenait éveillé nuit après nuit, à m'évertuer à résoudre le problème, jusqu' à ce que l'épuisement ait raison de moi; à me jurer de mettre un terme à tout ça. Je n'avais pas conscience d'être intoxiqué à ce point par cet amour obsessionnel qui, en fin de compte, allait refermer sur moi son étreinte mortelle".
"Souvenez-vous : un enterrement des plus simples, pas de messe, pas d'épitaphe, très dépouillé. Je veux quitter ce monde ainsi que j'y suis entrée - comme une âme nue."
il n'y a rien de pire que boire pendant toute la journée et se réveiller à côté d'un type dont on ne sait ni comment on l'a rencontré, ni pourquoi il est mort.
A l'issue de ces séances, les experts décidèrent que Judd était sain d'esprit dans l'acception de la loi, mais que alcool, les conflits oedipiens et les pratiques sexuelles nouvelles auxquelles l'avait initié Mrs Snyder avaient faussé son appréciation du bien et du mal
Elle se sentait intoxiqué par Judd, prête à tout pour lui, et lorsqu'elle entendit Albert siffloter dans son atelier au sous-sol, elle en fut si horripilée qu'elle se plaqua les mains sur les oreilles et fuit vers l'entrée.
Elle lui fit face. Malgré les larmes qui lui ruisselaient sur les joues, elle était électrisante.
Inspiré d'un fait réel survenu dans les années 1920, l'auteur raconte l' histoire d'adultère entre deux êtres : une femme au foyer et un représentant en lingerie féminine. l'auteur raconte les rendez vous torrides passionnés des deux amants, le meurtre et le procès
Ruth a su ensorcelé son amant pour éliminer son mari , mais les histoires d'adultères finissent toujours mal. Crime passionnel,.Une écriture plaisante , l'ambiance des années 20 est bien raconté avec un certain charme
j'ai bien aimé, je vous le conseille
L'instinct maternel, le désir paternel de préserver sa progéniture de tout danger, le bon sens, la décence due à un conjoint aimant ont tous été balayés par cette irrépressible et coupable passion.
Bah, comme on dit, les femmes ont toujours le dernier mot. Tout ce qu'un homme peut ajouter ensuite n'est que le début d'une nouvelle dispute.